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Jean Aicard Maurin des Maures Concordances (Hapax Legomena) |
Chapitre
1 48| siècle.~ ~ ~ ~C’est vers 1786 que l’aïeul illustre de 2 21| animaux familiers, à savoir : 1° un renard, 2° une belette, 3 21| à savoir : 1° un renard, 2° une belette, et 3° une couvée 4 3| la fondation de Bormes, 300 avant Jésus-Christ… mais…~ ~ ~– 5 21| renard, 2° une belette, et 3° une couvée de perdreaux 6 | 4 7 49| quelquefois avec tant d’à-propos, qu’ils vous ont l’air d’ 8 36| que comme ceci : »~ ~ ~Et abaissant l’arme serrée à plein poing, 9 30| tombait, son bras s’est abaissé, et de son sabre, en souriant, 10 13| Les regards du bon curé s’abaissèrent et parcoururent son auditoire 11 30| Pour peu de chose, vous abaissez le chrétien et vous humiliez 12 43| mépris. C’est, pas moins, l’abandon. Adieu. Tu sais mon dernier 13 36| poids entre ses bras. Il s’abandonna à ce mouvement de chute 14 5| puisque, disait-on, il n’abandonnait le cimetière qu’au moment 15 49| nuit vint, la poursuite fut abandonnée. Le lendemain Coco était 16 1| osco, Manosco ! »~ ~ ~Il abattit sur la table son poing fermé, 17 26| où la main du gendarme s’abattrait sur son épaule.~ ~ ~« Comme 18 7| Quand le sanglier est abattu, on coupe une branche de 19 23| mettait en quête de la pièce abattue auprès de laquelle il demeurait 20 22| milieu de quelques ruches d’abeilles éparses aux alentours.~ ~ ~ ~ 21 23| piste en poussant leurs abois continus, Hercule, son griffon 22 48| la rhétorique, au temps aboli des humanités), je veux 23 26| n’effaceraient pas cette abomination ! »~ ~ ~Antonio, mis au 24 44| ont vu vos malices et vos abominations et ils savent ce qu’ils 25 48| leur fit donner une pâtée abondante et déclara au patron de 26 41| surveillerait les points abordables de l’île.~ ~ ~ ~La barque 27 7| ou mal caladés, et qu’ils aboutissent quelque part ou non, par 28 27| stupide qu’une affaire gaie aboutît à un résultat pénible : 29 44| chapelles, c’est-à-dire des abris heureux contre le vent, 30 10| demande, le médecin malade ou absent, et surtout se faisant le 31 39| justement qui étaient tous absents du village à ce moment-là. 32 16| le jour où il le faudra absolument. Il ne me fait guère honneur, 33 35| du pilier devant lequel, absorbée dans sa prière, elle s’écrasait 34 40| Caboufigue, je vois bien que tu n’abuseras pas du secret… C’est un 35 48| êtes des nôtres et vous n’abuserez pas de la situation.~ ~ ~– 36 3| chassez-vous ? »~ ~ ~L’académicien sourit du même sourire qu’ 37 48| ministres. Sa femme fait des académiciens. Tous les souverains qui 38 5| dans l’Évangile.~ ~ ~« On acanait : on battait l’olivier à 39 34| retournaient face au mur, en l’accablant de reproches.~ ~ ~ ~Mais, 40 22| qui aurait dû fuir Maurin accepta de celui-ci un lièvre et 41 33| avait reçue ne semblait acceptable à son orgueil que venue 42 46| du maître de la maison, n’acceptaient pas les sièges moelleux ; 43 11| politesse innée de M. Rinal n’acceptait en aucun cas les inégalités 44 45| regrettâmes ensemble d’avoir accepté son lapin qui, en effet, 45 5| chose dont nos paysans n’acceptent pas même l’idée. Dès qu’ 46 41| Maurin avec noblesse, j’accète (j’accepte) et je vous donne 47 49| existences s’est terminée par l’accident ou par l’assassinat, répondit 48 15| qu’en ces montagnes très accidentées, les chasseurs, qui se croient 49 49| tristement M. Rinal.~ ~ ~– Les accidents sont logiques la plupart 50 5| vous coucher. »~ ~« Une acclamation formidable salua ce discours :~ ~ – 51 31| Magaud, reprit M. Cabissol, accola son fiasque et but longuement. 52 37| Té, voilà deux sous. Accommence.~ ~ ~– Il y avait une fois 53 38| dit. Maurin décida qu’il accompagnerait Tonia jusqu’aux bords de 54 48| agricole.~ ~ ~ ~Quand cela fut accompli :~ ~ ~« Maintenant, dit-il 55 13| s’étant miraculeusement accomplie, il le prouvait d’une façon 56 18| que la volonté de Dieu s’accomplisse ! Allons, puisqu’il n’y 57 22| servante de l’auberge, qui accordait ses faveurs au gendarme 58 44| payaient honorablement en accordant pour une heure à Maurin 59 14| nous finirions par nous accorder, mais j’avais pensé que 60 48| adresses. Ces emplacements sont accordés gratuitement.~ ~ ~ ~Nota. – 61 47| conquérir parce que vous les lui accordez. Qu’est-ce que le socialisme, 62 31| en pension, et voici nos accords, ou ceux du moins que je 63 41| Maurin joyeusement.~ ~ ~ ~Il accosta l’échelle qu’on développait 64 41| Maurin avait coutume d’accoster au sud de l’île, dans une 65 9| histoire sans incident. Elle accoucha par un beau jour de juin.~ ~ ~ ~ 66 41| personne, souriant, était accoudé au couronnement de son joli 67 10| balustrades où l’on peut s’accouder devant un horizon de plaines, 68 41| son maître. Les gendarmes accouraient. Ils dévalaient bon train, 69 21| nuée de petits oiseaux, accourue des oliviers environnants, 70 49| savait que je veille à l’accoutumée tous les soirs, et m’aurait 71 7| bois je n’aie jamais pu m’accoutumer ? Allons, graisse tes souliers, 72 3| de notre gibier. Et nous accréditons volontiers cette erreur… 73 30| enfants pleuraient en s’accrochant à la jupe des mères protectrices. 74 37| bras, de peur qu’elle s’accrochât à ses grands éperons ; et, 75 44| la fuite méditée. Pour accrocher la corde dans la cellule, 76 32| Voilà. On lui a fait accroire à Toulon… des mauvais farceurs 77 13| dédaigneux de l’effort qui accroîtra leur bien-être, mais, ne 78 23| gendarme contre Maurin en fut accrue, tandis que le goût de Tonia 79 30| cocottes ! »~ ~ ~La gaieté qui accueillit ces paroles ne fit que l’ 80 19| indice, le fils Grondard accusa bientôt Maurin du meurtre 81 14| il se demandait s’il n’accusait pas à la légère la jeune 82 23| inventé contre d’autres des accusations pareilles, avec l’aide de 83 23| faire la chose dont vous m’accusez, gueuse, je les méprise 84 34| auberge était fort bien achalandée, parce que tout y était 85 13| derrière le curé), nous nous acheminâmes vers la porte de la chapelle, 86 9| monsieur le Maire. »~ ~ ~Ils s’acheminèrent vers l’habitation de M. 87 48| vos oisons. »~ ~ ~Il les acheta, ayant son idée.~ ~ ~ ~Avec 88 8| temps où les bastidanes achetaient leurs jupes chez le drapier 89 38| épouseras pas et alors, acheva-t-elle avec beaucoup de simplicité, 90 29| scandaliser et il alla, son repas achevé, conter ce sacrilège à de 91 33| pour le premier jour. Té ! achève la bouteille. Et en route 92 5| Les prières étaient achevées.~ ~ – Désirez-vous toujours 93 23| canaillerie de ton père, j’achèverais ma besogne en délivrant 94 40| pas quelque sottise qui achèverait de vous mettre à dos les 95 5| dit-il, c’est nous qui l’achèverons. Vouastré Lyouné es un couyoun ; 96 31| paroles :~ ~ ~« Que voulès qu’aco mi fouté ? aqueleï canars 97 45| Il sortit, suivi de son acolyte, tandis Qu’orsini haussait 98 48| entièrement à lui – il se rendit acquéreur d’un terrain vague qu’il 99 27| politique, sera définitivement acquis à Vérignon si vous lui dites 100 5| pleurait comme pleurent les acteurs et les romanciers sur les 101 4| paresseux à la fois et si actif ! » soupira M. Désiré.~ ~ ~ ~ 102 13| ne vous y trompez pas, actifs, résistants et hardis, dès 103 40| pourriture ! dit Maurin, et tes actionnaires qui vivent de tes ligators !… 104 26| toutes sortes de mauvaises actions par la renommée ? Lui avez-vous 105 4| oppose, comme aussi une activité toute physique qui me porte 106 48| Auriol. »~ ~ ~Il existe actuellement trois descendants du d’Auriol 107 37| père qui la tenait du père Adam. Mais, dis-moi, depuis que 108 45| inclina le menton en signe d’adhésion pour le relever en le faisant 109 15| déclaré au préfet qu’il s’adjoindrait les frères Pons, et que 110 48| fonctionnaires), monsieur, je n’admets pas d’excuses. Vous toucherez 111 3| Désorty, fort aimable homme, administrateur attentif, politique de quelque 112 26| trouvait fâcheux pour l’administration qu’une pareille scène eût 113 5| Préfet, puisqu’elle est votre administrée.~ ~ ~« Il y a cinq ans, 114 40| Le gros travail, c’est d’administrer tant d’argent, dit Caboufigue 115 23| d’arrêt, qui rapportait admirablement.~ ~ ~ ~Maurin avait lâché 116 37| Puis il posa sur un gril d’admirables champignons de pins, bien 117 40| conclut Caboufigue. Té ! admire un peu mes cygnes sur mon 118 48| mon oncle, répliquait l’adolescent, c’est ça la vie, à laquelle 119 3| désagréable à M. le préfet, Adolphe Désorty, fort aimable homme, 120 46| parti au plus tôt.~ ~ ~ ~Adonc, Pitalugue réfléchissait, 121 45| sort ! cria Orsini, qui adoptait parfois les jurons de Provence. 122 10| jamais consolé. »~ ~ ~Il adorait les enfants.~ ~ ~ ~La marque 123 19| furent involontaires. Œdipe adore son Antigone.