Chapitre

 1   2|      comme un chaudron neuf, mon ami… Le loup vint et je le vis.
 2   2|    conclut :~ ~ … Et je calcule, ami Maurin, que si avec ton
 3   3|         t’envoyer aux galères, l’ami !~ ~ ~– Je ne serai jamais
 4   5|       Est-ce clair ?~ ~ ~« Notre ami Terrassebœuf n’a d’ailleurs
 5   5|       êtes, je le sais, un vieil ami de mon père… Je me déclare
 6   6|     autre jour à Cavalière où un ami m’a présenté à lui, m’a
 7   8|         villes !… Une ville, mon ami, où tu n’as qu’à entrer
 8   9|          Lève-toi de devant, mon ami Pastouré ; Pastouré, frère
 9   9|         rattraperai, Maurin, mon ami.~ ~ ~– En ce cas, tu me
10  10| fatiguait beaucoup.~ ~ ~« Eh ! l’ami ! fit le familier Maurin,
11  11|    Attends donc avec patience, l’ami ! La terre ne manquera pas. »~ ~ ~
12  13| reconnaissant, de loin déjà, son ami Hercule, mais en ce moment,
13  14|     attendre. » Ce fut fait, mon ami. J’ai, chaque année, ainsi,
14  17|          député ? c’est un vieil ami ! Nous nous tutoyons… »~ ~ ~
15  17|         façon de penser, cria un ami de Caboufigue.~ ~ ~– Bravo !
16  19|         manzoire du ceval de mon ami Tintidret, qui me l’a prêté
17  19|      appelle Maurin et voici mon ami M. Pastouré, chasseur comme
18  19|              Voyons, voyons, mon ami, lui dit affectueusement
19  20|      tout à fait. Vous êtes, mon ami Maurin, un bien honnête
20  24|         ou, si l’on veut, de son ami Maurin.~ ~ ~ ~Dès que Victorin
21  25|        le fils de votre meilleur ami.~ ~ ~– Et un honnête garçon,
22  27|  capitaine de ville Souventy, un ami de Maurin, avait exercé
23  27|          cheval, la parole à son ami Souventy ; car les fonctions
24  28|      étage, sur le quai, chez un ami d’Orsini.~ ~ ~ ~La procession
25  30|    cirque avec l’instituteur son ami.~ ~ ~ ~Alors Maurin se tourna
26  30|      pense des choses terribles, ami Pastouré. Si tout ce que
27  33|       passé. Comme mousquetaire, ami Pastouré, l’État ne me subventionne
28  35|      quatre paroles !… Et alors, ami Pastouré, tu es bien, là ? –
29  35|        bien, là ? – Pas mal, mon ami, et toi ? – Comme tu vois,
30  35|        Plaisir bien partagé, mon ami. – Que d’histoires, pas
31  35|          les faire garder par un ami à Saint-Tropez. Maurin a
32  35|      puis, dedans, avec eux, mon ami Pastouré, tu n’aurais rien
33  36|      vous le faire comprendre. L’ami Maurin est beaucoup trop
34  37|           il ne faut pas avoir d’ami, et c’est pour Maurin que
35  38|             Que voulez-vous, mon ami ?~ ~ – Monsieur Rinal, on
36  38|    demander un conseil.~ ~ – Mon ami, je vous écoute.~ ~ – J’
37  38|    cahier au plus vite.~ ~ – Mon ami, lui dis-je, êtes-vous marié ?~ ~ –
38  38|        retour.~ ~ – Eh bien, mon ami, retournez vite à la gare.
39  38|       Remportez votre melon, mon ami, vous le mangerez en route,
40  39|    regardaient, contents de leur ami Maurin.~ ~ ~ ~
41  41|  Cabissol en riant, Maurin est l’ami du gouvernement. J’ai voulu,
42  41|          ce moment. Et comme mon ami Maurin est fidèlement aimé
43  42|       même nécessaire d’avoir un ami comme vous, que si jamais
44  43|          dans la melonnière d’un ami qui m’en a donné la permission –
45  44|          de hâte :~ ~ ~« Écoute, ami Sandri, tu me connais, je
46  48|       pas Diou ! qué cãou, raoun ami ! »~ ~ ~Sandri n’en crut
47  49|        femme et la « messonge », ami Maurin, c’est tout un. C’
48  49|        fille avec une poupe, mon ami ! comme la poupe d’une frégate !
49  49|       frégate ! des hanches, mon ami, comme les hanches d’une
50  49|             Ça ne sera pas long, ami Maurin. Mais causons en
51  50|         d’une autre époque, moi, ami Maurin ! D’une époque où
52  50|          une mère : Pastouré mon ami, tu ne prendras jamais femme ! »~ ~–
53  50|        est pourquoi je dis à mon ami Môourin : « Ne passe pas
54  51|    allons, à tant parler avec un ami, toi qui jamais ne parles
55  55|          lavait,~ ~Mon Dieu, mon ami !~ ~– Les femmes ne portent
56  55|      elle avait,~ ~Mon Dieu, mon ami ! »~ ~ ~Son ouïe fine lui
57  55|        mangeait,~ ~Mon Dieu, mon ami !~ ~C’était des mûres qu’
58  55|       automnait,~ ~Mon Dieu, mon ami !~ ~C’était un’branch’qui
59  58|          la préoccupation de son ami, car Fanfarnette avait tenu
60  58|   craignant d’affliger son vieil ami, pour dire :~ ~ ~« C’est
61  58|        être vu, jusque chez leur ami Lagarrigue, tu comprends ?
62  60|  meilleur ouvrier et le meilleur ami de son patron ; il pleurait
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