Chapitre

 1   3|     Saint-Tropez. Là demeure sa vieille mère avec le plus petit des deux
 2   3|           ennemi juré. – Maurin aime sa mère et s’occupe beaucoup du
 3   4|         pensez-vous qu’il fit ?~ ~ – Ma mère, dit-il un matin tout en
 4   4|                comme pour la chasse, ma mère, si vous ne me revoyez pas
 5   4|                 bourgeoise, le père, la mère et la fille, s’installa
 6   4|       arrangement aux magistrats. Et la mère fut bien contente de donner
 7   4|            Jusqu’à l’âge de dix ans, la mère de Maurin éleva la petite,
 8   4|             petite, légalement fille de mère inconnue et de Maurin des
 9   4|                Bernard, qui vit chez la mère de Maurin ou qui, du moins,
10   5|            avait vue naître, puisque sa mère, comme vous savez, était
11   5|                 ne l’oubliez pas ! – la mère et les ancêtres des deux
12   8|                produit de sa chasse, sa mère devenue vieille. S’étant
13   9|            approcha où elle allait être mère.~ ~ ~ ~Elle ne songea pas
14   9|                 confierait à sa vieille mère.~ ~ ~ ~Cependant l’idée
15   9|        consentit et alors le père et la mère se mirent à rire ensemble,
16   9|               présenta tout ouvert à sa mère.~ ~ ~ ~La vieille vit l’
17   9|                 comme lui.~ ~ ~« Tenez, mère, il faudra me nourrir tout
18  10|               regarder sans penser à sa mère, dont il me parlait souvent.~ ~ ~«
19  16|              dit que n’ayant ni père ni mère, il ne doit rien à la société…
20  18|               était écrié :~ ~ ~« Bonne Mère des anges ! Sainte Vierge
21  21|         maintenant ? Quelle vie, sainte Mère ! Oh ! Madone des anges,
22  22|                 pauvre moi ! aï ! Bonne Mère des anges ! »~ ~ ~La Bonne
23  22|              des anges ! »~ ~ ~La Bonne Mère des anges est la patronne
24  23|                  Où je demeure, avec ma mère, tu le sais. J’ai une cabane
25  31|                 enfants et de ma pauvre mère qui est morte… »~ ~« Magaud
26  32|              qui étaient son père et sa mère et que c’est des grands
27  32|          gouverneur aux colonies, et sa mère, qui l’a eu quand elle était
28  32|               jamais rien, rapport à la mère… Mon secret n’est pas à
29  33|               mauvaises… Tu cherches ta mère ! Tu crois que, des fois,
30  33|               demande pas !~ ~ ~– Si ta mère ne t’a pas avoué, quelle
31  33|            garce ! murmura-t-il… Que ta mère me pardonne ! »~ ~ ~Son
32  33|             buse, va ! Tu cherchais une mère, tu trouves un père, et
33  33|             difficile au monde, car, de mère, on n’en a jamais qu’une,
34  33|            paraisses tenir un peu de ta mère pour la lecture ! »~ ~ ~
35  33|                pour dire, mais entre ta mère et moi, noum dé pas Dioù !
36  33|                       À ces mots : « ta mère et moi », Césariot avait
37  33|             répète qu’on a toujours une mère et qu’il ne faut jamais
38  33| sentencieusement :~ ~ ~« Pas plus de sa mère que des femmes on n’est
39  33|                mal parler de toi. Si ta mère t’a oublié, c’est, je te
40  34|                remplacé de mon mieux ta mère morte et je t’ai élevée,
41  34|                  pour monter à la Bonne Mère ?~ ~ ~– Deux heures, répondit
42  34|               Faites-moi oublier, Bonne Mère, Sainte Vierge, ce braconnier
43  35|              Maourin ! (Bon Dieu, bonne mère, faites que je l’oublie,
44  38|                 pas faites pour moi. Ma mère rarement me voit. Je suis
45  38|                temps ; et qu’à la bonne Mère, tout en la priant pour
46  40|               Voui, c’est bien elle, la mère de Césariot ! Je ne l’avais,
47  40|          affaires. Quant à Césariot, sa mère aurait mieux fait de me
48  40|             Quand une fille est devenue mère, on devrait l’estimer pour
49  44|          soupirant, que le ventre de ma mère et ma caisse de mort ne
50  46|              dernière courait devant la mère. Tous avaient vu de loin
51  46|              voyez, pechère ! C’est une mère… c’est facile à comprendre
52  46|                l’aviez vue filer, cette mère !~ ~ ~– Et voilà le cœur