Chapitre

  1   1|        bien ouverte, on entend les plus petits bruits ; mais on
  2   1|         toutes les cinq minutes au plus ! Tout en un coup, il passe
  3   1|       mettre contre lui un citoyen plus puissant que le Bon Dieu
  4   1|        cela, jusqu’ici, qui est la plus mauvaise accusation de toutes
  5   2|       cherchent partout. On ne t’a plus vu nulle part, ni le conducteur
  6   2|            que contre toi il n’y a plus de plaintes en ce moment
  7   2|       moment et qu’on ne te chasse plus ?~ ~ ~– C’est vrai, mais
  8   2|       chose.~ ~ ~– Et quoi ? Tu es plus parlant, à l’ordinaire.~ ~ ~–
  9   2|           Quand ça presse, je vais plus vite, dit Saulnier… Et il
 10   2|           impatienter le monde. Et plus on s’impatientait, plus
 11   2|            plus on s’impatientait, plus alors Saulnier vous faisait
 12   2|         mon fénestron, elle ne dit plus rien. Et alors ce silence
 13   2|          on me cherche, il la fera plus longue cent fois, son histoire ;
 14   2|       paraissaient maintenant bien plus petits que nature et ils
 15   2|            le recevoir, et que pas plus cette nuit-ci que l’autre
 16   2|        Alpe, je parie, d’où jamais plus ne revint ma chienne amoureuse
 17   2|           Maurin ne s’impatientait plus, il n’en finissait pas de
 18   2|       depuis ce temps, on l’a vue, plus d’un coup, pleurer, pleurer –
 19   3|       éclater par toute la France, plus retentissant et plus malfaisant
 20   3|       France, plus retentissant et plus malfaisant qu’une machine
 21   3|         bourrées des explosifs les plus puissants eussent été moins
 22   3|      demanda Maurin.~ ~ ~– Je n’ai plus rien, gémit le laboureur.
 23   3|            rapporteraient dix fois plus que ce qu’honnêtement ils
 24   3|       était le mot qui revenait le plus souvent, à cette heure,
 25   3|        cherchait à reconnaître, du plus loin, les passagers. Une
 26   3|            En cet état, n’y tenant plus, il implora, par un intermédiaire,
 27   3|  couvrirait le bruit, sensiblement plus faible, qui se méditait
 28   3|       trouble qui ne l’abandonnait plus le rendait distrait, maladroit,
 29   3|            Tu t’es voulu servir du plus beau bruit qui soit au monde,
 30   3|          la poudre, pour cacher le plus honteux, auquel tu avais
 31   3|       raconter cette histoire sans plus, conclut Maurin, et tu seras
 32   3|         Maurin cette page, une des plus réjouissantes qu’il m’aura
 33   4|            cœur de Tonia il tenait plus de place qu’il n’aurait
 34   4|         heure où de la loi je n’ai plus rien à craindre, que craindrais-je
 35   4|            dans les yeux. Beaucoup plus petite que lui, elle était
 36   4|           à cause de toi. Il n’est plus revenu, mais il nous a fait
 37   4|        dit-elle, va. Nous y serons plus libres. »~ ~ ~Il y alla.
 38   4|          heureuse de le voir, sans plus rien demander, elle se tint
 39   4|         vraiment, elle ne songeait plus à lui demander autre chose,
 40   4|       ouvrir.~ ~ ~ ~Maurin n’osait plus la refermer. M. Rinal, par-dessus
 41   4|          contre un animal sauvage, plus fort que lui, un homme demanda
 42   4|       aidés, ils furent à eux deux plus forts que la bête.~ ~ ~«
 43   4|           ils trouveraient un bien plus grand avantage à se la partager
 44   4|        unis pour être toujours les plus forts contre toutes les
 45   4|         consentirait.~ ~ ~« Car le plus misérable est encore bien
 46   4|         travail, il est indigne et plus traître que les ennemis
 47   4|            les patries et qui sont plus beaux et plus grands.~ ~ ~«
 48   4|          et qui sont plus beaux et plus grands.~ ~ ~« Il faut être
 49   4|      grands.~ ~ ~« Il faut être le plus fort pour défendre le droit
 50   4|          pour défendre le droit du plus faible.~ ~ ~« Il faut chercher,
 51   4|           amour des hommes qui est plus grand que la justice elle-même,
 52   4|           et les intelligences non plus. Et l’on ne pourra pas faire
 53   4|           que les meilleurs et les plus intelligents guident tous
 54   5|         des figures bon enfant. Le plus terrible, Terrassebœuf,
 55   5|      comprennent le mieux sont les plus intelligents pour ce qui
 56   5|       aucun pauvre ne grelotterait plus dans la commune ! Il termina
 57   5|     chemins de fer, nous ne sommes plus assez loin de Paris pour
 58   5|      pourtant la France ne saurait plus rire et chanter, faute d’
 59   5|             des fois, de redevenir plus Provençaux que Français
 60   5|          quatre pieds ; il vend le plus souvent qu’il peut les revolvers
 61   5|       chargées et qu’il vendait le plus cher possible, car il avait
 62   5|          pauvre bougre n’était pas plus communard que vous et moi.
 63   5|            nous pouvons égaler les plus énergiques.~ ~ – Si c’est
 64   5|  adversaire :~ ~ ~« Tiens ton épée plus basse ! Tu te découvres
 65   5|           En voilà un tout trouvéPlus bas ! bien ! maintenant
 66   5|            bas ! bien ! maintenant plus haut la pointe !… À toi,
 67   5|           aurais  penser à cela… Plus haut donc !… Si je n’ai
 68   5|                Comme on n’en verra plus, ça, c’est un duel ; c’est
 69   5|            ça, comme on n’en verra plus ! » dit Lacroustade en riant
 70   6|        dans notre pays, on ne veut plus guère de Parisiens, même
 71   6|         parler patois, et ça sert, plus que tout, l’honnête homme
 72   6|           avec Maurin enchanté, de plus en plus aimable ; mais lui
 73   6|        Maurin enchanté, de plus en plus aimable ; mais lui il pensait : «
 74   6|          Rinal à M. Noblet, un des plus grands noms français de
 75   6|        Vous défendez activement la plus grande des causes humaines,
 76   6|         sont tous. En voici un des plus riches, et des meilleurs.