~ ~ ~ ~Le curé 124 10| Londres. »~ ~ ~Il était adoré. Voilà l’homme à qui M. 125 8| caché par celles de devant, adossé à celles de derrière, j’ 126 10| plus haut sommet. Fortement adossée aux Maures, elle était ainsi 127 43| un lapin bien rôti peut adoucir l’humeur du plus féroce 128 2| il le disait, sa nature) adressait rarement la parole à ses 129 17| à autre, M. Désorty lui adressât la parole avec beaucoup 130 34| résiste ! Va voir un curé. Adresse-toi à la Madone, mais ne te 131 23| sanglier un peu propre, ils s’adressent à moi et ils y trouvent 132 48| Les fermes modèles s’adressèrent en foule au Canard du Labrador.~ ~ ~ ~ 133 48| exactement noms, prénoms et adresses. Ces emplacements sont accordés 134 43| systèmes de tout, mais qui sont adroits comme mon soulier.~ ~ ~« 135 10| enfants mais de plus d’un adulte.~ ~ ~ ~Du haut de son mur 136 44| rien de temps, ne m’est advenu que parce que j’avais rencontré 137 44| silence est d’or pour les gens affairés.~ ~ ~ ~Et puis il fallait 138 32| haussement d’épaules, et alors il affecta de ne pas parler en mal 139 11| fut dit sans la moindre affectation. La politesse innée de M. 140 29| estime et la plus grande affection. L’endroit du rendez-vous 141 41| Et familièrement, affectueux même, le jeune comte, qui 142 2| jugeait utile de ne pas afficher hors de saison son amitié 143 21| lire ? tu le lis jusqu’aux affiches, donc ? Marcheras-tu ou 144 41| Vérignon. Et le pape ayant affirmé le droit nouveau des démocraties, 145 19| ressemblaient un peu à ces affreux barons du Moyen Age, qui, 146 22| rires derrière cette porte affriolante, cria :~ ~ ~« Ouvrez ! Au 147 7| yeux des gendarmes, que l’affront que leur fait cette action 148 13| l’idée – bien simple, d’affronter les intempéries de la saison, 149 37| autre lieu) l’idée de s’affubler d’une méchante robe de bure, 150 1| comme l’aile bleue de l’agace et du merle ; et sous les 151 47| chute de demain !… Vous m’agacez à la fin.~ ~ ~« De quel 152 39| de course, mes enfants ! Agantalou ! (attrapez-le !). Zou ! 153 19| affreux barons du Moyen Age, qui, du haut de leurs châteaux 154 48| les réunions. Le neveu, âgé alors de dix-huit ans à 155 35| termes que l’amoureuse s’agenouillait dévotement de quart en quart 156 30| avance vers le prêtre et s’agenouille au seuil de l’église. Aussitôt 157 40| ordinaire.~ ~ ~« Insulte à un agent de la force publique et 158 36| dirait, fit-il une piqûre d’ageria (genêt épineux) ou d’agulancier ( 159 48| tu monde qui tésire fous ageter un manuscrit te théâtre 160 40| Martin avec des commentaires aggravants. Les uns dans l’intention 161 28| tu sais bien de quoi ! N’aggrave pas ton affaire. Suis-moi 162 25| salaire pour avoir bien agi ?~ ~ ~– Mon salaire bien 163 29| proche avec une singulière agilité entretenue par l’habitude, 164 35| journée. Pas un souffle n’agitait les aiguilles des pins. 165 2| des branches vibrantes, agitant leurs myriades d’aiguilles 166 29| un rocher. En tout cas il agite toujours à voix haute la 167 44| ils s’y abritent et en agitent les feuillages bruissants. 168 49| secouée par les hoquets de l’agonie, – il souffla sous les plumes 169 49| À quoi, Dieu aidant, l’agonisant perroquet répondit, de sa 170 1| jamais entendu parler. « Agradavo », il plaisait. Telle est 171 46| un presque muet, l’autre agréablement bavard, passèrent avec Maurin, 172 16| préfet, si le candidat vous agrée, vous redoublerez d’efforts 173 24| elle ressentait contre ses agresseurs inconnus.~ ~ ~« En criant, 174 3| qu’il y est même pour les agriculteurs un voisin nuisible. M. Désorty, 175 13| gais parmi tous les héros aguerris qui suivaient le grand Empereur ?~ ~ ~« 176 36| ageria (genêt épineux) ou d’agulancier (églantier). Tu es une fleur 177 36| me faire grand mal. Les agulanciers piquent et les vrais Corses 178 48| Pierre d’Auriol, ahuri, se tut, faute de deux cents 179 37| certaines plaisanteries qui les aident à prendre gaiement leur 180 40| insinua Caboufigue, tu m’aideras un peu, j’espère ?~ ~ ~– 181 48| Maintenant, dit-il à Théodule, aidez-moi à vendre mon fonds. Mon 182 21| espère jusqu’à ce que tu me l’aies tuée. Je te loge, je te 183 48| C’est vers 1786 que l’aïeul illustre de cette noble 184 1| contenant du sel, une gourde d’aïgarden1 ; une coupe taillée dans 185 35| fait frisquet (petit froid aigrelet).~ ~ ~ ~Maintenant, déjà 186 34| rectifia la seconde dévote avec aigreur : deux douzaines ! Une, 187 24| un cri de femme éclata aigu, sous bois, à quelque distance…~ ~ ~ ~ 188 36| reprendre son arme très aiguë.~ ~ ~« Voyons, ma belle, 189 5| Quand j’arrivai, cinq mille Aiguebellois (la moitié de la population 190 10| Les gens de Bormes aimaient leur hôte, qui rendait au 191 35| devinait juste. Mais qui aimait-elle ? Lui, Maurin ? peut-être ! 192 33| jeune, pense aux jeunes. Aime-les toutes. N’en trompe aucune. 193 36| murmura :~ ~ ~« Ah ! vaï, aime-moi comme je suis ! »~ ~ ~Il 194 42| enfance, je les ai toujours aimées toutes ! Je la regardais 195 36| m’ennuie de mentir. Je t’aimerai par-dessus toutes, si tu 196 42| que preutêtre, alors, il aimerait mieux la croix – qui lui 197 38| conseil. Peut-être même m’aimeras-tu moins dans peu de temps 198 33| de mauvais livres et tu aimes des boissons mauvaises. 199 5| vénérée dame, comme nous t’aimions tous ! Tout Aiguebelle rend 200 47| ressemble pas au système des aînés, sans quoi on n’est que 201 49| se dressait au bord de l’aire, à trente pas de la bastide 202 1| gendarme et il en avait aisément deviné la cause.~ ~ ~ ~Il 203 4| Les bourgeois les plus aisés sont moins prolifiques et, 204 5| est cinque franques ! » ajout a-t-il.~ ~ ~« Machinalement, 205 1| de l’assistance aussitôt ajoutait, sur le ton de l’interrogatoire : « 206 41| tendait le gentilhomme, en ajoutant :~ ~ ~« Les opinions ne 207 4| Maurin, c’est une musique qui ajoute un sens, un commentaire 208 43| N’ayant plus rien à ajouter d’aucune manière, il abaissa 209 47| les bêtes.~ ~ ~« Et je n’ajouterai qu’un mot : Le génie lui-même 210 48| vos quatre mille francs. N’ajoutez pas un mot, s’il vous plaît, 211 31| servait de banc au paysan, ajusta son canard et le tua.~ ~ – 212 1| briquet, de l’amadou, trois alènes de cordonnier, un tranchet, 213 21| courir quinze perdreaux alertes, suivis d’une gentille belette 214 42| Légion d’honneur :~ ~ ~« Alexandre-Marius-Attila-César Caboufigue, armateur et 215 1| comme un proverbe de M. Alfred de Musset et où le lecteur 216 46| mon ami ! un petit âne d’Alger !… Pitalugue jeta encore 217 3| propre plaisir, mais encore s’aliéner l’esprit de toutes les villes 218 45| marmites et les pots à épices alignés par rang de taille sur la 219 13| rien dire que nous nous en allâmes.~ ~ ~– C’est absurde, dit 220 31| me dit Latrinque en s’en allant, mais, vois-tu, faut de 221 31| ces cordelettes un appât alléchant, lard ou vermisseau ; à 222 40| interrogea l’anxieux et alléché Caboufigue.~ ~ ~– Tu me 223 22| il s’en allait d’un pas allègre, Fanfarnette, la pastresse, 224 11| et une vieille gravure allemande, représentant la Mise au 225 41| naturellement un traité d’alliance avec le populaire Roi des 226 13| couteau-scie ! ! – Et si vous alliez le chercher, Toine, le couteau-scie ?~ ~ ~« 227 49| Pierre.~ ~ ~– Bon. Et qu’alliez-vous nous dire de lui ?~ ~ ~– 228 1| Il avait un visage allongé, les cheveux ras, un peu 229 39| oreilles :~ ~ ~« Je te les allongerai si bien que pas un âne de 230 15| allaient ainsi, par bonds allongés, arrondis, à toute vitesse, 231 37| plumer, tandis que l’ermite allumait le feu et que Maurin taillait 232 47| sur son escabeau tout en allumant sa pipe, la discussion entre 233 33| dire… »~ ~ ~Maurin avait allumé sa pipe.~ ~ ~« Tu fumes, 234 38| assise près de la lampe allumée et de la soupe chaude, mais 235 46| vos pipes. »~ ~ ~Les pipes allumées :~ ~ ~« Voici, dit Maurin. 236 33| ma pipe.~ ~ ~– Et comment allumes-tu les pipes sans allumettes, 237 46| ça, Maurin. Et d’abord, allumez vos pipes. »~ ~ ~Les pipes 238 32| charma Maurin, elle fit une allusion à l’histoire de l’aigle 239 39| on dirait la tige d’un aloès ! Tu ferais mieux de passer 240 37| Domine non sum dignus… Alor la lébr’es foutudo ! (alors 241 35| derrière Tonia, des vols d’alouettes jetaient leur friselis limpide 242 44| causer ensemble, d’une voix alourdie par le plaisir du repos 243 42| à l’Officiel, par ordre alphabétique.~ ~ ~… Chevaliers de la 244 15| prince, faisait de grandes amabilités aux frères Pons, qui auraient 245 49| se percher sur le frêle amandier qui se dressait au bord 246 21| injuriait son cheval. Les deux amants entendaient sa voix rassurante, 247 44| au-dehors toute la longueur de l’amarre. Puis il fit pendre du rebord 248 40| petite baie où Maurin avait amarré sa barque. Il sauta dedans, 249 30| de la stupeur de la foule amassée, qui lorsqu’il se tut, se 250 5| besoin de vous montrer l’ambiance autour de lui. Il est un 251 40| préfet du Var, un dossier ambigu concernant Maurin, dit le 252 40| parles-tu de tout excepté de ton ambition ? Je t’attendais.