Chapitre

 1   3|           premiers sous-préfets de France, à trente ans, il était
 2   4|          pas Dioû ! nous sommes en France, preutêtre ! »~ ~« Hélas !
 3   4|         est peu, dit le préfet. La France se dépeuple. Maurin n’aura
 4   7|            imagine, Maurin, que la France lui aura de la reconnaissance
 5   8|         finalement millionnaire en France. Aujourd’hui, les gouvernements
 6  16|  préfecture du Var la meilleure de France.~ ~ ~ ~Pendant que la calèche
 7  16|          peut-être la meilleure de France, vu qu’il y a des bécasses
 8  18|           moins on en vend… Pauvre France ! »~ ~ ~En sortant, le général
 9  30|    bourgeois ! Ça promet une jolie France ! »~ ~ ~Maurin avait débité
10  31|            pas plus de dix-huit en France – ce nombre n’est jamais
11  32|       mener un cheval… Ah ! pauvre France !~ ~ ~– Je lui ai dit tout
12  39|            millions !… Ah ! pauvre France ! »~ ~ ~Le maire et le garde
13  40|            de ses fonctions ! » En France, rien n’est plus grave ;
14  40| républicain de Venise voyageant en France : « Vive le roi d’Italie ! »~ ~ ~
15  40|  essaieront de te vendre la pauvre France. Des candidatures comme
16  41|           tout le monde connaît en France, Vérignon enfin, l’ami Vérignon !~ ~ ~«
17  41|            énergies fécondes de la France plébéienne.~ ~ ~ ~Et jamais
18  41|            politique de la vieille France, Maurin n’eût pas hésité,
19  42|         rien. Il se croyait roi de France et il l’était bien un peu.~ ~ ~ ~
20  44|          avoir planté (ah ! pauvre France !) deux ailes de perdreau
21  47|            tous les prolétaires de France ? Rien. Je professe une
22  47|     là-haut, on te la referait, la France ! Qu’en dis-tu, Pastouré ?~ ~ ~–