Chapitre

 1   1|           CHAPITRE PREMIER~ ~ Lequel débute comme un proverbe
 2   1|      y eut un silence pendant lequel on « entendit le dehors »,
 3   3|       évêque Myriel de Digne, lequel se donna une entorse, comme
 4   4|     la table de M. le préfet, lequel, sceptique et curieux, se
 5   4|      la besogne du romancier, lequel se traîne sur un seul roman
 6   6|       au profond silence avec lequel on avait écouté Maurin.
 7   8|    nourrir, soigner l’enfant, lequel d’ailleurs apprendrait le
 8  11|   encadrait. Et le geste avec lequel cet ami de Marat jouait
 9  21| pauvre cabanon du cantonnier, lequel riait dans sa barbe tout
10  23|      vide, car le rocher, sur lequel il était debout, était,
11  26|      y eut un silence pendant lequel « on aurait entendu voler
12  28|       du cheval de Sandri sur lequel venait de s’élancer Maurin,
13  31|       disait mon grand-père – lequel était un républicain dans
14  35|       l’abri du pilier devant lequel, absorbée dans sa prière,
15  39|  pierres à la tête de Maurin, lequel se voyant mal comme on dit,
16  39|       maire récemment décédé, lequel était un ami de Maurin, –
17  39|       au son d’un tambour sur lequel le garde exécutait des ran-tan-plan
18  40|    diras, un jour ou l’autre, lequel de nos grands hommes de
19  41|      hisser sa voile au vent, lequel s’était mis à souffler du
20  42|    accorde au Roi des Maures, lequel n’en devient pas plus fier.~ ~ ~ ~
21  45|   fait leur convoitise et sur lequel aussitôt ils se précipitent.~ ~ ~ ~
22  45|     mon camarade ici présent, lequel partageait ma façon de voir,
23  46|    tout ce que disait Maurin, lequel continua ainsi :~ ~ ~« Que
24  47|      M. Rinal et M. Cabissol, lequel se décida, pour en finir,
25  47|        un acte instinctif par lequel nous nous supposons à la
26  48|   prix obtenu par son oncle – lequel, émerveillé enfin de l’habileté