~ ~ ~– 253 40| épicière de Sainte-Maxime, Amélie, qu’il appelait Mélia et 254 46| cadeau princier, ce qui l’amena à conter à ses amis La lièvre 255 40| plantations de végétaux rares et l’aménagement de son château et des dépendances 256 43| à cause d’une méchante amende que je n’avais pas payée. 257 40| surveiller ».~ ~« Qu’on nous amène, une fois pour toutes, ce 258 20| de gré ou de force il l’amènerait à se trahir comme coupable…~ ~ ~ ~ 259 37| voler au moins un ? » Ils amenèrent sur la place publique un 260 1| collègue ! On dirait que tu amènes avec toi l’humide et tout 261 16| Ah ! oui. Eh bien, amenez-le.~ ~ ~– Bien entendu que 262 27| sens des secondes.~ ~ ~– Amenez-le-moi », avait conclu le juge.~ ~ ~ ~ 263 15| pas leurs pareils dans les Amériques, disait-il, ni chez les 264 20| causant ensemble d’un air amical, un si vilain coquin et 265 43| mériterait que mon soulier l’amire (le vise). Pour ce qui est 266 15| selon les sympathies ou les amitiés. On versa à flots le Champagne : 267 5| noblesse. Comment, sans l’amoindrir, séparer le roi de son peuple ? 268 34| demander enfin.~ ~ ~« Quelque amourette, pardi, nous connaissons 269 24| de dénouer ses histoires amoureuses.~ ~ ~ ~Pour l’instant, il 270 5| seraient des théâtres aussi amusants que nos pays méridionaux.~ ~ ~« 271 10| manquaient encore. – « Cela m’amusera à apprendre dans les deux 272 18| la vôtre. Ce doit être un anarchiste. Ils le sont tous dans le 273 18| qui est son maître… Cet âne-ci doit en avoir un !~ ~ – 274 48| Paul.~ ~ ~ ~Pierre tomba, anéanti, sur une chaise en gémissant.~ ~ ~« 275 49| manière de roman tout coupé d’anecdotes et de récits, sur le ton 276 18| Et voilà que mon temps d’ânerie, comme qui dirait mon temps 277 42| Elle dessinait comme un ange ! Elle me mettait dans tous 278 7| des deux barres deux des angles d’un drap de lit qu’un chasseur 279 24| yeux ardents où il voyait l’animation de la course et en même 280 35| Maintenant, déjà un peu animée par la marche, Tonia avait 281 30| entendu, étaient les plus animées.~ ~ ~ ~Une cérémonie publique, 282 26| deux rivaux, étaient trop animés. Elle guettait l’occasion 283 3| sous-préfet de Toulon lui annonçât le conflit survenu entre 284 42| en janvier. Les journaux annoncent les promotions pour cette 285 29| La Saint-Martin est fêtée annuellement dans les Maures par la petite 286 8| supériorité de tireur l’anoblissait à ses propres yeux, car 287 15| obéissait à tout, à l’ordre antérieur qu’il lui avait donné, d’ 288 27| on meurt. C’est une faute anti-sociale. Les pouvoirs établis ne 289 19| involontaires. Œdipe adore son Antigone.~ ~ ~ ~Le curé et le notaire 290 47| forces opposées, la lutte des antinomies, vie et mort, bien et mal, 291 5| compliqués.~ ~ ~« Depuis l’antiquité la plus reculée jusqu’à 292 34| commode, la statue d’un saint Antoine qu’elles mettaient en pénitence, 293 47| pierre des fées ou dans un antre de pythonisse. Il y a plus 294 48| veux-tu dire ? interrogea anxieusement l’idéaliste Pierre.~ ~ ~– 295 40| faire avoir ? interrogea l’anxieux et alléché Caboufigue.~ ~ ~– 296 19| Grondard le père, un jour d’août, par un torride soleil, 297 15| fantastiques. Puis tout ce bruit s’apaisait durant quelques secondes 298 43| dédain, n’était pas pour apaiser le violent chasseur. Ce 299 16| Maurin ! » s’écria-t-il en l’apercevant. Voilà qui est gentil.~ ~ ~– 300 17| devient plus clair : vous les apercevez mieux quand ils se posent. »~ ~ ~ 301 31| petit âne et le cheval. Nous apercevions encore leurs jambes, par-dessous 302 43| dans son tort, car les gens apercevraient le sens caché de ces imprudentes 303 47| Parbleu ! quand on ne s’en aperçoit pas, c’est qu’on oublie 304 48| sections : horticulture, apiculture, pisciculture, aviculture, 305 23| Grondard, dit-il d’un ton apitoyé. Voyez-moi un peu ça !… 306 10| Quand il avait fait l’apologie de Marat, ingénument, avec 307 39| doute aurait réussi, il l’apostropha de haut :~ ~ ~« Hé ! l’homme ! 308 5| pas ? Eh bien, la justice apparaîtra avec le soleil. On vous 309 20| inquiet d’abord en voyant apparaître le bicorne redouté ; puis 310 30| dos chargé d’une étole d’apparat où resplendissait, en épais 311 44| descendre, au moyen de cet appareil, jusqu’à cet endroit où 312 41| Et c’est vous le comte, apparemment ?~ ~ ~– Lui-même. Vous n’ 313 47| troupe de jeunes gens, tous apparentés, de près ou de loin, à MM. 314 46| Pastouré y fit de fréquentes apparitions et tous deux, Pastouré et 315 48| Voyez-vous, mon oncle, vous appartenez à une génération très coco ( 316 23| lieu du meurtre et ayant appartenu à Maurin, il n’en fallait 317 28| où nous les avions fait appâter avec des provisions, qui 318 22| chaque femme trahie est un appeau qui attire toutes les autres.~ ~ ~ ~ 319 31| Les gamins du village l’appelaient ainsi du plus loin, en sorte 320 45| parût chose impossible, nous appelâmes le prisonnier (mais trop 321 3| Pons. »~ ~ ~Maître Pons fut appelé. Le préfet apprit par lui 322 31| ça ne va plus !~ ~ ~– Qu’appelez-vous des histoires d’hommes ?~ ~ ~– 323 11| aucun cas les inégalités d’appellation.~ ~ ~ ~Au moment où il leur 324 41| Vérignon.~ ~ ~– Comment s’appelle-t-il ?~ ~ ~– Vous devez le connaître : 325 39| Parisiens, pechère ! qui vous appelleront mocos sans vous mettre en 326 10| joueurs :~ ~ ~« Comment t’appelles-tu, toi ?~ ~ ~– Un Tel.~ ~ ~– 327 10| dommage. Il avait l’air appétissant, ce poulet. »~ ~ ~Tel était 328 31| droite ou à gauche du bec, s’appliquer elle-même comme au bord 329 41| Je suis sûr d’un bel appoint. J’aurai tout Hyères pour 330 41| Maurin ? J’augmenterai les appointements.~ ~ ~– Cette fois, par exemple, 331 1| attentif. Quel gibier lui apportait Maurin ?~ ~ ~ ~Maurin, lui, 332 15| bois. Chaque chasseur avait apporté son « vivre » ; mais le 333 43| et que je suis Corsoise. Apporte-moi deux paroles quand tu reviendras, 334 4| rend parfois des services appréciables. M. Désiré Cabissol, fils 335 45| de malheur, dis ?… Si j’apprenais autre chose, misère de moi ! 336 43| Roquebrune – était intelligent et apprenant ce qu’ils voulaient faire, 337 43| que les choses vont bien apprend aussitôt qu’elles vont mal ; 338 1| Musset et où le lecteur apprendra que les Provençaux sont 339 11| monsieur, fit-il ingénument, apprenez-lui la justice ! »~ ~ ~M. Rinal 340 39| garde.~ ~ ~ ~Le garde s’apprêta à obéir.~ ~ ~« Si tu touches 341 5| ceux des assistants qui s’apprêtaient déjà à jeter sur le cercueil 342 29| commandant de gendarmerie apprirent que les nommés Maurin et 343 49| avait le plus récemment apprises son maître :~ ~ – Je suis 344 49| croyant son perroquet plus apprivoisé qu’il n’était en réalité, 345 20| ces bêtes sauvages qu’il a apprivoisées ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Savez-vous 346 22| Méfiez-vous des cantonniers qui apprivoisent tant de bêtes sauvages !~ ~ ~ ~ 347 2| sont des animaux très bien apprivoisés, ils retourneront d’eux-mêmes 348 46| passant par-là, je m’étais approché d’eux.~ ~ ~ ~Ils m’expliquèrent 349 40| attendant, les élections approchent et je suis chargé de vous 350 39| tous, à pas prudents, s’approchèrent.~ ~ ~« Je vois ses ailes ! 351 24| bien entendu, une étude approfondie de ses propres sentiments. 352 14| sont frères. »~ ~ ~Orsini approuvait toujours.~ ~ ~« C’est, par 353 45| meurtre de son père serait approuvé. Vraiment, pensait Grondard, 354 44| fenêtre sans boiserie, aux appuis à demi écroulés, on voyait, 355 24| leurs jeux.~ ~ ~ ~Maurin appuya son cri d’un coup de feu, 356 29| entendait pas, disait en appuyant d’un geste chacune de ses 357 15| la bouche du chasseur s’appuyer sur ses lèvres à peine détournées, 358 44| appui, et, ses pieds bien appuyés maintenant sur les saillies 359 14| connaissait sa fille et ses âpres fiertés de race. La seule 360 4| peignait de fort jolies aquarelles… Elle le fit poser souvent, 361 20| hébétement du poisson d’aquarium qui, à travers une vitre, 362 21| pilier ! il ressemble à l’aqueduc des Fréjussiens ! Va donc, 363 31| voulès qu’aco mi fouté ? aqueleï canars soun pas miou : « 364 5| aller souper.~ ~ – Quès aqueoù couyoun qué parlo ? – c’ 365 35| bouano mèro ! que l’oôublidi, aqueôu Maourin ! (Bon Dieu, bonne 366 41| Comté ! fit Maurin, sioù aqui qué mi songi qué se i’avié 367 38| idée qui tient comme une arapède au rocher, dit Maurin ; 368 13| forains, vire-vire, tir à l’arbalète, jeux de massacre, etc. 369 44| murailles comme de gigantesques arborescences sur les pages d’un herbier 370 17| regardant toujours dans les arbres de son rêve, en clignant 371 26| aussi et il avait, de plus, arc-bouté, contre les deux portes, 372 44| moines, encadré par les arcades du cloître, sous lesquelles 373 44| grosses pierres, sous un arceau du cloître.~ ~ ~ ~S’étant 374 35| s’il faut en croire les archéologues, ce ne sont que les anciens 375 44| C’est un couvent d’architecture romane et qui est tout ruines. 