Chapitre

 1   3|        des Maures.~ ~ ~« C’est égal – répétait à maître Pons
 2   4|  Maurin qui me réjouissent à l’égal d’un mot de la Palférine
 3   7|        profond, balancé au pas égal des porteurs, le mort dont
 4   8|   devenu, en peu d’années, son égal.~ ~ ~ ~À Saint-Raphaël,
 5  12|     son ceinturon.~ ~ ~« C’est égal, se disait Pastouré, je
 6  18|        comme des ânes !… C’est égal, monsieur Cabissol, vous
 7  19|       ou plutôt un bruissement égal et continu : le bourdonnement
 8  22|   est-ce pas, que ça te serait égal si ton beau gendarme apprenait
 9  31|      parla encore :~ ~ – C’est égal, fit-il, il y a des gens
10  34|     valent pas la peine. C’est égal, ce n’est pas du bon sens,
11  36| vois-tu je t’aurais tué. C’est égal, cache-toi de moi si un
12  37|        l’ermite ; moi ça m’est égal.~ ~ – Piarré, balaie un
13  40|     ventre, à moins d’être mon égal en fortune. Et toi, Caboufigue,
14  43|      pour voir l’effet ! C’est égal, j’aurais dû prendre mon
15  46|       insouciance.~ ~ ~« C’est égal, dit Maurin, elle est forte
16  48|     croire que cela m’est bien égal, vu que je suis d’Auriol. »~ ~ ~
17  49|  fermera la porte…~ ~ ~« C’est égal, celui qui tient le registre –