Chapitre

 1   1|           du bois, collègues ! Vous êtes dans une fumée à couper
 2   1|             laissé son écorce, vous êtes dans un nuage qui m’empêchait
 3   2|       faisait-il jour, quand vous y êtes passés ?~ ~ ~– Il faisait
 4   4| Permettez-moi de vous dire que vous êtes vous-même une figure très
 5   5|           bien… enfin quoi ! vous n’êtes pas fier. Alors, comprenez,
 6   5|                   J’espère que vous êtes contente, ma bonne demoiselle ?… » ~«
 7   5|        histoires sont bonnes ; vous êtes ici chez vous. »~ ~ ~Et
 8   7|             monsieur le Maire, vous êtes sûr de voir le gibier. »~ ~ ~
 9   7|           faites suer, tenez ! Vous êtes encore, vous autres, comme
10   8|            est sous vos pieds. Vous êtes comme à la fenêtre au plus
11  11|          sur le vieux docteur, vous êtes matinal aujourdhui ?~ ~ ~–
12  11|           Maurin saisit.~ ~ ~« Vous êtes un brave homme, vous ! dit-il
13  12|            en a beaucoup. Vous vous êtes mis bravement en campagne,
14  13|      mérites. Or, aujourdhui, vous êtes venus en bien petit nombre. »~ ~«
15  14|              Entrez ! Tiens, vous n’êtes qu’un ? Les gendarmes, d’
16  16|           préfet. Je crois que vous êtes invité avec nous ce soir.~ ~ ~–
17  17|          pour les autres. Si vous n’êtes pas de ceux-là, tant mieux :
18  17|       touchez de la tête quand vous êtes assis dessous, vous voyez
19  17|          bien sûr, parce que vous n’êtes pas un merle à plumes, mais
20  17|          vïen pui un momein où vous êtes couvert de merles ! »~ ~ ~
21  20|          concerne pas, puisque vous êtes incompétent. Assez là-dessus.
22  22|           loi, je la respecte. Vous êtes son brave serviteur, honnête
23  23|         pour ça, Alessandri !… Vous êtes, au fond, un brave homme,
24  24|            crête de coq.~ ~ ~« Vous êtes un homme honnête, Maurin,
25  26|              cria-t-elle, ou vous n’êtes pas un vrai Corse !~ ~ ~–
26  30|             lui plaisent. Si vous n’êtes pas sympathique à Jouve,
27  31|                   Au moment où vous êtes entré, mon brave Maurin,
28  32|           en riant.~ ~ ~– Ah ! vous êtes, dit Tonia, un fameux bandit ! »~ ~ ~
29  39|           garde respectueux, vous n’êtes pas un homme, puisque vous
30  39|          pas un homme, puisque vous êtes le maire.~ ~ ~– Il ne peut
31  40|             personnages.~ ~ ~« Vous êtes incorrigible, Maurin, dit
32  41|             il était.~ ~ ~« Si vous êtes bien sûr qu’on me laissera
33  41|             vu ! Mais, puisque vous êtes si aimable vous en accepterez
34  41|       Maurin ?~ ~ ~– Parce que vous êtes aimable… J’épargne les amis.
35  41|          vous connaître.~ ~ ~– Vous êtes républicain, monsieur Maurin ?~ ~ ~–
36  41|             comte, touchez là. Vous êtes un homme ; et tout ce que
37  41|            votre ami, pourquoi vous êtes un brave homme… C’est drôle,
38  41|       Monsieur Maurin, dit-il, vous êtes sûr de votre homme ? de
39  41|         plus rare qui soit. Si vous êtes pour Vérignon, je maintiendrai
40  44|         viendront dire comment vous êtes pires que les bêtes puantes
41  44|          bandits, voilà ce que vous êtes. La lâcheté de tous fait
42  44|             fit Maurin, mais vous n’êtes pas aimables.~ ~ ~« Croyez-vous
43  45|              je vous remercie, vous êtes bon de m’avoir défendue.~ ~ ~–
44  47|            Oh ! vous ! vous !… vous êtes un saint laïque, grogna
45  48|           haut en tremblant, vous n’êtes pas un ennemi de la République,
46  48|       interrogea-t-il. Puisque vous êtes un ami de la justice, vous
47  48|             ami de la justice, vous êtes des nôtres et vous n’abuserez
48  48|        Cabissol, dit M. Rinal, vous êtes, vous aussi, un maître galégeaïré,
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