376 3| vanter l’ordre excellent des archives départementales et il l’ 377 3| préfet et d’un secrétaire archiviste, par où l’on verra qu’en 378 20| secret de son cœur, que l’ardent baiser de Maurin avait fait 379 48| récompenses eut lieu dans les arènes antiques d’Auriol, les mieux 380 24| En effet, sur l’arête d’une colline, Maurin aperçut 381 44| ils sont noirs au-dedans, argentés au-dehors, et dans la saison 382 1| les sommets couverts d’argeras (genêts épineux), les vallons 383 41| de Maurin des Maures, l’aristocrate d’en bas.~ ~ ~ ~Jamais les 384 41| du peuple pour toutes les aristocraties qui ont la vraie élévation, 385 30| qu’il portait, culotte d’Arlequin à pièces multicolores.~ ~ ~« 386 48| après celles de Nîmes et d’Arles.~ ~ ~ ~Pierre d’Auriol refusa 387 15| Attention, Pons ! »~ ~ ~Il arma son fusil.~ ~ ~« Que personne 388 4| est quelqu’un. Dans les armées de la première République, 389 43| de ces chasseurs si bien arnisqués (harnachés) ne l’attraperait, 390 30| bondit sur la culotte, l’arracha aux mains du prêtre, et 391 43| abaissa ses longs bras et arrangea son lièvre sur son échine.~ ~ ~ ~ 392 27| compagnons déterminés ?… Cela arrangerait, peut-être, ses affaires 393 32| porte du cabaret, Tonia arrêtée sur la route, aux regards 394 28| prendre tout seul, que tu m’arrêteras ?~ ~ ~– Gredin ! cria Alessandri 395 43| merci bien !… Nous nous arrêterons à La Verne pour le repas 396 26| Eh bien, si tu m’arrêtes, c’est donc qu’elle m’aurait 397 41| Il y eut comme deux faux arrêts, puis un arrêt ferme. C’ 398 30| Sant Martin ! Sant Martin arribo ! »~ ~(Saint Martin arrive !)~ ~ ~ 399 13| empruntés à l’armoire d’un arrière-grand-père… Et de rire. Je vous assure 400 18| Panuce et Pancrace les arrimèrent sur l’échine de l’âne, l’ 401 5| autres ouvriers…~ ~ ~– Qu’arriva-t-il ensuite ? dit le préfet 402 5| Je ne sais pas… j’arrivais… pour vous voir, pour vous 403 15| les sangliers.~ ~ ~ ~En arrivant sur le terrain de chasse, 404 28| nouveau fit obstacle entre les arrivants et les gendarmes. Et calme 405 18| Vierge couronnée ! que m’arrive-t-il… Ai-je la berlue ? Voilà 406 38| sortie des bois et que tu arriveras dans la plaine habitée, 407 48| hospitalité ?… Du reste, vous arriverez presque en même temps que 408 26| remerciement. Et voilà que tu arrives…~ ~ ~« Eh bien, si tu m’ 409 18| encore un peu, afin que nous arrivions au gîte. Ne vous arrêtez 410 15| ainsi, par bonds allongés, arrondis, à toute vitesse, en cassant 411 37| couleur de safran, et les arrosa d’huile vierge.~ ~ ~ ~Tout 412 47| J’entends par-là des artistes qui se préoccupent surtout 413 47| la nature et celles des arts.~ ~ ~– En vérité ! dit M. 414 4| effet d’être une sorte d’Asmodée qui soulève les toitures 415 49| est expressive de tout un aspect du caractère méridional… 416 13| veille de Sant-Estròpi, à asperger nos routes, personne, sauf 417 2| ouvertes comme des naseaux, aspiraient l’air avec force, et de 418 5| primaire en avait fait un aspirant bourgeois. Il voyait grand, 419 20| de révolutionnaires qui aspirent à la tyrannie.~ ~ ~« Ce 420 49| On raconte que Grondard a assassiné Maurin !~ ~ ~– Ce n’est 421 39| rappel sur la caisse pour assembler le monde et dis au curé 422 37| lapins dans tout le pays, s’asseyait ou se couchait sur la première 423 45| mauvaise.~ ~ ~ ~Orsini, s’asseyant, frappa du poing sur la 424 18| Maurin, que bien avant les assignats, il y avait des ânes qui 425 24| acte de vengeance violente, assimilé, dans l’esprit corse, à 426 44| haute devant une cour d’assises par exemple, et il regrettait 427 5| avez vu, de se distraire en assistant, vêtu de ses sombres habits 428 8| préfet fit annoncer qu’il y assisterait avec le sous-préfet de Toulon, 429 13| fermiers et votre serviteur y assistèrent. Nous étions sept, neuf 430 2| Maurin des Maures et son muet associé.~ ~ ~ ~La fierté nationale 431 3| amis, et s’ils veulent s’associer tous trois, les choses n’ 432 15| animal pour l’achever… Il l’assomma en effet et ne se releva 433 5| longue, gilet et pantalon assortis, il était coiffé du kalitre ( 434 44| lâcheté de tous fait votre assurance, mais la lâcheté va finir 435 40| nègres, dit Caboufigue – en assurant sur sa tête son grand chapeau 436 43| idée d’un expédient qui assurerait sa fuite.~ ~ ~« Si vous 437 6| amis, comme nous sommes assurés qu’il pleuvra jusqu’au jour, 438 41| exquise des républiques athéniennes ! »~ ~ ~Et le bras droit 439 19| de charbon. Cet horrible athlète avait des mœurs dignes des 440 11| les langues possibles. Des atlas debout dans des coins. Sur 441 24| même ses fils, et ne s’attable qu’ensuite.~ ~ ~ ~On n’ignore 442 31| canard à son estomac… et j’attachai à un bout de ces cordelettes 443 28| à la porte de l’auberge, attachaient leurs montures à l’anneau 444 26| Le brave Orsini n’attachait aucun sens particulier à 445 45| y prend de manière, en l’attachant, qu’il s’étrangle plutôt 446 44| bien bloqué, à son point d’attache, contre l’angle intérieur 447 44| bien étonné ! Les mains attachées, je ne les ai jamais eues, 448 44| guêpes bourdonnantes qui y attachent leur nid et qui descendent 449 48| soufflant dans leurs cuivres, attaquaient une Marseillaise enthousiaste.~ ~ ~ ~ 450 44| me défendre, je te dis, t’attaqueront, toi ! car il y a une justice, 451 31| mais il a tout l’air d’un attardé. Il a perdu de vue, faute 452 46| Les auditeurs de Maurin s’attardèrent un moment à commenter l’ 453 48| République… dès qu’il aura atteint sa majorité. Une seule chose 454 13| heurter la pointe du collier d’attelage. Le cheval, sentant le heurt, 455 7| le bruit de trois mulets attelés à une charrette chargée 456 21| des Agasses et le hangar attenant riaient au soleil d’hiver.~ ~ ~ ~ 457 43| est le roi des pièges. Où attend-on le lion d’Afrique ? à l’ 458 2| Croyez-vous que Maurin vous attende sur la route ? Il doit être 459 46| comprendre que ses petits l’attendent quelque part… »~ ~ ~Elle 460 18| tôt ici. Vous, mon frère, attendez-moi patiemment sur place, au 461 41| son chien et lui, et il attendit, sans perdre de vue, du 462 28| chaussées. Il sait que nous l’attendons, il viendra.~ ~ ~– Mais 463 34| proche d’ici et où je t’attendrai. »~ ~ ~Orsini alla trouver 464 16| Pastouré, je vais voir. Tu m’attendras à la porte. »~ ~ ~Ils y 465 47| Nietzsche est un douloureux attendri qui porte sa robe à l’envers. 466 33| contempla une bonne minute avec attendrissement le terrible couteau du marin, 467 44| embarrasserais bien à cette heure, attendu que nous vivons déjà trois 468 15| eux, parce qu’ils étaient attentifs en même temps à ce qu’ils 469 44| retombant dans la cellule n’attirât l’attention de ses ennemis.~ ~ ~ ~ 470 48| tout à coup, son regard fut attiré par cette ligne composée 471 2| jure… et il se trouve bien attrapé !…~ ~ ~Pastouré continuait 472 24| n’est pas Sandri qui les attrapera. Ce sera moi… Je vais me 473 6| garder tous les « pas ». J’attraperai mes trois loups comme dans 474 39| mes enfants ! Agantalou ! (attrapez-le !). Zou ! En avant ! »~ ~ ~ 475 2| maintenant pour quelque chose… Attrapez-moi si vous pouvez !… À ce jeu-là, 476 48| générique que la voix du peuple attribue à plusieurs familles de 477 34| de son amour, c’était d’attribuer à la seule Sainte Vierge 478 33| à coup, sa physionomie s’attrista :~ ~ ~« C’est dommage que 479 31| imbéciles de royalistes qui s’attroupaient sur le pont, pendant que 480 39| ne le connaissaient pas s’attroupèrent autour de lui, parlant de 481 24| à rire comme une folle, audacieusement.~ ~ ~ ~Elle riait tant et 482 4| d’esprit, il demanda une audience au ministre de l’Intérieur. 483 17| ses doigts écartés, pour augmenter chaque fois d’un merle le 484 41| garde, maître Maurin ? J’augmenterai les appointements.~ ~ ~– 485 48| ces quatre mots en lettres augustales :~ ~ ~ ~AU CANARD DU LABRADOR~ ~ ~ ~ 486 18| peut-être bien, frère Panuce, n’aurai-je plus jamais la force de 487 44| Diable ! dit Sandri ; aurais-tu du pain, au moins, à nous 488 41| arranger son chapeau en auréole.~ ~ ~– Voulez-vous accepter 489 1| Barrême n’est pas un âne… » Qu’auriez-vous fait à ma place ?… Je tremblais 490 34| roses, le premier rayon de l’aurore.~ ~ ~ ~L’automne finissait. 491 44| par l’or et la pourpre des aurores et des couchants. Là-dedans, 492 13| agissait de venir au pied des autels te rendre l’hommage qui 493 27| publiciste éminent, qui est l’auteur d’un beau livre sur les 494 4| crimes et d’en retrouver les auteurs. Tout à votre service, à 495 17| dernière histoire était authentique, mais Maurin sentait ce 496 48| pour remplacer deux canards authentiquement nés au Labrador, ceux-là… 497 35| tiédeur mouillée de la vie automnale ; elle entrait en lui et 498 4| Si monsieur le Préfet m’autorise à le lui présenter…~ ~ ~– 499 20| vous croyez légitime d’être autorisé à la chose d’avoir des soupçons ?