Chapitre

 1   1|        qu’il plairait un jour à Antonia, il n’avait pas voulu cependant «
 2   6|  Alessandri, époux présomptif d’Antonia Orsini, soigna son cheval
 3  14|     voici fiancés ; tu entends, Antonia ?~ ~ ~– J’entends, fit-elle ;
 4  24| plaisait de plus en plus, cette Antonia la Corsoise. Qu’elle fût
 5  24|         Et s’il allait plaire à Antonia et qu’elle se mît en tête
 6  24|         moi, sûrement pas ! dit Antonia.~ ~ ~– Allons-y donc, fit
 7  24|      une action héroïque.~ ~ ~ ~Antonia, après les paroles qu’elle
 8  24|       se dit, dès ce moment, qu’Antonia serait à lui. Quand serait-ce ?
 9  25|  cerisiers.~ ~ ~ ~Maurin suivit Antonia dans la maison forestière
10  25|        solides barreaux de fer, Antonia ouvrit une armoire. Elle
11  25|         pour atteindre celles d’Antonia. Et comme il restait un
12  25|       est vrai, mon père », dit Antonia.~ ~ ~ ~Et vivement elle
13  25|     demande ? répéta avec force Antonia. Vous devez, je vous le
14  26|      air un peu farouche.~ ~ ~ ~Antonia ne raisonnait pas de même,
15  26|       vieux Grondard, dit enfin Antonia que vous arrêtez Maurin ?~ ~ ~–
16  26|       pâlissant.~ ~ ~– Eh ! dit Antonia, vous ne faites pas si bien
17  26|        parlez de l’hospitalité, Antonia, vous dites ce que vous
18  26|     Maurin. Alors, malgré elle, Antonia poussa ce cri, qui fit pâlir
19  26|      disputaient l’amour même d’Antonia.~ ~ ~ ~Le regard de la Corsoise
20  26|        Répondez, mon père ! dit Antonia.~ ~ ~– Ce que moi je peux
21  34|         une conversation qu’eut Antonia avec son père et de celle