Chapitre

 1   4|       loisirs ; et l’étude que je fais des physiologies me permet
 2   4|  cinquante, qui sont vécus. Je me fais l’effet d’être une sorte
 3  17|   Labarterille, acheva Maurin, je fais si bien le merle, moi, qu’
 4  23|     manquer cette lièvre. Allons, fais ta route que tu me gênes ;
 5  26|      table et le mur.~ ~ ~« Si tu fais cela, cria-t-elle, alors
 6  31|        les mette au point, je lui fais l’honneur de compter sur
 7  31|                  Latrinque, je me fais vieux et même beaucoup vieux ;
 8  31|                  Latrinque, je me fais si vieux que je ne peux
 9  31|         faire toutes ces avances… Fais comme je te dis, et en moins
10  31|      espèce d’âne !~ ~ – Si tu me fais une farce, me dit Latrinque,
11  33|         dîné, répliqua Capoulade. Fais à ta volonté. »~ ~ ~Sous
12  33|            qu’elle a ses raisons. Fais comme moi. N’y songe plus…
13  34|   sérieusement et c’est ce que je fais en ce moment-ci. Si tu es
14  34|        Alors, pour vous obéir, je fais le serment d’aller, pieds
15  34|      déchaussée surtout. Et si tu fais des prières longues devant
16  38|          aux conditions que tu me fais, je n’accepte pas le marché
17  38|           ce qu’on a perdu. Ne me fais pas ni à toi cette peine
18  40|             non, pas ça ! et j’en fais mon affaire ! »~ ~ ~Le lendemain
19  40|         Tu me comprends mal ou tu fais semblant, Maurin. J’ai voulu
20  40|   sauvages, vé ! là-bas, à qui je fais distribuer des œufs de fourmis
21  40|       vous détruit un pays.~ ~ ~« Fais ta fortune, Caboufigue,
22  43|         qui fait que tout va mal. Fais tes affaires en silence.
23  43| Éteins-toi, feu ! que quand tu ne fais pas le bien tu peux faire
24  43|         manière que tu parles, tu fais entendre paroles perdues…
25  45|        toi-même ! Du reste, si tu fais souvent des beaux coups