Chapitre

 1   2|       prêta l’oreille :~ ~ ~« Tiens ! fit-il à voix haute. Le
 2   4|   monsieur le Ministre, et je tiens à le rester. J’ai fait mon
 3   6|       influence locale.~ ~ ~« Tiens ! c’est toi, Maurin ! dit-il,
 4  13|    pleuvait légèrement.~ ~ ~« Tiens ! il pleut ! » dit le préfet.~ ~ ~«
 5  14|      la porte.~ ~ ~« Entrez ! Tiens, vous n’êtes qu’un ? Les
 6  22|     terrier. Ce Maurin, je le tiens à l’œil… vous saurez bientôt
 7  23|       me le rendre, – que j’y tiens beaucoup !~ ~ ~– C’est toi
 8  23|      en était peut-être… Ah ! tiens, va-t’en, car je t’ai assez
 9  24|     qu’ils eussent des armes… Tiens, regarde-les là-haut, tout
10  30|      de tout ce bruit :~ ~ ~« Tiens, prends ces deux bécasses ;
11  32|       à moi… Merci, Saulnier. Tiens, voilà mon merci ».~ ~ ~
12  33|      je ne sais pas de qui tu tiens, et peut-être, malheureusement,
13  36|      me tiennent un peu et je tiens un peu à toutes. Je ne peux
14  36|    bien et il souriait.~ ~ ~« Tiens ! fit-il, jamais de haut
15  38|      est que… ma liberté, j’y tiens beaucoup ! dit Maurin. Certainement,
16  38|      en permettrai d’autres ? Tiens, Maurin, voici, pour en
17  40|      donnerais de bon cœur !… Tiens, mon pauvre Caboufigue,
18  40|      autres à la suite…~ ~ ~– Tiens, mon fils a voulu être baron.
19  40|     de nous sert en ce monde. Tiens, moi qui suis un enfant
20  43| rencontres plus, c’est que je tiens parole. Quand tu m’auras
21  45|     vivement chez elle.~ ~ ~« Tiens ! Tiens ! songea Grondard,
22  45|      chez elle.~ ~ ~« Tiens ! Tiens ! songea Grondard, en s’
23  45|     qu’une brute peut l’être. Tiens ! Tiens ! un secret est
24  45|    brute peut l’être. Tiens ! Tiens ! un secret est une chose