 77   6|            mort.~ ~ ~– Apporte tes plus vieilles liqueurs… À demain
 78   7|      véridique, est nécessairement plus vraie que la première, qui
 79   7|           l’histoire.~ ~ ~« Et pas plus ! dit Maurin, en regardant
 80   7|         Maurin. Et elle est encore plus vraie.~ ~ ~– Comment, encore
 81   7|       vraie.~ ~ ~– Comment, encore plus vraie ?~ ~ ~– Je veux dire
 82   7|          compris. Je n’en suis pas plus fier pour ça… A tu, Marlusso !~ ~ ~–
 83   7|           à entendre des histoires plus piquantes, dit M. Labarterie…~ ~ ~–
 84   7|         son papier où il n’y avait plus que la marge sans dessin
 85   8|       quelque temps que je n’osais plus trop paraître ici.~ ~ ~–
 86   8|     galamment Maurin, et vous avez plus d’une fois donné et reçu
 87   8|          contraire.~ ~ ~– Ce n’est plus un mystère pour personne –
 88   8|         était pas dit qui était le plus drôle.~ ~ ~ ~Après un silence,
 89   8|          toutes les autres, un peu plus grande seulemein, mais pas
 90   8|         grande seulemein, mais pas plus belle. C’est tout des maisons,
 91   8|             c’est qu’il y a un peu plus de voitures !… Pour vous
 92   8|         Marlusse, ça ne t’arrivera plus. « Pour plus te perdre,
 93   8|            t’arrivera plus. « Pour plus te perdre, il faut aceter… »~ ~ ~
 94   8|  Soufflarès et Novarre, n’y tenant plus, levèrent un bras au ciel
 95   8|           me dis dans la rue, pour plus te perdre à l’essposition,
 96   8|            pour ces bougres-là, le plus beau de mon histoire ! Voilà
 97   8|            me la redemande, zamais plus ze ne la dirai. Ze me fais
 98   8|       répond comme ça : « En voilà plus d’un, vous pouvez çosir ! (
 99   9|           amène le gendarme, et de plus d’une façon : par les disputes,
100   9|           échelle ! Ça le vexe. Et plus il monte dans la fortune,
101   9|          il monte dans la fortune, plus il te renie. Crains Caboufigue
102   9|           son père et ne te trouve plus sur mon chemin, mon homme. »~ ~ ~
103  10|            j’en ai vu refroidir de plus chauds que vous ! »~ ~ ~
104  10|           veux ? vous dire ça, pas plus… Je suis Maurin, le père
105  11|           vérité, ce ne serait pas plus bête de revenir que d’être
106  11|          est morte. Elle ne savait plus rien des choses de ce monde,
107  11|         repos… »~ ~ ~Elle en était plus loin que ne le croyait Pastouré.
108  11|          un rat, sachant qu’il n’a plus rien à perdre, quand même
109  12|                  Et qu’y a-t-il de plus ?~ ~ ~– Avec tes histoires
110  12|        chasse peut promettre de ne plus courir les perdrix, mais
111  12|        homme que le sien commet un plus grand péché que l’homme
112  13|             Où il apparaît avec la plus grande évidence que, selon
113  13|            affaire. Césariot n’est plus chez le patron Arnaud.~ ~ ~–
114  13|          qui donc ?~ ~ ~– Il n’est plus à Saint-Tropez.~ ~ ~– Et
115  13|          ne m’explique ni mieux ni plus vite, il y a peut-être des
116  13|       peut-être je ne sais rien de plus ou peut-être que je ne veux
117  13|            je ne veux rien dire de plus.~ ~ ~– Je ne suis guère
118  13|         Maurin, de parler avec toi plus longtemps. Mes perdreaux
119  13|           mort, puisqu’il ne porte plus dommage à personne et qu’
120  13|         donc ? fit le brigadier de plus en plus sévère.~ ~ ~– Ils
121  13|            le brigadier de plus en plus sévère.~ ~ ~– Ils sont à
122  13|           jours, et ils ne veulent plus me quitter… par pure amitié ;
123  13|      amitié ; mais ils sont libres plus que vous et moi puisque
124  13|         son explication paraît des plus naturelles et acceptables.~ ~ ~–
125  13|    Saulnier maintenant ne zézayait plus : il parlait tout bonnement
126  13|          sais que j’aime à être le plus possible en règle avec l’
127  13|       avaient besoin d’un homme de plus. Il est avec eux maintenant
128  13|           ses roues qui ne roulent plus jamais. Là-dedans demeure
129  14|      refermées, et elle vole ainsi plus vite que si elle nageait
130  14|       busards.~ ~ ~ ~C’est dans la plus spacieuse de ces cavernes,
131  14|            ne peut pas en posséder plus de six. On lui en tolère
132  14|          boîte disloquée n’étaient plus à l’équerre. Ses quatre
133  14|        quatre roues, qui n’avaient plus tourné depuis longtemps,
134  14|            terrestres ; et rien de plus singulier que la vie de
135  14|        énormes.~ ~ ~ ~La nuit, les plus hardis de ces pêcheurs s’
