Chapitre

 1   1| plaignez-vous ?… Ah ! enfin, on vous voit maintenant, les amis !…
 2   5|        Anastasie est l’aînée et elle voit partir sa cadette, pechère ! »~ ~«
 3   8|            de Saint-Clair. De là, on voit Saint-Clair à ses pieds,
 4  13|        chapeaux hauts de forme on en voit, là, de tous les âges. Toutes
 5  18|              ânes sans maître, on en voit rarement, dans ce monde
 6  18|              sais que trop ; on n’en voit presque jamais, je vous
 7  20|          irai aux miennes. La Madone voit dans mon cœur, et elle sait
 8  31|              la semelle et d’où l’on voit tout l’horizon lointain,
 9  31|           car la canaillerie qu’on y voit est petite, pas calculée
10  32|             loin, lui dit Maurin, on voit tes perdreaux avant de te
11  32|              lui des papiers où l’on voit des enfants de rien perdus
12  36|         aussi, mais mieux que ça. On voit que tu as depuis longtemps
13  36|         quand il fait beau temps, on voit même la Corse !… Tenez,
14  37|              de ce Gonfaron que l’on voit d’ici : « C’est le pays
15  38|             moi. Ma mère rarement me voit. Je suis comme le lièvre
16  39|              sur la grand-route, qui voit passer un Maurin des Maures
17  42|             de ces porcs frais qu’on voit tout ouverts chez les bouchers
18  43|             voit-il tout à coup ? Il voit, à ses côtés, deux gendarmes
19  45|           avoir de l’humeur quand il voit le lièvre qu’il croyait
20  46|             Car un paysan aux champs voit tout ce qui se passe aussi