~ ~ ~– 500 48| ans… En ce temps-là les autos se mettaient à peine en 501 10| commandaient, les fatalités auxquelles ils sont soumis, l’importance 502 44| ses deux mains. Mais qu’avaient-ils à craindre puisqu’ils fermèrent 503 18| à présent ? quel besoin avais-je d’un moine ! »~ ~« Pancrace, 504 2| de là ? Des filles, n’en avais-tu pas tant qu’il te plaît, 505 42| La folie des grandeurs l’avait-elle mordu ? Prenait-il au sérieux 506 31| coin du bec… ils avaient avalé l’appât, la ficelle avait 507 31| des fous, ne pouvant ni avaler ni détruire la cocarde, 508 33| promis.~ ~ ~« Té ! dit-il, avalo, couyoun ! »~ ~ ~L’autre, 509 31| mouvement toujours pareil, avançant d’un pas tous les quarts 510 23| toujours tu es, tu t’es avancé sans bruit et tu l’as surprise… 511 41| quoi est-ce que ça vous avancera, dites un peu ? Et si je 512 31| comme toi, faire toutes ces avances… Fais comme je te dis, et 513 39| longues jambes…~ ~ ~ ~Quand l’avant-garde de ses ennemis aperçut cet 514 3| tout au plus la veille ou l’avant-veille de l’ouverture pour ne pas 515 47| perdront quelque chose de leurs avantages ?~ ~ ~– Ils n’y perdent 516 6| demander de parler de moi, avantageusement, à quelqu’un d’ici… à M. 517 31| connaissait dans le pays un vieil avaricieux qu’on appelait – je ne sais 518 47| gagner, moi par exemple, à l’avènement de Maurin, de Pastouré et 519 43| si bien qu’un jour il s’aventura très proche de la maison 520 24| nature, sa vie de chasseur aventureux, laissant au hasard le soin 521 4| prime.~ ~ ~– Trois enfants avérés ! dit M. Cabissol. D’ailleurs 522 22| les choses. La femme a été avertie comme moi, et elle est allée 523 6| Les gendarmes de Bormes avertirent par télégraphe la gendarmerie 524 14| votre fiancée : mais je vous avertis que je ne consentirai au 525 16| Mon cher Maurin, un avertissement ! J’ai parlé au préfet de 526 7| direz-vous, s’ils ne vous avertissent pas quand vous faites une 527 6| commandement de Maurin.~ ~ ~« Avertissez les gendarmes, dit Maurin 528 22| de la lourde porte était aveuglée par une planchette clouée 529 13| de labour, qui, les yeux aveuglés par les œillères bombées, 530 23| comédie destinée à obtenir les aveux du roi des Maures.~ ~ ~ ~ 531 48| apiculture, pisciculture, aviculture, poulets, dindons, faisans… 532 48| Il les parcourut avidement.~ ~ ~ ~Et tout à coup, son 533 41| aqui qué mi songi qué se i’avié qué dé noblé coumo vous 534 5| dernier du cortège. À peine avions-nous dépassé les premiers cyprès 535 5| Je le suivis.~ ~ ~« Il avisa une vieille dame qui s’essuyait 536 40| Toutes les brigades furent avisées et Alessandri trouva des 537 21| un de ces matins elle s’avisera, cette aigle de malheur, 538 44| mieux que les avocats de l’avocasserie, vu que, où nous allons, 539 44| entendons plus et mieux que les avocats de l’avocasserie, vu que, 540 21| en donnera, brigand, de l’avoine, pour travailler comme ça !… 541 20| avait plus aucune raison avouable de pourchasser Maurin. Il 542 44| lorsque tout à l’heure, avoue-le donc, tu n’osais pas le 543 31| mon cher Cabissol ; mais avouez qu’en parlant de Maurin 544 34| lumière était tiède comme en avril. C’était l’époque où les 545 43| Sandri à Pastouré, que nous n’ayons pas d’ordres contre vous. 546 48| préparation de ce diable de baccalauréat. Mais bah ! il sera supprimé 547 14| leva tout pâle.~ ~ ~« Per Bacco ! si je savais ça ! Un homme 548 48| de passer son examen de bachelier ès sciences.~ ~ ~ ~Or, le 549 48| de temps, et dès lors les bacheliers reprendront dans la société 550 48| leçons dans une boîte à bachot, il se mit à écrire des 551 31| rendre héroïque à la fois et badin, d’extérioriser et de voir, 552 30| et le prêtre avaient été bafoués. Il fallait sévir, dresser 553 39| maintenues bien ouvertes par une baguette où il les avait liées d’ 554 44| La grive, qui aime les baies du lierre, y fait en novembre 555 32| route qu’il aperçut, se baignant en pleine poussière, avec 556 22| elle avait eu l’idée de se baigner dans une jarre au grenier… 557 22| avait surprise un jour au bain, la Fanfarnette, un jour 558 43| mettrait le pointu de la baïonnette à l’endroit par où ils gonflent 559 44| sincérité touchante, il le baisa.~ ~ ~« Té ! dit Pastouré, 560 38| vingt fois, le nombre des baisers ne change rien à la chose : 561 24| embarrassée une seconde. Elle baissa la tête et ne la releva 562 46| presque à ses pieds, il se baisserait tout doucement, puis, d’ 563 37| m’est égal.~ ~ – Piarré, balaie un peu la rue, du seuil 564 22| attachée par les pattes se balançait, pendue au canon, derrière 565 7| sorte de hamac profond, balancé au pas égal des porteurs, 566 2| entendait en effet que le balancement des branches vibrantes, 567 37| paresseux bossu n’avait pas balayé.~ ~ – Mauvais âne ! lui 568 44| que je vais le gonfler en ballon et ensuite m’asseoir dessus 569 10| arrangé en terrasse, avec ses balustrades où l’on peut s’accouder 570 13| recouvrer la vue ; son fils, un bambin de douze ans, lui servait 571 17| conversation, une phrase banale, celle-ci à peu près :~ ~ ~« 572 6| m’a amené sur son char à bancs.~ ~ ~– Quand tu as quitté 573 1| collés sur les tempes en deux bandeaux plats, mais épais, lisses 574 43| façon à pouvoir le porter en bandoulière comme une musette, qu’il 575 41| service, monsieur le comte, au banquet de la misère (sic).~ ~ ~– 576 40| pour avoir de l’argent. Les banquiers me menacent, les députés 577 49| naissances et les morts, les baptêmes et les mariages ! Ça serait 578 5| tout au moins, de me voir barboter un peu.~ ~ ~« J’étais fort 579 23| avec son vilain masque de barbouillé.~ ~ ~ ~Célestin tenait dans 580 11| la nuit ! Je suis un vrai baromètre… Voilà un bel enfant. »~ ~ ~ 581 40| Tiens, mon fils a voulu être baron. Il l’est. Il a acheté ce 582 4| Saint-Tropez, nageant, bêchant et barquégeant ; vous diriez, à Paris, 583 35| pour les emporter sur leurs barques de pirates ou seulement 584 28| petite armée des chasseurs barrait la route aux gendarmes.~ ~ ~« 585 6| le Don. Je revenais des Barraous.~ ~ ~– Et tu étais ici à 586 22| bois plein était solidement barré d’une traverse de fer. La 587 1| bien vingt-deux sous, si Barrême n’est pas un âne… » Qu’auriez-vous 588 44| dans une de ces prisons. Barricadez-en la vieille porte et laissez-moi 589 19| était ce que le rôdeur de barrières est aux fortifications de 590 48| Mossieu, je fiens te la bart t’un homme tu monde qui 591 4| Des montagnards des Basses-Alpes furent ses nourriciers.~ ~ ~« 592 21| eux, tandis qu’un jeune basset, hurlant d’effroi, revenait 593 39| longue et solide, il fit au bastet comme qui dirait une anse, 594 8| ancien temps, du temps où les bastidanes achetaient leurs jupes chez 595 39| le village :~ ~ ~« On se bat sur la place publique ! 596 49| pays différents et qui tous bataillent les uns contre les autres, 597 44| bruissants. Les rouges-gorges batailleurs y pullulent à l’automne 598 5| comprenait leur caractère, lui bâtirent sa villa joyeusement. Il 599 11| sortaient de deux manchettes de batiste. Son seul luxe, ces manchettes. 600 39| et quand tous, armés de bâtons et de fusils, et les enfants 601 39| vers le garde :~ ~ ~« Toi, bats le rappel sur la caisse 602 25| jeune poitrine tendue et battante. Elle ne détourna pas la 603 44| cliquetis de duel pareil au battement de deux féeriques épées 604 23| effrontément Célestin changeant ses batteries.~ ~ ~– Qu’y a-t-il encore ?~ ~ ~– 605 3| ordonnaient de temps en temps des battues sur les domaines de l’État, 606 44| avec eux, il les aurait battus, les gendarmes, mais il 607 46| muet, l’autre agréablement bavard, passèrent avec Maurin, 608 43| La politique n’est qu’un bavardage, puisqu’ils ont une Chambre 609 2| croyait complètement seul, il bavardait à voix haute avec de grands 610 43| iraient mieux, les choses. Les bavards toujours nous perdent. La 611 44| Dans le carnier béant qu’ils visitèrent, ils ne 612 41| avec une admiration sourde, béate. Il demeura longtemps pensif, 613 16| peu mon parent, étant mon beau-frère, et qu’en remerciement de 614 47| de mieux comprendre les beautés de la nature et celles des 615 29| paroles :~ ~ ~« Pas une bécasse ! pas une !… Si j’en avais 616 4| de Saint-Tropez, nageant, bêchant et barquégeant ; vous diriez, 617 13| Toine en se remettant à bêcher ses oignons avec mollesse, 618 39| fifis, les futifùs et les becs-figues, tant et tant que les bravades 619 34| des côtelettes, puis des becs-fins rôtis, puis du lièvre ; 620 31| là-dessus le curé et le bedeau jusqu’à les emmalicer ; 621 40| même bateau de pêche. Il bedonnait déjà, le porc ! Nous nous 622 48| stupide que jamais, bouche bée.~ ~ ~« Mon oncle, lui dit 623 49| Elle m’a répondu sans bégayer : « C’est le roi d’Italie, 624 | ben 625 36| contenteraient de votre bénédiction, si avec ça vous leur donniez 626 13| et nos hymnes pieux, les bénédictions de notre saint vénéré sur 627 24| de reconnaissance et de bénéfices qu’à d’autres la hardiesse 628 27| les faisait maintes fois bénéficier de ses découvertes ; et, 629 13| parapluie ! Que ceux-là soient bénis. Ainsi soit-il. »~ ~ ~Le 630 18| admiraient l’âne, et ils le bénissaient du fond de leur cœur comme 631 5| la fosse.