136  14|                 Par cette lucarne, plus d’une fois, Lagarrigue avait
137  14|                  Dans la grotte la plus haute de Roquebrune.~ ~ ~–
138  14|          ces conquérants faisaient plus d’un petit commerce louche,
139  14|       regagner. C’est pour être de plus gros bourgeois qu’ils m’
140  14|       Hollande.~ ~ ~« Regarde. Les plus gros s’en mêlent. Les contrebandiers
141  14|            il faut que j’aie l’air plus pauvre. Et je leur disais : «
142  15|        préfets, tu pourrais mourir plus tranquille.~ ~ ~– La tranquillité
143  16|          peu de bonheur. Il y en a plus, mon garçon, dans le travail
144  16|            leur mépris ; il y en a plus à être pêcheur pauvre sur
145  16|           soleil, lequel n’est pas plus beau, plus chaud, plus réjouissant
146  16|        lequel n’est pas plus beau, plus chaud, plus réjouissant
147  16|         pas plus beau, plus chaud, plus réjouissant pour M. Caboufigue
148  16|           au front bas courbait de plus en plus la tête : son menton
149  16|            bas courbait de plus en plus la tête : son menton s’écrasait
150  16|            nouveau pour lui, et de plus fort, de plus grand que
151  16|           lui, et de plus fort, de plus grand que tout ce qui était
152  16|  soudainement en lui ; il ne lutta plus contre tout cet inconnu
153  16|     Bernard étreignait Césariot le plus fort qu’il pouvait.~ ~ ~«
154  16|       première fois) ; ne me dites plus rien, monsieur… je ferai
155  16|                 Maurin, ne sachant plus où il en était, sortit brusquement
156  16|           la mer, patron, c’est le plus beau des métiers ! Je commence
157  17|          congrès, aurait obtenu le plus grand nombre de voix au
158  17|          bien, maintenant je n’ose plus. »~ ~ ~Et l’autre, d’un
159  17|      galéjade est le premier et le plus saint des devoirs, ,
160  17|         différent qui lui semblait plus particulièrement dévoué
161  17|            le globe tout entier de plus en plus habitable pour leurs
162  17|       globe tout entier de plus en plus habitable pour leurs enfants,
163  17|         accroissant chaque jour le plus possible le bien-être matériel,
164  17|          faisant sans cesse un peu plus de justice.~ ~ ~« Chaque
165  17|          rendre ses enfants un peu plus justes que lui, un peu meilleurs,
166  17|           un peu meilleurs, un peu plus heureux… un peu seulement !
167  17|     Pendant quelques secondes, les plus vulgaires de ces acteurs
168  17|        trop vieux pour ça, je n’ai plus ni la force ni le courage
169  17|            homme qui se dévoue aux plus basses calomnies des adversaires
170  17|         gagnerez du temps. Je vais plus loin : votre adversaire
171  17|           exprimé dans sa forme la plus joviale. La candidature
172  17|          retirer si je n’ai pas le plus grand nombre de voix au
173  17|         Enlevez-le ! »~ ~ ~Six des plus vigoureux assistants enlevèrent
174  17|            lettre de cachet. Après plus de trente ans d’existence,
175  17|           quatre mots : « toujours plus de justice ! » La France
176  17|                 On ne saurait être plus avancé que moi, dit-il,
177  17|          se comprendra tout à fait plus ! »~ ~ ~Un individu, monté,
178  17|           en ce jour je ne le suis plus. Vive la République !~ ~ ~–
179  17|          unanimité.~ ~ ~« Il n’y a plus de candidats ? demanda Maurin.~ ~ ~–
180  17|   martelant les mots de sa voix la plus claire :~ ~ ~« Pas besoin
181  18|        demande à tous de garder le plus complet silence, afin qu’
182  18|        vous prie d’écouter avec la plus grande attention. »~ ~ ~
183  18|          art du comédien ne va pas plus loin, ni celui du musicien.~ ~ ~ ~
184  18|            lampes : Maurin n’était plus dans la salle. Et tout le
185  18|         tournant vers ses amis les plus rapprochés de lui, il prononça,
186  18|        autres parce qu’il était le plus souvent et le plus énergiquement
187  18|        était le plus souvent et le plus énergiquement prononcé.
188  18|          le sais, moi ! je le sais plus !… mais tu ne le répéteras
189  18|        sais, moi ! je le sais même plus ! il m’a dit de pas grand-chose,
190  18|        veux le voir !~ ~ ~– Ne dis plus rien… ou c’est ta mort ! »~ ~ ~
191  18|            ai dit. »~ ~ ~Alors, le plus grand, les yeux hors de
192  18|                  ! je ne réponds plus de moi !… Vous ne le voyez
193  18|       voyez pas, que je ne réponds plus de moi ?… Tenez-moi vite !
