Chapitre

 1   5|       On acanait : on battait l’olivier à coups de roseaux, en novembre,
 2   5|      porte, regardait pousser l’olivier, la vigne et le blé. Cette
 3   5|    viticulteur ; on a arraché l’olivier (nos paysans regrettent
 4  18|      par une corde au pied d’un olivier, broutait le chiendent et
 5  18| assirent un moment au pied de l’olivier, sous l’ombre chaude et
 6  18|       sur place, au pied de cet olivier, et si le maître de l’âne
 7  18|         assis sur le tronc de l’olivier où était tout à l’heure
 8  31|        sous l’ombre légère d’un olivier, avec un soupir de soulagement : «
 9  31|        à une basse branche de l’olivier ; il le décrocha, en tira
10  31|       un creux du vieux tronc d’olivier, bien à l’ombre, sa bouteille
11  39|         cou au tronc d’un vieil olivier. L’âne était tout bâté.~ ~ ~«
12  39|    basse, il hissa l’âne dans l’olivier, comme on hisse un seau
13  39|    cachée par les branches de l’olivier, elle s’arrêta stupéfaite.~ ~ ~«
14  46|        veste qui est pendue à l’olivier le plus proche. »~ ~ ~Mais
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