Chapitre

 1   3|         Le préfet se frottait les mains.~ ~ ~« Vous dites ?… les
 2   5|           vrais boulets) dans les mains. On commençait à les lancer
 3   7|            en chemise, prenant en mains ses deux énormes souliers,
 4  10|         retourne pour prendre des mains de mon petit infirmier une
 5  11|          à grandes poches, et ses mains, très longues, pâles et
 6  11|           l’orgueil de ses belles mains. Il les encadrait. Et le
 7  11|      tendus ; puis, de ses bonnes mains, lui palpa les épaules,
 8  12|  cimetière, tandis que toutes les mains pressaient la sienne, il
 9  13|         prenant la branche à deux mains, il la rompit sans faire
10  13|           Le bon curé joignit ses mains sur son ventre et éleva
11  19|         colosse, à la face et aux mains toujours noires de charbon.
12  20|           est-il arrivé entre vos mains ? »~ ~ ~Grondard expliqua.
13  25|            largement, et ses deux mains s’étaient croisées sur la
14  25|        qui méritent ce nom et des mains de qui j’ai retiré ta fille.~ ~ ~–
15  26|        Elle se cramponna des deux mains aux deux bras du gendarme
16  27|      tenez son élection entre vos mains.~ ~ ~– Comment cela ? à
17  28|     chevaux. Déjà il étendait les mains pour saisir la bride du
18  28|          deux bandits à pied, les mains liées derrière le dos…~ ~ ~ ~
19  29|    bretelle, il secouait ses deux mains jointes.~ ~ ~« C’est vrai
20  30|         de son cheval, levait les mains vers la loque bienfaisante.
21  30|           blanches, un cierge aux mains, et de quelques pénitents
22  30|         la culotte, l’arracha aux mains du prêtre, et tout aussitôt,
23  31|      Maurin entra, serra les deux mains amies et s’assit modestement
24  31|          rocaille.~ ~ ~« Les deux mains sur le bois luisant, Magaud,
25  33|           chemise était resté aux mains de Maurin. Et le don Juan
26  33|          il lui avait arraché des mains sous le pin Berthaud.~ ~ ~ ~
27  35|           elle et ses deux larges mains saisirent la tête brune.
28  36|         cachant sa tête entre ses mains, elle se mit à pleurer.~ ~ ~ ~
29  39|     rudement à la tête et sur les mains. Son sang coulait.~ ~ ~ ~
30  41|       calme. Il s’arrêta, mit ses mains en porte-voix et cria encore :~ ~ ~«
31  43|          ils l’auraient entre les mains, il leur fondrait comme
32  43|      cruche paisiblement, prit en mains son vieux fusil et… une
33  43|          s’efforce, avec ses deux mains nerveuses, de désentortiller
34  43|      moyens. »~ ~ ~Il tendait ses mains rapprochées. Pastouré, ne
35  43|          digne et tranquille, les mains derrière le dos, croisées
36  44|          marcher de la sorte, les mains liées comme les pattes d’
37  44|         mais, pas moins, avec les mains libres, que je puisse manger
38  44|          aurait bien étonné ! Les mains attachées, je ne les ai
39  44|     Maurin la liberté de ses deux mains. Mais qu’avaient-ils à craindre
40  45|         il écarta aussitôt à deux mains, de toutes ses forces. Et
41  45|           et qu’on l’y traîne les mains liées. Et quand je songe
42  45|          non pas des pieds et des mains. Alors, nous nous regardâmes,
43  46|          coup, il avance les deux mains pour me prendre.~ ~ ~« Une
44  46| réfléchissait, immobile, les deux mains serrant, d’émotion, les
45  47|     chaise, car il faisait de ses mains, comme on dit, tout ce qu’
46  49|     Grondard, la saisit à pleines mains. Alors Grondard tira. Il