194  19|         vie et l’honneur. Ça n’est plus une bagatelle ! Figure-toi
195  19|           je lui dis, comme ça, le plus poliment que je pus, s’il
196  19|          pour venir au congrès mes plus belles frusques… Il regarde
197  19|           parce que j’ai une jambe plus courte ou plus longue que
198  19|           une jambe plus courte ou plus longue que l’autre – comme
199  19|           il donne la marque de la plus grande laceté qui soit dans
200  19|      justice, dit Maurin, d’autant plus que (si vous continuez à
201  19|           je crois qu’il nous sera plus agréable à tous de voir
202  19|       regarder cette manœuvre avec plus d’étonnement que de rancune.~ ~ ~«
203  19|        malheur ? dit le capitaine, plus ivre qu’il n’eût voulu…
204  19|        personne en France ne saura plus tirer le fouett. C’est une
205  19|     montagnes qui ne se retrouvent plus, après avoir trinqué ensemble »,
206  20|       facile à trouver ; il serait plus aisé de trouver un bon roi ;
207  20|        trouver un bon roi ; il est plus difficile en un mot de trouver
208  20|        chose à vous dire qu’un peu plus j’allais oublier… il m’aurait
209  20|          tiens, monsieur le comte, plus que vous, puisque vous n’
210  20|            qu’ils ne déboisent pas plus d’un hectare !… » ~ ~Il
211  21|            temps. Il avait mis ses plus beaux vêtements, et s’en
212  21|          mon père ; il ne me parle plus et serre les dents quand
213  21|            s’écria Orsini. Tu n’es plus un homme contre qui on fait
214  21|           une enquête, et ce n’est plus l’ordre de t’amener qui
215  21|           pour la prison ! Tu n’es plus un prévenu, tu es un condamné.~ ~ ~–
216  21|          habitude pour des bandits plus coupables que moi, quand
217  21|         son chien m’a suivi et n’a plus voulu me quitter. Le nom
218  21|           est malheureux, beaucoup plus malheureux qu’hier. »~ ~ ~
219  22|     Pasteur.~ ~ ~ ~Il avait marché plus de deux heures, quand Hercule,
220  22|          un rauquement qui n’avait plus rien d’une voix de chien.~ ~ ~«
221  22|          se porta en avant, et les plus hardis, ramassant une branchette,
222  22|  parlez-vous ? » s’écria Maurin de plus en plus étonné.~ ~ ~ ~Les
223  22|            écria Maurin de plus en plus étonné.~ ~ ~ ~Les chasseurs,
224  22|           manière de brute sauvage plus dangereuse cent fois que
225  22|      malgré eux mener les hommesplus bêtes que les troupeaux
226  22|          des serviteurs imbéciles, plus malfaisants que la rage
227  22|       quarante sous ! et cent fois plus longtemps qu’en faisant
228  23|         tirage au sort, il n’avait plus mis le pied à Roquebrune.
229  23|           la nuit, il avait abattu plus d’un porc sauvage.~ ~ ~ ~
230  23|               Marietto, tu te fais plus noire qu’une pète (un crottin
231  23|            que le monde trime ! Et plus je t’emplis, plus je te
232  23|       trime ! Et plus je t’emplis, plus je te vide. »~ ~ ~C’était
233  23|   Tire-droit ! Quand tu ne tireras plus droit, ce ne sera pas de
234  23|           Victorin se leva, mit sa plus vieille veste et retomba
235  23|         mettent pour se marier… La plus vieille veste suffit bien
236  23|             Quand Mariette ne veut plus de vous, c’est qu’on n’est
237  23|            vous, c’est qu’on n’est plus bon à rien. »~ ~ ~Il la
238  23|     lui-même :~ ~ ~« Tu ne fumeras plus, Victorin ! »~ ~ ~Des heures
239  23|        encore. En mourant il n’eut plus qu’un seul mot :~ ~ ~« Parlo-Soulet ?~ ~ ~–
240  24|           verra qu’il ignorait les plus simples rouages de la machine
241  24|          Comme de juste, il y en a plus au village que dans les
242  24|             pour que cela fût fini plus vite et mieux.~ ~ ~ ~Alors,
243  24|         leur grand silence pendant plus d’une heure, chacun roulant
244  25|        Firmin.~ ~ ~ ~Il ne restait plus qu’à consulter la jeune
245  25|            fille.~ ~ ~ ~Deux jours plus tard, Firmin, installé dans
246  25|           air étonné, tu n’as même plus ces fanfreluches que tu
247  25|          droite et ton tablier n’a plus de dentelle !~ ~ ~– Mme
248  25|           y êtesAllez-vous-en au plus tôt ! »~ ~ ~M. Rinal et
249  25|           le mettrons à l’abri des plus gros ennuis de la vie, et
250  25|            griffon, n’avait pas un plus beau regard.~ ~ ~« Monsieur
251  25|          ne peux vous rien dire de plus, que je n’ai pas appris
252  25|      prévenus, partirent une heure plus tard à leur poursuite.~ ~ ~ ~
253  25|            sur leurs chapeaux. Les plus avisées de ces porteuses
254  25|      colline ! Ne vous moquez donc plus, braves gens, si vous me
255  25|   véritablement qui est mille fois plus drôle !… Un quadrille d’
256  25|             La corde de son fouet, plus mouillée qu’une ligne à
257  25|          contèrent-ils ?~ ~ ~ ~Les plus belles du monde, mais comme,
258  26|     faisait-on semblant.~ ~ ~ ~Son plus redoutable ennemi, Sandri,
259  26|        gâté un joli cabanon, – pas plus grand que la main, c’est
260  26|                 Un M. Rinal, qui a plus de science dans le petit
261  26|         femme comme toi et moi. De plus malins que toi et moi ne
262  26|                   Quelques minutes plus tard, on heurta sa porte
263  26| fantaisiste et très respectable, a plus de deux siècles et demi
264  26|            Hérode. » Et rien n’est plus près de la vérité, puisque
