Chapitre

 1   2|        excuse, protesta Maurin ; je peux prouver qu’un chien est
 2   3|          pas…~ ~ ~– Et moi, je n’en peux pas croire mes oreilles !
 3   4|           Français, dit-elle. Je ne peux pas demander à un du continent
 4   4|            n’entrent pas et d’où je peux voir, à travers les vitres,
 5   5|            c’est bien différent, tu peux dire ce que tu voudras,
 6   8|             leur échappant quand je peux et comme je peux. Ce n’est
 7   8|           quand je peux et comme je peux. Ce n’est pas d’être arrêté
 8  13|       perdreaux avecque la main, te peux te le faire cuire pour ton
 9  14|           savent ne diront rien. Tu peux attendre. Quand verrai-je
10  15|             Ça, je comprends que je peux le dire, mais je n’en dirai
11  17|         font pas perdre la tête… Tu peux me tutoyer comme autrefois,
12  17|          Pas de galéjade ici. Tu ne peux pas être fils et arrière-petit-fils
13  19|            cachette. Je sais que je peux compter sur Maurin. Zou !
14  19|            croupe de mon cheval, je peux vous le tuer sans que le
15  20| expliqueront mieux que moi, mais je peux toujours vous dire que le
16  20|            là, une raison que je ne peux pas dire et qui peut d’un
17  21|         train, c’est tout ce que je peux faire ! Quant à la condamnation,
18  21|            on le fera brigadier, tu peux le lui dire et il en peut
19  23|          fois, pechère ! mais je ne peux pas. Alors, sais-tu, je
20  25|             au bout du monde. Je ne peux vous rien dire de plus,
21  25|         sais que vous dire et je ne peux rien faire pour vous !…
22  25|     maintenant !… Ramasse-le, si tu peux… Jamais je n’avais vu gendarmes
23  32|            respecter la loi ! je ne peux pourtant pas faire toute
24  33|               riposta Maurin. Je ne peux pourtant pas rester toute
25  34|           Et plus souvent encore tu peux jeter ton caillou dans les
26  35|         vignerons, dit Saulnier, je peux m’en payer, et du meilleur,
27  35|          mes bêtes et Maurin, je ne peux pas quitter ma cabane.~ ~ ~–
28  36|               s’écria Maurin, je ne peux pourtant pas passer ma vie
29  36|            la route publique. Je ne peux pas rester avec ces bottes
30  37|           étroite ! à présent je la peux quitter… Ah ! diable, quoique
31  38|             je suis mal content, je peux vous le dire, lorsque j’
32  39|            Cabissol, vraiment je ne peux pas vous tromper… Je comprends
33  49|           cria :~ ~ ~« Pastouré, tu peux monter aussi ! »~ ~ ~Au
34  49|         Pastouré ? Je te dis que tu peux monter, tu le peux ! »~ ~ ~
35  49|           que tu peux monter, tu le peux ! »~ ~ ~Une voix lamentable
36  49|  profondeurs du puits !~ ~ ~« Je le peux ! je le peux, ça te plaît
37  49|                  Je le peux ! je le peux, ça te plaît à dire, mais
38  49|             voudrais, mais je ne le peux pas, la preuve est faite,
39  50|      Pastouré, et c’est pourquoi je peux parler en savant du malheur
40  54|           attend pas ces choses… je peux les donner. »~ ~« C’est
41  55|           au bout de l’an :~ ~Je ne peux plus espérer tant. »~ ~«
42  57|           tu m’avais prise, mais je peux bien le dire à présent,
43  57|      calcule qu’avant le jour tu ne peux pas être ici… »~ ~ ~Elle
44  59|           tout l’héritage que je te peux laisser. Le terrain sur