~ ~ ~« Le prêtre bénissait la tombe ouverte et psalmodiait 632 44| Tenez, gendarmes que Dieu bénisse, voici le lapin cuit, qui 633 6| cachés dedans. C’est comme un bénitier dans une niche d’église ; 634 37| Bouches-du-Rhône, le pays béotien aux habitants duquel la 635 36| la mer bleue flamboyait, berçant à pleine houle les Îles 636 36| de nègre fut apportée au berceau de Jésus par un des rois 637 22| tranquille, et la petite bergère Fanfarnette également. »~ ~ ~ 638 40| diables comme toi, avec des bergers de crocodiles sans grande 639 18| m’arrive-t-il… Ai-je la berlue ? Voilà mon âne qui s’est 640 4| est-il ?~ ~ ~– À l’hôtel Bertin.~ ~ ~– Faites-lui demander 641 7| trompe. Faites du bien à Bertrand, c’est en fientant qu’il 642 10| existence. Il comprenait leurs besoins, les circonstances qui les 643 4| barque. »~ ~« Gaspard de Besse, notre fameux voleur révolutionnaire, 644 33| et tu n’es pas content ?… bestiasse ! »~ ~ ~Il but rasade, essuya 645 36| ouvert pour abriter les bestioles de l’herbe.~ ~ ~ ~Et un 646 13| faisait conduire à l’étable de Bethléem, dans l’espoir d’y recouvrer 647 2| encore et me font faire des bêtises, et je le suis, cet homme, 648 43| il leur fondrait comme du beurre ou leur coulerait entre 649 11| livres et de papiers. Une bibliothèque chargée de petits et gros 650 16| pêcheur, qui habitait une bicoque dans la plaine de Fréjus ; 651 20| en voyant apparaître le bicorne redouté ; puis quand Sandri 652 13| effort qui accroîtra leur bien-être, mais, ne vous y trompez 653 29| de travers par tous les bien-pensants du Plan-de-la-tour. Il y 654 30| les mains vers la loque bienfaisante. Le manteau d’un bleu cru 655 48| intelligence suprême et de haute bienveillance.~ ~ ~« Je vous comprends 656 24| veux-tu ? Ce serait un cadeau bienvenu pour lui, – que peut-être 657 23| écoute, ne m’échauffe pas la bile, ce serait tant pis pour 658 4| monsieur le Préfet, ni le billard ni le théâtre ne donnent 659 49| instances, une sorte de biographie de Maurin des Maures, une 660 4| nerveuse ; Maurin, brun à peau bistre, jouait sur les plages de 661 11| chapeau de feutre très mou, bizarrement déformé, un couteau de marin 662 34| avaient parlé sur un ton de blâme sévère.~ ~ ~ ~Orsini, de 663 29| victimes. Et Sandri fut blâmé ! Tout cela fut très habilement 664 22| bois plein, avec ses murs blanchis à la chaux, avec ses tuiles 665 17| toutes noires sur le ciel qui blanquège à peine. Vous continuez 666 42| pays, par le commerce des blés et l’exploitation des alligators, 667 19| ronde, légère, blanche et bleuâtre, se détacha de la verdure 668 14| gendarme aux joues roses et bleues rougit vivement.~ ~ ~« Vous 669 1| avait les joues et le menton bleus comme le ciel. On eût dit 670 12| ses eucalyptus d’un gris bleuté sur le bleu de la mer. Du 671 44| ce que le bâton fût bien bloqué, à son point d’attache, 672 10| fond de l’embarcation, tout blotti, un peu tremblant. Les hommes 673 11| son jardin, un garde en blouse bleue, au képi de sous-lieutenant 674 5| gravement, je me suis fait bô pour un peu venir voir la 675 39| effroyables !~ ~ ~ ~Alors, tel Boabdil, le roi Maurin, qui pour 676 25| verre.~ ~ ~« Et toi, tu ne boiras pas, petite ? interrogea-t-il 677 22| gardait le silence.~ ~ ~« Vous boirez bien un verre de vin, pas 678 49| était arrivé sur les cimes boisées du Coudon, à quatre lieues 679 44| méfiants. Par la fenêtre sans boiserie, aux appuis à demi écroulés, 680 33| mauvais livres et tu aimes des boissons mauvaises. Ça te gâte l’ 681 12| la sienne, il vit venir, boitant avec sa légèreté élégante, 682 11| boitait légèrement, mais de la boiterie il avait fait une sorte 683 1| six livres de plomb, trois boites de poudre, deux boîtes de 684 1| trois boites de poudre, deux boîtes de capsules (car bien qu’ 685 33| autre, peu accoutumé à ces bombances, prit le bon morceau et 686 13| aveuglés par les œillères bombées, tournait en rond, mettant 687 32| des coups de mine ou des bombes chargées de poudre de contrebande.~ ~ ~– 688 48| dit le préfet, du ton d’un Bonaparte menaçant (ce ton-là est 689 15| les bêtes libres ! Elles bondissaient par-dessus la bruyère comme 690 23| Le griffon se releva en bondissant. Il s’élança… tenant entre 691 31| elle-même comme au bord d’un bonnet de la Liberté.~ ~ ~« Et « 692 42| pour qui vous avez eu des bontés lorsque, il y a déjà bien 693 31| çarette… il me dit encore bonzour quelquefois, oui, mais il 694 9| touffe de nasque, derrière la borne kilométrique la plus voisine. 695 45| intelligences d’impulsifs bornés qui ne voient jamais qu’ 696 5| poste d’observation dans les bosquets funèbres.~ ~ ~– Son poste 697 35| espace. La tiédeur du sol, bossué et comme gonflé de racines 698 17| Provençal d’origine et fils d’un bottier de village (détail connu), 699 40| pour les gentlemen et des bottines pour les ladies. Le prince 700 35| provençal :~ ~ ~« Bouan Dioù, bouano mèro ! que l’oôublidi, aqueôu 701 37| main le tuyau qu’il fallait boucher bien vite avec la paume 702 42| voit tout ouverts chez les bouchers dans les villes, la veille 703 37| soufflerai pas ! De trop vilaines bouches ont passé par-là ! »~ ~« 704 37| ce que Martigues est aux Bouches-du-Rhône, le pays béotien aux habitants 705 31| étui de roseau coiffé d’un bouchon de liège ; il posa à côté 706 8| Des amis, chasseurs et bouchonniers, avaient promis, moyennant 707 39| de mordre, il s’en fit un bouclier.~ ~ ~ ~Hercule, paisible 708 33| ne répondit pas.~ ~ ~« Tu boudes ? À ton aise ! »~ ~ ~Puis 709 9| relégué dans sa chemise bouffante les engins de chasse qui 710 5| un !) fumait une grosse bouffarde d’où s’échappaient des flots 711 37| arracher la queue d’un âne. Bouffe, mistral ! quelle sizampe !…~ ~– 712 31| tira de sa pipe une bonne bouffée et il la rejeta avec ces 713 41| le couvert n’avait plus bougé. Il allait s’enlever à bonne 714 15| de se taire, de ne pas bouger, comme à celui, le même, 715 21| arrête ! Croyez-vous qu’il bougera maintenant ? Quelle vie, 716 15| derrière ce rocher, et ne bougez pas. Et silence !… Et surtout 717 45| et de malice. Et puis, ce bougre-là, je vous dis, nous avait 718 16| fierté, ni cœur, – tous ces bougres-là, ces électeurs-là et les 719 40| Provence vont manger la bouillabaisse, quand ils ont le bonheur 720 27| de Tonia, et le sang lui bouillait de colère.~ ~ ~« Bravo !… 721 34| vermicelles, puis le bœuf bouilli, puis le bœuf en daube, 722 23| et de te voir ça me fait bouillir… Si j’avais eu le bonheur 723 23| échauffait. Le sang provençal bouillonnait en lui. Lent à s’émouvoir, 724 33| quelques troncs d’arbre. Une bouillotte chantait. Un chat ronronnait 725 13| appartient à mes vieux amis Boujarelle. Devant le château, au flanc 726 48| de cette noble famille, boulanger de profession, prononça 727 31| quignons de pain moisi que les boulangers gardaient pour les chiens… 728 5| boules ferrées (de vrais boulets) dans les mains. On commençait 729 31| avec quatre épis, quelques boulettes de farine. Ça, je le lui 730 3| Élisée Reclus, servit de boulevard aux Maures pendant le cours 731 44| ces lierres, des guêpes bourdonnantes qui y attachent leur nid 732 19| bruissement égal et continu : le bourdonnement de la lumière d’été.~ ~ ~ ~ 733 23| plaisir. Vingt villes et bourgades du département suivent mes 734 30| Il reçut de Pastouré une bourrade qui l’envoya rouler, les 735 22| chemise, très à l’aise et bourrant sa pipe, eh ! gendarme, 736 37| pied, et, soulevé par la bourrasque comme une plume, il descendit 737 44| romarin dont Pastouré l’a bourré avant de le mettre sur le 738 1| après « ses plans » par le bourrelier de Collobrières, était une 739 23| toi… Mes chiens là-haut « bourrent » la bête… et je ne veux 740 1| satisfaction visible, et se mit à bourrer sa pipe lentement.~ ~ ~ ~ 741 18| heure attachée la corde du bourriquet, assez semblable à la corde 742 21| au seuil de laquelle se bousculaient des poulettes épouvantées. 743 42| l’attacha gravement à la boutonnière de Caboufigue.~ ~ ~« Je 744 5| histoire de Geneviève de Brabant… Voilà, messieurs et dames, 745 46| et de la lièvre, sorte de braconnage qui, en temps ordinaire, 746 11| pantalons en véritables braies antiques, le corps pris 747 18| les cailloux ardents comme braise.~ ~ ~« Tout à coup, frère 748 33| regardaient s’écrouler les braises.~ ~ ~ ~Capoulade alla à 749 15| ils frémissaient avec les braïsses rosées et violettes ; leur 750 5| est-à-dire : quel est cet âne qui brait ? », cria une voix.