265  26|           dit Maurin convaincu, la plus belle fête de tout notre
266  27|     conseil municipal lui donne en plus le pouvoir « de prendre
267  27|            les habitants ne furent plus tenus à un service militaire
268  27|           militaire, ne furent que plus zélés à reprendre, le jour
269  27|          le jour de la fête.~ ~ ~ ~Plus tard l’épée d’argent de
270  27|          haussant sur leur base le plus qu’elles peuvent, regardent
271  28|          permission de jouer leurs plus beaux morceaux à tour de
272  28| brouillèrent à mort. Ils n’avaient plus qu’un rêve, ils le disaient
273  28|      demanda-t-il.~ ~ ~– Tu n’iras plus, lui fut-il répondu ; nous
274  28|         Symphonie~ ~Est le sort le plus beau, le plus digne d’envie !~ ~ ~ ~
275  28|           le sort le plus beau, le plus digne d’envie !~ ~ ~ ~Heureusement
276  28|         rivaux.~ ~ ~ ~Le membre le plus vaillant de la Symphonie,
277  28|      devenir fou. On ne se mariait plus à Bourtoulaïgue qu’entre
278  28|     tromblons, ils échangèrent les plus graves injures, on n’a jamais
279  28|   intervenez pas, ou je ne réponds plus de rien. Mon autorité doit
280  28|        cette circonstance, pour ne plus faire qu’une seule société
281  28|        mousquetaires à cheval, non plus que les gendarmes, n’osaient
282  28|    envoyant rouler à quinze pas le plus joli des gendarmes.~ ~ ~ ~
283  28|         Angleterre, démonté.~ ~ ~ ~Plus heureux qu’un tel roi, Pastouré
284  29|           surexcitée. Il ne fuyait plus, il allait à un péril nouveau,
285  30|     enthousiasme tauromachique, le plus vilain sentiment du monde,
286  30|        Cela rappelle les temps les plus barbares. La France républicaine
287  30|           vieillards !~ ~ ~– C’est plus encore qu’il n’y a de musiciens
288  30|       marchands de liquides ont le plus grand intérêt à appeler
289  30|           rendre respectables ; et plus d’un député, qui préfère
290  30|            tient en bride les deux plus grandes puissances du monde
291  30|           dit Maurin, ça n’est pas plus fort que mon histoire de
292  30|            sénateur ne l’entendait plus. Il entrait dans le cirque
293  31|           qui se trouvait d’autant plus malheureux d’avoir fui les
294  31|              Bref, les classes les plus diverses de la société étaient
295  31|            place ! Si c’est lui le plus fort de la troupe, pechère,
296  32|        césarienne.~ ~ ~ ~Tonia non plus n’avait pas abandonné sa
297  33|            jeux nationaux, pour la plus grande joie de quatre mille
298  33|          lâché dans l’arène sembla plus vif, mieux en forme.~ ~ ~«
299  33|            vivant…~ ~ ~ ~Cela dura plus d’une minute.~ ~ ~ ~Un coup
300  33|      Espagnol de votre espèce, pas plus Espagnol que vous, et à
301  33|           fauve, car le taureau le plus paisible peut tout à coup
302  33|            foule ne respirait-elle plus.~ ~ ~ ~L’arrivée de Maurin
303  33|           Le marchand d’alcool non plus ! Vivo sant Troupé !~ ~ ~–
304  34|          la belette, elle ne donna plus signe de vie, blottie qu’
305  34|       choses, moi, par ici ! et le plus drôle fut, l’autre jour,
306  34|            le mousquetaire, et que plus d’un, quand j’étais marin
307  34|            n’ait pas de petits… Et plus souvent encore tu peux jeter
308  34|          chèvre et la faire souper plus loin. » Et du doigt, il
309  34|       répondit-il, nous n’en avons plus que quelques-uns et nous
310  34|   sangliers, il n’y aurait bientôt plus de vendanges par ici ! »~ ~–
311  34|           par ici, nous ne pouvons plus vendre les nôtres ! Sans
312  34|      devant nous en essayant de ne plus rencontrer de gendarmes. »~ ~ ~
313  35|          les deux quelque chose de plus curieux. »~ ~ ~En quelques
314  35|                 Je ne te comprends plus, dit Maurin.~ ~ ~– Pose
315  35|       pouvez causer, dit Saulnier. Plus vous mènerez de bruit, et
316  35|        laisses passer.~ ~ ~– C’est plus fort que moi, répondit Maurin,
317  35|                 Celle-ci n’est pas plus vilaine, mais elle est plus
318  35|        plus vilaine, mais elle est plus triste encore. J’ai rencontré
319  35|         noya.~ ~ ~– Je ne m’étonne plus, dit Saulnier, si bien souvent
320  35|           bruit, pas moyen de dire plus de quatre paroles !… Et
321  35|            conviens, n’a pas l’air plus étonnant que l’histoire
322  35|           dure ; quand il n’y en a plus il y en a encore, et le
323  35|            ils sont allés ?… et le plus tard sera le mieux, puisque
324  36|         bras de chemise et n’avait plus d’un mousquetaire que la
325  36|            murailles ? Il y aurait plus de raison à m’ôter la peau,
326  36|      depuis des jours, je ne pense plus.~ ~ ~– De sûr ? interrogea-t-elle,
327  36|           tout, dit Maurin. Un peu plus, un peu moins, à présent,
328  36|       redescendu un quart de lieue plus loin, j’ai pris par nos
329  37|           mais rien ne se montrait plus…~ ~ ~ ~Le mousquetaire les
330  37|         éloignait… Déjà il n’était plus là-bas qu’un petit mousquetaire
331  37|          un petit mousquetaire pas plus gros qu’un polichinelle
332  37|         était pas poursuivi.~ ~ ~ ~Plus de doute : il les avait
333  37|      éterniser. Elle durait depuis plus de deux heures déjà.~ ~ ~ ~
334  37|         avons déjà fait à sa suite plus de cinq lieues en montagne !
