Chapitre

 1   3|     marche.~ ~ ~« Nous trouverons là-bas Pastouré qui dégarnit de
 2   3|           pour la France ! allons là-bas ou ici ! il faut faire cette
 3   7|          l’épave, et l’homme qui, là-bas, à bord du remorqueur, virait
 4  12|         vois pas dans son palais, là-bas… mais si elle veut venir
 5  15|          dormirai ! – ou bien par là-bas, un peu loin… »~ ~ ~Il regardait,
 6  15|          le chercher. Notre usine là-bas peut devenir une souricière
 7  17|              Mais quand je serais là-bas, moi, comment saurais-je
 8  22|   cria-t-il, un chien fou a passé là-bas ! Il m’a mordu au moins
 9  22|          endommagé. »~ ~ ~Maurin, là-bas, se retournant, haussa les
10  25|           s’y engagèrent… Et tout là-bas Parlo-Soulet, ayant levé
11  26|           me plaît ! Ton écriteau là-bas dans les pinèdes, il n’y
12  27|          de sang hérité.~ ~ ~ ~Et là-bas les montagnes des Maures,
13  28|          ceux que je vois arriver là-bas ne sont pas de Saint-Tropez.
14  28|        Tonia qui riait au balcon, là-bas.~ ~ ~– À présent que nous
15  28|          mouvant qu’on apercevait là-bas, au milieu des eaux tranquilles
16  29|          un grand propriétaire de là-bas qui voulait essayer de faire
17  29|           fit Maurin, j’ai essayé là-bas : j’ai réussi comme eux.
18  31|                 Regarde ta Tonia, là-bas, avec Orsini. On dirait
19  33|       bravades dont Saint-Tropez, là-bas, à l’autre bout du golfe,
20  33|           de son cheval, regardez là-bas : les arènes fument.~ ~ ~–
21  34|        arrêtèrent ici – parce que là-bas, en travers de la route
22  34|        dois avoir chassé le lion, là-bas dans cette Afrique ?~ ~ ~–
23  35|          ai vu mon lit tout fait, là-bas sur la paille de l’ière,
24  36|  pourpoint et qui mit ses bottes. Là-bas, je laisserai le costume
25  36|          de mousquetaire ! j’irai là-bas ; j’y vais ! je reprendrai
26  37|          ils ne se trompent pas ! Là-bas, assez loin encore, entre
27  37|   éloignait… Déjà il n’était plus là-bas qu’un petit mousquetaire
28  37|         pour les mieux apercevoir là-bas, à ses pieds, tout au fond
29  41|         ce moment, sur le rivage, là-bas, Maurin disait à Mme Labarterie :~ ~ ~«
30  45|            il veillait sans doute là-bas, à l’autre extrémité de
31  45|       basane souple… À sa droite, là-bas, sous bois, il aperçut un
32  46|           un courant d’air.~ ~ ~« Là-bas ! là-bas ! regarde, Sandri
33  46|     courant d’air.~ ~ ~« Là-bas ! là-bas ! regarde, Sandri encore
34  46|        balle dans la tête ! »~ ~ ~Là-bas, sur le point que se désignaient
35  47|   travailleurs.~ ~ ~« En voilà un là-bas qui est partout à la fois,
36  47|        Les Maures brûlent !~ ~ ~ ~Là-bas, sur la mer, au large, les
37  49|          il est jour. Les gens de là-bas nous veillent… Si tu sors,
38  49|  docilement Pastouré, arriva tout là-bas, au milieu des terres lointaines,
39  51|          de l’œil. Le fil passait là-bas, sous la porte fermée.~ ~ –
40  52|          par la pointe de Camara. Là-bas, à Saint-Tropez, cependant,
41  52|        bateau pêcheur en détresse là-bas !… Il s’efforçait de lutter
42  52|      disparue, du bateau chaviré, là-bas, roulé, emporté dans les
43  55|          mussugue en face ; voyez là-bas ; et il doit être là, sur
44  56|           elle venait de déposer… Là-bas, de l’autre côté du ravin,
45  56|           et lâche !… » ~ ~Maurin là-bas, fit un mouvement. Il allait
46  57|          était venue.~ ~ ~ ~Seul, là-bas, Maurin était à terre, brûlé
47  57|      sifflant et ronflant passait là-bas, au bord de la mer. La voix
48  59|         un ton singulier, je vois là-bas, assise sous ce pin, une
49  59| tranquille dont le reflet faisait là-bas, sur la mer d’un noir bleuâtre,
50  60|       terre et de ciel. On voyait là-bas le profil des Alpes, des
51  60|                À preuve, regardez là-bas ces roues… Vous voyez comme
52  60|        Dans la montagne, là-haut, là-bas. Dans mon pays, on ne portait
53  60|    habitations des hommes couchés là-bas, dans les villes, sous des
54  60|           bleuâtre dont les bords là-bas semblaient s’appuyer sur