~ ~ ~« 751 31| Un gros cheval, entre les brancards, suivait l’âne d’un air 752 35| se détachera point, où la branchette tombée ne craque pas. Il 753 41| Une envie vague de braquer son revolver sur Maurin 754 16| rentra dans la ville en bravadant, c’est-à-dire en poussant 755 29| osait pas, et Pastouré, par bravade finale, visant le ciel où 756 39| becs-figues, tant et tant que les bravades de Saint-Tropez sont moins 757 49| auras traversé les océans, bravé, surmonté les dangers de 758 14| affirmer son indépendance, de braver son futur maître :~ ~ ~« 759 25| ce gentil paiement de sa bravoure… Ce n’était pas un bien 760 31| son sac, comme de juste, bredouille enfin. Il avait de belles 761 49| est-à-dire cet « oiseau » brésilien se mit à cheminer, chaque 762 37| prennent le nom, manceau ou bressan, de chapons.~ ~ ~ ~Puis 763 1| il plaisait. Telle est la brève explication que donnaient 764 49| mon maçon, laquelle a son brevet : « Qu’est-ce que c’est 765 46| un coup, tirant sur les brides de corde, il arrêta doucement 766 1| gendarme, appartenant à la brigade d’Hyères, ne pouvait venir 767 38| les gendarmes deviennent brigadiers avec des protections.~ ~ ~– 768 47| desservir, puisque je ne brigue ni le mandat de député ni 769 11| fines, aux ongles nets et brillants, sortaient de deux manchettes 770 36| poignée et dont elle fit briller hors du fourreau la lame 771 7| une charrette chargée de briques ! Aï ! pourquoi faut-il 772 1| dans sa gaine de cuir ; un briquet, de l’amadou, trois alènes 773 43| puits, à tour de bras, il en brisa la crosse… « Boum ! » cette 774 43| peu s’il n’y a pas de quoi briser un fusil pareil ! »~ ~ ~ 775 49| velours subredoré et tout brodé de fleurs par la Sainte 776 46| élégante parmi la manchette brodée et souple, il en offrit 777 40| Maurin. Maurin écouta sans broncher la révélation surprenante 778 13| homme d’équipe à la voix de bronze.~ ~ 779 40| de la République en fonte bronzée. Donc, il peut nous gêner 780 5| chapeau haut de forme, bien brossé, luisait de son mieux au-dessus 781 40| soutirerai jamais. L’argent brouille les amis.~ ~ ~– Tu as raison », 782 49| attachée, il faut qu’elle broute, – quand ce serait sur un 783 18| que j’étais en train de brouter l’herbe dure, crac ! voilà 784 47| toute heure, il faut savoir broyer en soi, douloureusement, 785 5| puisse labourer quand il bruine, comme le font éternellement 786 44| en agitent les feuillages bruissants. Les rouges-gorges batailleurs 787 33| manteau de l’immense cheminée brûlaient quelques troncs d’arbre. 788 20| auberge pour laquelle Sandri brûlait d’un feu coupable.~ ~ ~ ~ 789 1| Il but une gorgée de café brûlant avec une satisfaction visible, 790 15| poitrine, une oppression brûlante, comme une pesée chaude… 791 1| aussi de la cheminée où vous brûlez un chêne-liège entier auquel 792 36| Corse !… Tenez, tenez, la brume a fondu ; voyez cette ligne 793 35| de la plaine, ouatée de brumes que frangeait la dorure 794 1| avait pas voulu cependant « brusquer les choses », reconnaissant 795 40| Caboufigue avait de brusques retours à des simplicités 796 24| hardiesse des entreprises brutales.~ ~ ~ ~Il poussa un gros 797 30| feriez l’effet d’être des brutes, si vous ne me faisiez l’ 798 39| Saint-Tropez sont moins bruyantes et moins effroyables !~ ~ ~ ~ 799 43| qu’on jette quand on en a bu le meilleur. N’appelle pas 800 1| les buveurs, paysans et bûcherons, deux gendarmes et aussi 801 5| cochonnet, petite boule de buis dont le choc me fut assez 802 22| courut se cacher dans un buisson.~ ~ ~ ~Et Maurin, se remettant 803 12| murailles blanches, à pleins buissons de roses, et découpe ses 804 48| m’en doute ! proféra le bureaucrate Paul, que sa vie dans les 805 48| mairie d’Auriol, ce que les bureaux sont aux ministères. Et 806 18| fut fait, les deux moines burent un coup de clairet à la 807 47| bons vins qu’ils avaient bus dans la journée. Ayant rencontré, 808 33| joyeuse :~ ~ ~« Ah ! grande buse, va ! Tu cherchais une mère, 809 40| Wallace, telle autre d’un buste de la République en fonte 810 44| criant aux gendarmes :~ ~ ~« Buvez à la fontaine ! »~ ~ ~Les 811 16| enlèvement des chevaux. Ç’a été très difficile a arranger. 812 44| qu’on n’a pas ouvert ma caboche. On y aurait vu que tout 813 44| ramiers y roucoulent. Le cabreïret, la nuit, y parle seul et 814 44| étayèrent la porte avec un gros cabrin (poutrelle) qui traînait 815 29| finale, visant le ciel où se cache la puissance suprême, tira 816 44| sortiront des trous où elles se cachent, comme sortent, au tambour 817 21| descend en faisant le rond. Cachez-vous, Maurin ! que vous l’aurez ! »~ ~ ~ 818 48| heureuse médiocrité.~ ~ ~ ~Son cadet, Paul, cinquante ans, est 819 5| aînée et elle voit partir sa cadette, pechère ! »~ ~« Bédarride 820 30| de quelques pénitents en cagoule.~ ~ ~ ~Or, l’usage veut 821 37| profits.~ ~ ~ ~Il habitait une cahute où il fit entrer les amoureux, 822 35| elle poussa un cri ; un caillou tranchant l’avait blessée. 823 30| trouva sa valise et ses caisses d’échantillons sur le trottoir.~ ~ ~ ~ 824 7| ou de sable, bien ou mal caladés, et qu’ils aboutissent quelque 825 3| de granit au milieu des calcaires. Le chemin de fer de Marseille 826 31| de tout le monde, dont il calculait le rapport.~ ~ ~– J’en connais, 827 23| prendre la fuite, et il avait calculé ses chances et moyens.~ ~ ~ ~ 828 31| on y voit est petite, pas calculée à l’avance, rachetée par 829 19| un : l’Ogre et l’autre : Caliban. En quoi ils étaient d’accord 830 42| C’est moins lourd qu’un calibre douze ! » dit-il et il signa 831 33| et d’une voix fluette et câline. Je vois, clair comme le 832 45| fillette alla à son père, et, câlinement, l’embrassa.~ ~ ~ ~ 833 14| as raison. »~ ~ ~Elle se calma en effet.~ ~ ~« Prépare 834 7| de calmer Maurin. On ne calmait pas Maurin. Quand il roulait 835 45| demeurer tranquille ; puis, calmée en apparence :~ ~ ~« Mon 836 13| préfet, il me semble que vos calmes Méridionaux ont secoué leur 837 40| caps, d’un côté jusqu’à Camara, de l’autre jusqu’à Saint-Mandrier 838 8| droite, est à mon ancien « cambarade » Caboufigue, – qui, parti 839 2| partie d’écarté avec tes « cambarades » ou plutôt tu en feras 840 24| cheval à la recherche d’un campement nouveau, sont suivis des 841 28| ils étaient fièrement campés sur leurs chevaux. Ils allaient 842 40| faveur, et pour toi se feront canailles, et pour cent sous te vendront 843 33| dit, c’est une pensée de canaillette, mon fisto !… Pour moi, 844 48| La grande faisanderie ou canarderie des d’Auriol prospéra rapidement : « 845 49| contre sa poitrine la longue canardière de Grondard, la saisit à 846 31| qu’aco mi fouté ? aqueleï canars soun pas miou : « Que voulez-vous 847 41| Maurin s’expliqua. Des deux candidats républicains qui, selon 848 40| vendre la pauvre France. Des candidatures comme la tienne, ça vous 849 12| de loin, lui fit, de sa canne levée, un signe d’amitié.~ ~ ~ ~ 850 43| sort d’un canon, c’est ce canon-là qu’il faudrait pouvoir tourner 851 41| ses deux petits joujoux de canons qui reluisaient au soleil, 852 4| vous diriez, à Paris, canotant. Un été, une famille bourgeoise, 853 16| casquette ronde comme un cantalou et couleur d’aubergine, 854 49| Si, si ! confirma le cantinier du Don qui accourait chez 855 30| Alors le saint s’arrête. Les cantiques éclatent. À ce moment précis, 856 8| monsieur le Maire. Dans chaque canton des Maures, j’ai des souvenirs. 857 22| pièges. Méfiez-vous des cantonniers qui apprivoisent tant de 858 44| plateau qui s’avance comme un cap sur le ravin. Au-dessous 859 45| taureau en lui présentant la cape. Grondard voyait très bien 860 13| Oh ! bou Diou ! qué capeou ! (Oh ! mon Dieu ! quel 861 48| souverains qui visitent la capitale traversent son salon, et 862 21| bourrique ! hue donc… capôtot d’estiou ! (c’est-à-dire : 863 40| côte avec ses golfes et ses caps, d’un côté jusqu’à Camara, 864 43| terre sa cruche, regarda la capsule, la retira, en mit une autre 865 7| vagabonds. Au moment d’être capturés, ils avaient tiré sur la 866 18| ils portaient dans leur capuchon, à la façon des Sarrazinois, 867 28| leurs fusils des airs de carabines.~ ~ ~ ~Et ils poussaient 868 20| prétexte : un motif bien caractérisé. Ce motif, il résolut de 869 1| cette physionomie était caractéristique, et semblait plaisant sous 870 5| qui coumpren pas nouastré caratéro. (Votre Lyonnais est un… 871 31| réfléchi, ce mot immortel du cardinal de Retz qui dit que la sagesse 872 23| celle-là il faudrait avoir fait carême durant quarante fois quarante 873 18| museau une petite tape, une caresse tendre, toute pleine d’indulgence.~ ~ – 874 40| aime… Tous les autres me caressent, je te dis, et lèchent mes 875 40| disait-on, l’avait payé d’une cargaison de pierres précieuses.~ ~ ~ ~ 876 33| leur sculpte très bien des caricatures de singes ou des grimaces 877 39| charivari, une chamade de carnaval ; et à qui mieux mieux ceux 878 36| flottante qui recouvre les carniers de cuir des Provençaux, 879 15| Pastouré muet comme une carpe, avait tout de suite pris 880 34| devait se rendre à Pignans en carriole, et qui, peu de jours après, 881 1| joueurs oublièrent leurs cartes, pour le regarder attentivement. 