335  38|          frondeurs à la manière la plus française du monde, mais
336  38|          monde, mais leur rire est plus sonore que celui des humoristes
337  38|       passé avec les Provençaux la plus grande partie de sa vie (
338  38|            de paille ou de feutrePlus j’y pense, plus je crois
339  38|            feutre… Plus j’y pense, plus je crois que Jean d’Auriol
340  38|     Richelieu. Et de la Fronde, la plus française des guerres, il
341  38|           Rinal, je n’ai peut-être plus beaucoup le droit d’en parler,
342  38|         sans lettres !… Tenez, pas plus tard qu’avant-hier, on frappe
343  38|          Je refermai son cahier au plus vite.~ ~ – Mon ami, lui
344  38|           était dans l’étable, les plus pauvres lui apportaient
345  38|    organisé tout mécaniquement, et plus dégoûtant, plus bête, plus
346  38|  mécaniquement, et plus dégoûtant, plus bête, plus immoral et plus
347  38|         plus dégoûtant, plus bête, plus immoral et plus ennuyeux
348  38|         plus bête, plus immoral et plus ennuyeux que les erreurs
349  39|           aura pas de peine à être plus intéressante que la mienne,
350  39|            a jamais dit une parole plus haute que l’autre ; jamais
351  39|           ne m’a battue ! »~ ~« De plus en plus attendri, je demandai
352  39|          battue ! »~ ~« De plus en plus attendri, je demandai quelques
353  39|          avec des paroles toujours plus abondantes, comme ses larmes.~ ~ –
354  39|         vraiment d’avoir épousé un plus grand homme.~ ~ ~« Eh bien,
355  39|       comprend… alors elle ne peut plus vous payer, et cependant,
356  39|          donné ce qu’elle avait de plus précieux sa confiance et
357  39|            riche, ceux qui font le plus parler d’eux ne sont pas
358  39|           ne sont pas toujours les plus honnêtes !… » ~ ~M. Rinal
359  40|                 Maurin n’entendait plus rien… que La Marseillaise
360  40|           promenait, en se contant plus d’une fois la cérémonie.~ ~ ~«
361  41|       choisi Sainte-Maxime pour la plus grande commodité de ces
362  41|           chien me suit et ne veut plus de son ancien maître. Qu’
363  41|   dangereux !~ ~ ~– Lui ? c’est le plus honnête homme que je connaisse.
364  41|           chaud. Je refuse d’aller plus loin et je m’y refuserais,
365  41|          siffle sans arrêt… Allons plus loin…~ ~ ~– Bah ! dit Maurin,
366  41|       Couder fit à M. Cabissol les plus vifs reproches pour l’avoir,
367  41|           M. Cabissol d’un ton des plus sérieux.~ ~ ~– Je ne connais
368  41|   messieurs. Enchanté ! Ne parlons plus de cet incident. »~ ~ ~Après
369  41|     chaleur aidant, on ne s’occupa plus que de s’éventer et de s’
370  41|          dentelé qui avait tout au plus cent pas de largeur.~ ~ ~«
371  42|             dit Maurin, je ne sais plus comment vous dire mon gramaci ! »~ ~ ~
372  42|       contraire, reprit Maurin, de plus en plus narquois, voilà
373  42|          reprit Maurin, de plus en plus narquois, voilà une belle
374  42|           vous devez savoir que le plus grave de tous devrait me
375  43|             insista M. Labarterie, plus savoureux qu’un cantalou. »~ ~ ~
376  43|        Dans le figuier, il ne voit plus que des figues. C’est que
377  43|            y renonce, il n’y pense plus, et voyant, juste sur la
378  43|    regarder avec tous ses yeux, la plus belles des figues à la place
379  43|        melon ? »~ ~ ~Au milieu des plus grands éloges adressés aux
380  43|          Couder, le juge, n’y tint plus. Il en saisit une, en jetant
381  43|           Il n’était pas homme non plus à gagner le bois pour quelques
382  43|        disparut.~ ~ ~ ~Dix minutes plus tard, les bavardages battaient
383  43|            Tous se regardaient, de plus en plus étonnés.~ ~ ~« Expliquez-nous
384  43|            regardaient, de plus en plus étonnés.~ ~ ~« Expliquez-nous
385  43|            voit pas. Et, en effet, plus on crie fort, plus il se
386  43|          effet, plus on crie fort, plus il se rase et se tapit contre
387  43|          se tapit contre terre, et plus il reste sans bouger, à
388  43|           met donc à lui crier, le plus fort possible, les plus
389  43|            plus fort possible, les plus grosses injures qu’on trouve390  43|           savez, ce qui se crie le plus naturellement. Les compliments
391  43|            pas vous faire souffrir plus longtemps. Je les ai pris,
392  43|         melon chipé ; – pas une de plus, que ça me ferait mal au
393  44|          cheminaient.~ ~ ~ ~Un peu plus loin :~ ~ ~« Sacrebleu !
394  44|           Maurin, ça sent toujours plus mal. »~ ~ ~Lagarrigue ne
395  44|          les parfums de toutes les plus jolies fleurs – et où on
396  44|                 Allons, ne parlons plus de ça ! dit Lagarrigue avec
397  44|                  J’aurai beau n’en plus parler, mon pauvre Lagarrigue,
398  44|           deviné, car on ne leur a plus rien dit.~ ~ ~– Bon ! mais
399  44|        Pour l’heure on n’entendait plus parler de Grondard.~ ~ ~ ~
400  44|         ouverts de ces arbres, les plus vieux et les plus rameux
401  44|      arbres, les plus vieux et les plus rameux qu’il eût pu trouver,
402  44|          de M. de Brégançon.~ ~ ~ ~Plus attentifs malgré eux, chacun
403  44|    poignets… Autre tronçon, un peu plus haut. Il l’empoigna et mit
404  44|          son pied. Le reste ne fut plus qu’un jeu… Il s’élevait
405  44|           bien dans la position la plus absurde du monde.~ ~ ~ ~
406  45|           France où l’on trouve le plus de terrains libres, non
407  45|           Nos bois des Maures sont plus sauvages encore qu’on ne
408  45|         instant d’angoisse. Il n’a plus de point de repère. De quel
409  45|      impénétrable au point de n’en plus pouvoir sortir ? Il dérange
410  45|        aussi bien que moi… Je n’ai plus qu’une ressource !… Le gros
411  45|           était alors le maquis le plus impénétrable des Maures ;
412  45|          salut.~ ~ ~ ~Pour arriver plus sûrement à se faire suivre
413  46|      bruyères… nous y voici.~ ~ ~– Plus vite donc ! l’issue est
414  46|          particulier ! dit Sandri, plus nous nous éloignons du feu,
415  46|           la fumée. Il me faudrait plus d’une heure et demie pour
416  46|            Nous ne verrons rien de plus ! dit Sandri. Le bandit
417  47|            attaque contre le fléau plus terrible qu’une armée.~ ~ ~ ~
418  47|          nos forêts domaniales. Le plus commun est un paquet d’allumettes
419  47|    resplendissant faisait paraître plus obscure l’immensité du ciel
420  47|            les grands cadavres des plus vieux pins, dépassés par
421  47|           elle une nuit enflammée, plus dévorante que le soleil.
