Tome,  Livre, Chap.

 1    1,    2,   1|    ferrés, la tête tondue et la barbe longue.~ ~ ~ ~La sueur,
 2    2,    3,   2|      écumoire. Elle avait de la barbe. C’était l’idéal d’un fort
 3    3,    5,   6| polisson venu laisse pousser sa barbe de bouc, se croit un drôle
 4    3,    6,   1|        que sa servante porte sa barbe, Marius ne porte point la
 5    3,    7,   3|          la joue en brosse, une barbe sanglière ; on voit d’ici
 6    3,    8,   6|      Cet homme avait une longue barbe grise. Il était vêtu d’une
 7    3,    8,  12|       nous échappait ! C’est ma barbe qui m’a sauvé ! ma barbiche
 8    3,    8,  15|       et dont on distinguait la barbe grise quoiqu’on ne le vît
 9    3,    8,  21|           la mère ! tu as de la barbe comme un homme, mais j’ai
10    4,    1,   5|       homme ayant un collier de barbe et l’accent italien montait
11    4,    6,   2|     avait du talent, « faire la barbe aux barbiers ».~ ~ ~Tout
12    4,    6,   3|       nez effilé et sauvage, sa barbe grise toute hérissée, et
13    4,   10,   4|      chauve, le front élevé, la barbe noire et une de ces moustaches
14    4,   11,   4|   fenêtre un jeune homme pâle à barbe noire qui les regardait
15    4,   13,   1|  au-dessus de sa tête un plat à barbe de cuivre suspendu à la
16    4,   13,   1|   piliers des halles, ce plat à barbe troué.~ ~ ~ ~Ce coup de