Chapitre

 1   1|       avec son fusil… Nom de pas Dieu ! Il me semble que je le
 2   1|       auront, mes beaux anges de Dieu ! un nez long comme d’ici
 3   1|         plus puissant que le Bon Dieu en ce monde, car l’argent,
 4   3|       Est-ce qu’on leur répond : Dieu vous bénisse ? interrompit
 5   3|             Et puis, tron-de-pas Dieu ! il y a autre chose, dans
 6   4|   étonnait lui-même…~ ~ ~« Grand Dieu ! s’écria Tonia. Quand je
 7  11|          Je ne vois jamais qu’un dieu : le soleil, mais je le
 8  13|        renard !… Pour l’amour de Dieu, dis-moi où est Césariot ?~ ~ ~–
 9  15|          À l’hospice du vrai bon Dieu, qui est la terre – là,
10  15|         trouve là avec ton fils, Dieu garde ! Maintenant écoute.
11  15|         ma meilleure protection. Dieu garde nos petits, collègue,
12  20|     familière candeur.~ ~ ~– Mon Dieu ! déclara M. de Siblas,
13  21|     sorti.~ ~ ~« Pour l’amour de Dieu, s’écria Tonia dès qu’elle
14  21|        pâlissant. Et à quoi, bon Dieu !~ ~ ~– Trois jours de prison,
15  22|           joli métier, ma foi de Dieu ! Où le conduisiez-vous,
16  22|          comprendre ! Que le Bon Dieu le bénisse, il a fait métier
17  23|        dans la terre ; et le Bon Dieu, s’il y en a un, nous recevra
18  24|      côté de la tête :~ ~ ~« Mon Dieu ! cria une femme épouvantée.~ ~ ~–
19  25|        ses yeux l’Obstination du dieu qui depuis de longues heures
20  26|        sans poule. Et le tron de Dieu me cure, si je suis capable
21  26|         ou n’est pas le seul bon Dieu. J’entends m’amuser aux
22  26|       Oui, Tonia.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! que tu seras drôle !~ ~ ~–
23  27|          ville :~ ~ ~ ~Au nom de Dieu soit-il. L’an mil six cent
24  27|        de remercier le souverain Dieu de la grâce et faveur qu’
25  27|          faveur que le souverain Dieu nous fit, ledit jour quinze
26  28|          nature violente : « Mon Dieu ! qu’ils sont drôles !… »
27  34|        de peu, et rendre grâce à Dieu du bonheur qui leur arrive,
28  34|          la route~ ~Du désert.~ ~Dieu envoya~ ~Un cavalier,~ ~
29  34|          de l’arbre~ ~Pour louer Dieu…~ ~Allah est grand !~ ~ ~ ~
30  35|          Et pour quoi faire, bon Dieu ?~ ~ ~– Il obéissait à l’
31  36|         à moi !~ ~ ~– Nom de pas Dieu ! nous y voilà encore !
32  38|         cela plusieurs fois… Mon Dieu, oui, mon cher Cabissol,
33  39|         l’eau me suffit ; le Bon Dieu a fait l’eau et n’a pas
34  39|        purs mensonges. Et devant Dieu elle le jure, en foulant
35  42|    conversation.~ ~ ~« Ma foi de Dieu ! fit-il, c’est vraiment
36  42|        dis dans le palais du Bon Dieu, de sûr vous me coffrerez.~ ~ ~–
37  42|     Vingt-cinq jours, nom de pas Dieu ! c’est une fortune que
38  44|       peu rance.~ ~ ~– Ma foi de Dieu ! repartit Maurin, plutôt
39  44|         laisser dans leur tort ! Dieu – je ne le crains pas, s’
40  49|          ne rencontre pas le Bon Dieu là-haut sur la terre puisqu’
41  49|          Diou ! nous sommes avec Dieu !~ ~ ~– Té ! il y en a une
42  49|    connaissais-tu pas ? Si c’est Dieu possible !~ ~ ~– Bien entendu
43  49|  écoutant, mais, pour l’amour de Dieu, laisse le fiasque, qu’à
44  50|    affaire un jour, s’il plaît à Dieu. Je me suis oublié, Maurin.
45  50|        lieu d’un enfant, il jura Dieu que ça n’arriverait plus
46  51|     empêcher de dire :~ ~ – Plût Dieu, carogne, que tu fusses
47  51|        envoyer !… En galère, bon Dieu ! m’envoyer en galère !
48  51|    merlates-là, dit Sanplan, que Dieu alors en préserve les merles,
49  51|        je le dirai encore au Bon Dieu, en personne : c’étaient
50  53|          prendre, non point, bon Dieu ! pour ne pas donner de
51  53|       reste ! Comment faire, mon Dieu ! comment faire ? Et Fanfarnette
52  53|      gémit bien fort :~ ~ ~« Mon Dieu ! que je suis perdue ! mon
53  53|         que je suis perdue ! mon Dieu ! comment sortir de là ? »~ ~ ~
54  54|      tous ses amis !…~ ~« Est-il Dieu possible ! il faut que Grondard
55  55|          femme qui lavait,~ ~Mon Dieu, mon ami !~ ~– Les femmes
56  55|     nouille qu’elle avait,~ ~Mon Dieu, mon ami ! »~ ~ ~Son ouïe
57  55|        en être brutal ! Était-ce Dieu possible ? Et comment en
58  55|        Tonia brusquement. Le Bon Dieu te vengera ! adieu, que
59  55|          qu’elle mangeait,~ ~Mon Dieu, mon ami !~ ~C’était des
60  55|      branch’qui automnait,~ ~Mon Dieu, mon ami !~ ~C’était un’
61  57|  repartant de nouveau…~ ~ ~« Mon Dieu ! pensa-t-elle tout à coup,
62  57| criait-elle en sanglotant !… Mon Dieu, Maurin ! qu’ai-je fait !
63  57|          Maurin !… Maurin !… Mon Dieu !… Maurin !… pourvu que
64  57|        de ma part… et que le Bon Dieu te bénisse ! »~ ~ ~Elle
65  58|          jamais en présence d’un Dieu qu’il a bien désiré et qu’
66  58|       Maurin, il y a donc un Bon Dieu !… » ~ ~
67  60|         C’est comme un secret de Dieu. Et c’est là une chose que
68  60|           Et la langue aboyant à Dieu.~ ~ ~– Je le reconnais,
69  60|       continuait :~ ~ ~ ~Mais si Dieu veut que je l’arrête,~ ~
70  60|          le pied sur sa tête ;~ ~Dieu le voudra si je le veux,~ ~
71  60|      grand chien de la haine !~ ~Dieu garde mes bêtes à laine !~ ~
72  60|          Le secret de la barbe à Dieu.~ ~ ~ ~Comme il achevait,
73  60|          tourelle,~ ~Et répond à Dieu qui l’appelle.~ ~« Je reviendrai