422  47|    allongeaient, s’enflaient ; les plus minces de ces couleuvres
423  47|            beaucoup la hauteur des plus grands arbresSubitement
424  47|  emprisonnées, elles se relevaient plus loin, sous bois, grimpantes,
425  48|           le chemin. La chaleur de plus en plus devenait intolérable.
426  48|      chemin. La chaleur de plus en plus devenait intolérable. Les
427  48|          chacun d’eux il n’y avait plus assez d’espace pour que
428  49|           Nous aurions  y penser plus tôt ! en voilà de toutes
429  49|              À m’en aller d’ici au plus tôt, répondit Maurin. J’
430  49|            abandonnée, mais elle a plus de cinq mètres de long et
431  49|      chaîne double (qui ne portait plus de seau), y attacha les
432  49|            mirent à lever le coude plus souvent que de raison.~ ~ ~«
433  49|          étonne, car c’est une des plus vieilles histoires que l’
434  49|            Me suis-tu, Maurin ? le plus beau approche !~ ~ ~– Vas-y,
435  49|      aviron, pardine ! »~ – Allons plus loin, repensa le matelot.
436  49|          te l’avoir entendu conter plus de cent fois ! Mais nous
437  49|   histoires neuves ; – et puis les plus connues sont les meilleures
438  49|       Pastouré sans se faire prier plus longtemps, les ânes habitent
439  50|            à Maurin des choses les plus réjouissantes ou les plus
440  50|          plus réjouissantes ou les plus tristes du monde selon le
441  50|           je ne t’abandonnerai pas plus qu’en pareil cas tu ne m’
442  50|           Aujourdhui, ça ne l’est plus.~ ~ ~– Et pourquoi ça ne
443  50|            pourquoi ça ne l’est-il plus ? interrogea Maurin.~ ~ ~–
444  50|            fillettes, afin d’aller plus vite et plus loin, là où
445  50|          afin d’aller plus vite et plus loin, là où on ne peut pas
446  50|          jupes fendues qui ne sont plus que des pantalons de turcos !…
447  50|          de cette manière, étaient plus rares. Aujourdhui, tout
448  50|      maintenant on ne les respecte plus parce qu’elles sont à Antibes
449  50|           Dieu que ça n’arriverait plus et voici comment il fit
450  50|          Maurin, ma mère ne dormit plus – mais son entêtement céda !
451  51|         merlate.~ ~ – N’en parlons plus, c’est comme tu voudras.~ ~ –
452  51|               Mais, à l’ordinaire, plus Sanplan était calme, plus
453  51|          plus Sanplan était calme, plus sa femme s’exaspérait, et
454  51|           présent ! il ne manquait plus que cela ! O ma brave, ma
455  51|         bas. Son mari ne soufflait plus mot. Elle tricotait sous
456  51|     préserve les merles, car c’est plus affaire aux merles qu’à
457  51|         cent ans, il ne m’entendra plus dire autre chose : c’étaient
458  51|            jamais la tête, même au plus fort de leur charpin.~ ~ ~«
459  51|                    Elle ne pensait plus aux merlates, elle n’en
460  51|        merlates, elle n’en parlait plus du moins, car la curiosité
461  51|           apprendre un secret, les plus bavardes seraient capables
462  51|           un mari et une femme est plus fin encore et pas tant solide
463  51|       cette nuit-là, elle ne parla plus de merles ni de merlates,
464  51|           et ainsi elle trompa les plus malins, les Sandri et les
465  52|        affaires. Ils quittèrent au plus vite la Garde-Freïnet, sur
466  52|          le mouvement. Dix minutes plus tard, les cavaliers couraient
467  52|   échevelées, le bateau perdait de plus en plus la terre… Les forces
468  52|          bateau perdait de plus en plus la terre… Les forces des
469  52|          ces voltes, son cavalier, plus obstiné que lui, gagnait
470  52|          genou du sauveteur.~ ~ ~ ~Plus rien ne paraissait sur l’
471  52|       Tiens bon ! » clamait Maurin plus haut que le vent et la mer,
472  53|          coup ! L’orifice en était plus étroit et des jeunes hanches
473  53|       étroit et des jeunes hanches plus rebondies qu’elle n’avait
474  53|       malheur ! Sortir, ce n’était plus possible ! Dégager même
475  53|         entier, elle ne le pouvait plus !… Comment faire ? Si elle
476  53|        enfant… À présent, ce n’est plus ça ! »~ ~ ~Se voyant ainsi
477  53|        pour voir Tonia, ne pensait plus à renvoyer Fanfarnette !…~ ~ ~
478  54|            avec un homme qui n’est plus jeune ! et qui est marié !
