Chapitre

 1   5|         C’était un heureux temps puisqu’on avait sous les yeux,
 2   5|       point, monsieur le Préfet, puisqu’elle est votre administrée.~ ~ ~«
 3   5|    réponds de lui. Retirez-vous, puisqu’on vous dit que tout est
 4  11|    devrait y en avoir davantage, puisqu’on peut enseigner les bonnes
 5  13|         même sans être mouillés, puisqu’ils n’avaient pour cela
 6  18|          s’accomplisse ! Allons, puisqu’il n’y a rien à faire, quittons-nous
 7  18|      Panuce qui s’y rendit seul. Puisqu’il était convenu que Pancrace
 8  22|       devenir criminel et bandit puisqu’il était gendarme, de satisfaire
 9  43|         à son ordinaire, parlait puisqu’il était seul.~ ~ ~ ~Maurin,
10  43|    lui-même qu’il le prenait, et puisqu’il les traitait eux, conséquemment,
11  43|       prends le tien.~ ~ ~– Mais puisqu’il n’y a rien, dit Maurin,
12  43| politique n’est qu’un bavardage, puisqu’ils ont une Chambre exprès
13  44|        qu’avaient-ils à craindre puisqu’ils fermèrent et, du dehors,
14  48|         deux mille francs pièce, puisqu’ils m’auraient donné le
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