882 18| important.~ ~ ~ ~Il assura sa casquette-melon sur sa tête et son cor de 883 15| nous autres chasseurs de casquettes… Allons, messieurs, aux 884 3| chasseurs ! Eh bien, les casquettiers se plaignent. »~ ~ ~ 885 33| résistant du lièvre.~ ~ ~ ~Il le cassa tout à coup entre ses dents. 886 8| fait plus. Le moule est cassé. C’est encore un peu un 887 7| et toujours dans des rues Casse-toi-le-derrière ? Il faut croire que l’amitié 888 28| Ma roue de droite est cassée~ ~ ~ ~– Ma roue de gauche 889 49| il doit y avoir trop de cassements de tête. Et pour faire la 890 13| joueurs se divisent en deux catégories : les pointeurs, qui doivent 891 31| défiant l’Olympe du haut du Caucase !~ ~ ~– Et il n’est ni plus 892 22| à la ferme des Agasses, causa plus que de raison avec 893 32| sommes amis ! »~ ~ ~Ils causaient, Maurin sur le pas de la 894 40| moitié nus, sur les plages de Cavalaire et du Lavandou. Depuis, 895 37| de Pignans, chasseur et cavalier, la fameuse messe restée 896 2| deux puissantes bêtes sans cavaliers s’arrêtèrent tranquillement.~ ~ ~ ~ 897 31| foulait la vendange dans sa cave, quoiqu’il dansât trop haut 898 49| perroquet répondit, de sa voix caverneuse, par ces paroles, celles – 899 43| Lorsqu’ils trouvaient un cazaoù, vieille bâtisse en ruine 900 9| que son père, mais la demi cécité du vieux, dont l’oreille 901 37| méchante robe de bure, de se ceindre les reins d’une corde et 902 39| maire en personne apparut, ceint de son écharpe et suivi 903 18| semblable à la corde qui ceinturait sa robe de moine.~ ~ ~« 904 12| uniforme et la plaque de son ceinturon.~ ~ ~« C’est égal, se disait 905 33| tout le golfe, mais dont la célébrité est devenue universelle, 906 8| qu’avec des prodiges de célérité, d’attention, d’observation, 907 28| moi ! moi ! »~ ~ ~Et une centaine d’hommes entouraient les 908 33| adosser au tronc énorme du pin centenaire.~ ~ ~ ~Hercule, voyant qu’ 909 4| préfet, M. le commissaire central avait déclaré qu’il ne savait 910 4| province, un gouvernement qui centraliserait leurs connaissances pourrait 911 45| de voir, comme il vous le certifiera lui-même. »~ ~ ~Le collègue 912 5| espérance, que dis-je ? dans la certitude des récompenses éternelles 913 31| notre Maurin ; et, dans Cervantès, ni l’attaque des moulins 914 41| gentillesse, mais Maurin cessa de sourire.~ ~ ~« À quoi 915 27| accord que, toute affaire cessante, ils devaient tracer les 916 13| Dès que la pluie avait cessé, un vent assez fort s’était 917 44| vient son moment, les sots cessent de l’être, et comprennent. 918 45| chose dans l’avenir, je cesserai de te voir et de t’aimer. 919 2| sortir de leur commune, ceuss d’Hyères ?~ ~ ~– On leur 920 19| bassesse compromettante. Et ceux-ci comme ceux-là par la mystérieuse 921 36| mais je ne veux pas les chagriner, pecaïre ! »~ ~ ~Elle se 922 3| chaîne principale et ses chaînons latéraux, ses vallons et 923 48| frappant sur le bois de sa chaire sonore un coup de poing 924 30| on hurlait. Des hommes se chamaillaient ; des femmes se trouvaient 925 38| femmes) nous allons nous chamailler longtemps sans que ton idée 926 39| était guère connu qu’aux chambrées, parmi les hommes de son 927 44| mètres de précipice ! Ce chambron ayant servi naguère, selon 928 15| amitiés. On versa à flots le Champagne : il y en eut trois fois 929 7| autres, comme les gardes champêtres qu’on charge d’arrêter les 930 42| madame***… en son hôtel, Champs-Élysées.~ ~N°… à Paris.~ ~ ~« Madame,~ ~ ~« 931 1| qui, plantées dans des chandeliers de cuivre, fumaient sur 932 41| Le faisan, qui montait en chandelle, retomba aussitôt sur le 933 23| affirma effrontément Célestin changeant ses batteries.~ ~ ~– Qu’ 934 35| les témoins fixes des âges changeants. Ils répètent sans fin l’ 935 43| que la courroie de bonne. Changeons tout de même l’amorce. Je 936 26| enfin le forestier, n’y changera rien… Je voudrais sauver 937 40| Caboufigue, apprends que je ne changerais pas avec toi ! J’ai beau 938 40| qualité de la peau ne te changerait pas ton métier…~ ~ ~– C’ 939 13| Arcs. Les deux voyageurs changèrent de train ; il pleuvait légèrement.~ ~ ~« 940 31| le Canonge.~ ~ – Oui, le Chanoine.~ ~ – Peut-être bien, je 941 19| une de ses tentatives de chantage, avait menacé de le dénoncer.~ ~ ~ ~ 942 19| plupart se compliquaient de chantages, et ses victimes préféraient, 943 1| lieues de bois de pin qui chantent à la fois, compères ! C’ 944 26| Orsini entendit sa fille chanter dans le bois voisin.~ ~ ~« 945 31| République.~ ~ ~– Que nous chantez-vous là !~ ~ ~– La pure vérité. 946 5| jour-là, désertèrent le chantier. Mais la pluie, qui empêche 947 24| regardant Maurin de côté, chantonna :~ ~ ~ ~Mon bon monsieur, 948 18| crever comme un ventre de chantre… Et si une fois je le pose, 949 47| admirable que de tout ce chaos se dégage en somme une idée 950 44| toitures, ces cellules et ces chapelles, c’est-à-dire des abris 951 19| bouton on voyait un faucon chaperonné avec cette devise : Mon 952 37| valent pas en ce moment un chapon bien huilé, accompagné d’ 953 6| Giraudin qui m’a amené sur son char à bancs.~ ~ ~– Quand tu 954 8| remonter vers vous : pinsons, chardonnerets, hirondelles, ramiers… Ils 955 39| vers la terre et vers les chardons rares qu’il regrettait. 956 39| affaire devenait sérieuse, chargea la cohorte endiablée. Et 957 3| dans l’Esterel, et, qu’on chargeait des braconniers du pays, 958 37| l’ermite, des vignerons charitables ; d’ailleurs le vin se vend 959 39| à Maurin une conduite de charivari, une chamade de carnaval ; 960 10| Jésus… et Marat ! Il avait Charlotte Corday en exécration. « 961 32| elle refusa. Et, ce qui charma Maurin, elle fit une allusion 962 21| perdrix.~ ~ ~ ~C’était un charmant spectacle, à l’heure où 963 15| fille sauvage subissait le charme de l’heure, du lieu, de 964 36| surprise de lui, et malgré tout charmée ; déjà elle regrettait son 965 35| autrefois pour honorer le désir charnel, ils sont les témoins fixes 966 21| Secourgeon. Ah ! garce ! charogne ! Elle me ruinera, la gueuse ! 967 25| blanche au soleil, et dont les charpentes visibles étaient d’un bois 968 47| presque aussi bien que le charpentier du bord.~ ~ ~ ~Le soir, 969 31| assis sur une chaise, le charretier, propre, l’air cossu, fumait 970 4| lui, fils de fruitière ou charretiers, devenaient généraux à vingt 971 10| est plus ; les voitures et charrettes doivent gravir un spacieux 972 46| mouches, le cheval, en les chassant du pied, aurait peut-être 973 41| l’affût.~ ~ ~ ~Chasseur chassé, Maurin observait à la fois 974 43| à mon idée : pourquoi le chasse-t-on, cet homme ? Pourquoi ? 975 3| tuent, et non pas ceux qui chassent en fraude. Le nom de braconnier 976 43| mais des chasseurs qui chasseraient un gibier comme le font 977 2| descendrons de cheval. Nous chasserons les deux bêtes avec un bon 978 43| Ils manqueraient, ces chasseurs-là, un bœuf dans un corridor ! 979 3| Et d’abord vous-même, chassez-vous ? »~ ~ ~L’académicien sourit 980 22| gagnée, depuis que vous la chassiez !~ ~ ~– Un verre de vin, 981 17| Labarterie, comment nous chassons les merles, nous autres. 982 16| fit Maurin… Quel zibier chassons-nous, pour voir ?~ ~ ~– L’époque 983 33| bouillotte chantait. Un chat ronronnait à côté de deux 984 24| immédiatement suivi d’un cri de chat-huant qui eût été inimitable pour 985 19| Age, qui, du haut de leurs châteaux forts, fondaient, secondés 986 13| la messe.~ ~ ~« Seuls les châtelains – au nombre de trois – leurs 987 31| aventure, on ne songeait plus à châtier le coupable. L’histoire 988 39| doit pas s’en apercevoir. Chatouilleuse à l’excès sur ce point, 989 48| mille cinq cents hommes chauffaient les fours, gavaient les 990 44| lézard qui, dans les endroits chauffés par le soleil, ouvrent, 991 28| premières espadrilles qu’il a chaussées. Il sait que nous l’attendons, 992 1| pour le raccommodage de ses chaussures ; deux tournevis, six livres 993 22| avec ses murs blanchis à la chaux, avec ses tuiles rousses, 994 49| jour, il s’envola vers le chef-lieu en récitant aux échos des 995 40| pourraient suivre Maurin par ce chemin-là !~ ~ ~ ~Maurin allait rendre 996 18| chargés comme des ânes, cheminaient péniblement dans les sentiers 997 33| parler comme tout le monde, cheminait d’un air préoccupé, sournois, 998 4| Maurin, dans son costume de chemineau chasseur, à peine entré 999 34| monter sous les pins et les chênes à travers les bruyères, 1000 33| Ah ! grande buse, va ! Tu cherchais une mère, tu trouves un 1001 39| chuchotaient entre eux :~ ~ ~« Que cherche-t-il celui-là… Il a perdu quelque 1002 45| t’aimer. Un mari, tu en chercheras un autre.~ ~ ~– Je ris, 1003 18| Je n’aime pas ce préfet chercheur de popularité qui invite 1004 22| y a pas ici ce que vous cherchez, c’est moi que je vous le 1005 49| rencontrons au bout ce que nous cherchons… À vous bientôt revoir ;