479  54|           qu’il ne dira rien – non plus que ceux de l’auberge, qui
480  55|        bout de l’an :~ ~Je ne peux plus espérer tant. »~ ~« Fille,
481  55|        bout de l’an :~ ~Je ne veux plus espérer tant. »~ ~ ~Elle
482  55|          qui sait ! et je ne serai plus qu’une de ces filles dont
483  55|          roche en roche, tirant au plus court, laissant les chemins
484  55|        elle mangeait !~ ~ ~– N’y a plus de mûres en automne,~ ~Morbleu,
485  55|          Morbleu, Marion !~ ~N’y a plus de mûres en automne !~ ~ ~–
486  56|        embroussaillés, profonds de plus de cinquante mètres, mais
487  56|        heure même où je voulais le plus me défendre contre ce voleur…
488  56|        Voilà qu’elle ne comprenait plus comment cette idée avait
489  56|  disparaître… Quand elle ne le vit plus, malgré elle à la fois et
490  56|            lui semblait d’ailleurs plus qu’elle tirât sur Maurin,
491  56|        puisqu’elle ne l’apercevait plus… Il sentirait du moins siffler
492  56|            comme elle ne le voyait plus, elle n’éprouvait plus que
493  56|      voyait plus, elle n’éprouvait plus que la haine… Et enfin,
494  57|        Elle voulut le rejoindre au plus vite, et tout en courant
495  57|                Puis elle s’arrêta, plus terrifiée encore à l’idée
496  57|         vives, le reste ne me fait plus rien !… Tu prendras toutes
497  57|      voudras, Maurin ! je ne serai plus jalouse !… ah ! misère de
498  57|       dit-il, mais ne me tourmente plus. »~ ~ ~Elle l’embrassa.
499  57|     Bernard… À présent, va-t’en au plus vite, pour plus vite revenir… »~ ~ ~
500  57|         va-t’en au plus vite, pour plus vite revenir… »~ ~ ~Elle
501  57|       sommeil.~ ~ ~ ~Une sensation plus nette que toutes les autres
502  57|            et parmi eux Maurin, le plus acharné ! – Et lui-même
503  57|            bon de mourir – pour ne plus rien voir de tout ça. Les
504  58|            au point de la route le plus rapproché du lieugisait
505  58|     Cigalous, il faut le porter au plus près.~ ~ ~– Où cela ?~ ~ ~–
506  58|          cantonnier. C’est cela le plus près, ou plutôt… non, reprit-il
507  58|            Maurin, n’allons pas au plus près, allons chez moi. »~ ~ ~
508  58|            perdre ? Ne reparaissez plus avant qu’on vous aille chercher.
509  58|         que déjà sa maison n’était plus un asile assez sûr.~ ~ ~ ~
510  58|          ces deux femmes, c’est la plus petite qui m’a tué… Ah !
511  58|         monsieur Rinal, je ne suis plus bon qu’à faire un mort. »~ ~ ~
512  58|         réponse.~ ~ ~– Quel est le plus bel idéal et le plus réalisable ? –
513  58|            le plus bel idéal et le plus réalisable ? – demanda le
514  58|            Bernard, que partout le plus fort doit aide et protection
515  58|         doit aide et protection au plus faible. »~ ~ ~Hélas ! M.
516  58|          dit à M. Rinal :~ ~ ~« Le plus fortvoyez-vous, monsieur
517  58|           Rinal – sera toujours le plus injuste. Et le plus faible
518  58|    toujours le plus injuste. Et le plus faible ne demande qu’à le
519  59|           il ne s’était pas écoulé plus de deux mois depuis les
520  59|           continuer le malheur des plus pauvres ? Vois-tu, ma fille,
521  59|      sommes des princes ! des gens plus haut que le peuple ! et
522  59|         Elles te porteront bonheur plus sûrement que les gris-gris
523  59|    contrebande, mes hommes ne sont plus dans la grotte que pour
524  59|          Maurin fut assis avec les plus grandes précautions. En
525  59|       voilà tranquilles !… Tu n’as plus qu’à guérir.~ ~ ~– N’as-tu
526  59|     trémont, les gens ne se disent plus : « Bonsoir, bonsoir »,
527  60|  contrebandiers de tabac n’étaient plus que cinq dans la caverne
528  60|         Laragne. Ils mangeaient le plus souvent de la galette marine
529  60|              Je n’ai pas besoin de plus », dit-il…~ ~ ~« Et comme,
530  60|          vieille comme toi !~ ~ ~– Plus vieille que moi de cent
531  60|            cette manière des poids plus lourds que ceux qu’un mulet
532  60|        vieux avec vivacité. Il y a plus de choses dans la mort que
533  60|            comprend que je ne suis plus bon qu’à faire un mort,
534  60|           un bon signe, il ne rira plus de toi, berger !… Dis-nous
535  60|        utile. Et comme ils étaient plus nombreux qu’il ne fallait,
536  60|          lui…~ ~ ~– Nous ne rirons plus, maître Maurin, dit Galette.
537  60|         que tu sais. Je ne souffle plus, de ce moment. »~ ~ ~Tous
538  60|     étaient d’une tristesse douce, plus mortelle que la violence.
539  60|            aux souvenirs du pâtre, plus qu’à tous ceux de sa propre
540  60|   prononciation ne frappaient même plus ni Pognon ni Galette, les
541  60|            Maurin.~ ~ ~– Ne pensez plus à votre malheur, père ! »
542  60| songeait-il, que Pastouré aille le plus tôt possible dire à M. Rinal
543  60|              Bleu comme le ciel le plus beau,~ ~Avec l’or du soleil
544  60|            deux.~ ~– « Ne grelotte plus, grelotteux…~ ~Ton manteau,
545  60|       rappelle, Maurin, une de nos plus drôles d’aventures. »~ ~ ~
546  60|      Maurin, triste, songeant, non plus pour lui mais pour ceux
547  60|           Lorsque vous ne tonnerez plus,~ ~Je tiens votre croix
548  60|           Avec les précautions les plus délicates, les misérables
549  60|            la caverne.~ ~ ~« C’est plus beau que les hommes ! »
550  60|       étoile des Bergers. C’est la plus belle, c’est celle de l’
551  60|             affaibli, ne souffrait plus. Il cherchait la main de
552  60|       Pastouré, à genoux pour être plus près de lui, lui donna sa
553  60|        là-haut, tout là-haut, bien plus haut que l’aigle, bien plus
554  60|        plus haut que l’aigle, bien plus haut que le bleu de l’air…
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