Chapitre

 1   5|     seraient pas contents. Vous êtes un homme du Nord, n’est-ce
 2   5|         ce que je disais : vous êtes du Nord. Le vrai Midi commence
 3   5|        fit Pastouré.~ ~ ~– Vous êtes aussi gobeurs, aussi flâneurs,
 4   5|        Maures ! et riez. Vous n’êtes qu’un enfant auprès de lui.
 5   5|      main, Maurin, dit-il. Vous êtes, je le sais, un vieil ami
 6   6|   expliquer si bien.~ ~ ~– Vous êtes, dit M. Rinal à M. Noblet,
 7   6|   puisque M. Rinal dit que vous êtes ce que vous êtes, je calcule
 8   6|       que vous êtes ce que vous êtes, je calcule que ce serait
 9   7|    Maurin ! qu’il me fait, vous êtes bien « fleuris ? »~ ~« Par
10   7|        vous y étiez, alors vous êtes perdu pour l’intelligence
11   8|        puisque aujourd’hui vous êtes reçu avec honneur, comme
12   8|        ça, dit :~ ~ – Vous vous êtes de Bandol ! »~ ~« Oh ! noum
13  10|          proféra l’autre ; vous êtes deux !~ ~ ~– Oh ! moi, dit
14  13|        veux savoir comment vous êtes entré en possession de ces
15  17|       Je dis, citoyen, que vous êtes connu comme un ridicule,
16  17|     histoire de répépiàré. Vous êtes célèbre pour cette histoire !…
17  17|      plan, n’ayez crainte. Vous êtes ici pour tirer des plans,
18  18|         nous, gendarmes !… Vous êtes entrés sans carte, qué ?
19  19| Monsieur, qu’il me répond, vous êtes un mal « appris… »~ ~« Je
20  19|    Répondez-nous, vous que vous êtes Français ! »~ ~ ~Le capitaine
21  19|  avancer d’un seul pas, si vous êtes (une supposition !) en garde
22  19|        terre, pouf ! Alors vous êtes perdu, pechère ! vu que,
23  19|         à votre assent que vous êtes Bourguignon et que vous
24  20|      entendre tout à fait. Vous êtes, mon ami Maurin, un bien
25  21| autrement que lui et que vous n’êtes pas fille à mépriser Maurin
26  21|         à cette heure, car vous êtes brave et jolie. Mais Maurin
27  22|     stupides, voilà ce que vous êtes ! Va dire ça à ton M. le
28  22|    buveurs d’apéritifs que vous êtes ! »~ ~ ~Le garde à la fin
29  22| conséquence, dit le garde, vous êtes témoins.~ ~ ~– Mais tout
30  24|                De médecin, vous êtes le premier qu’il voit. Il
31  24|             Sans reproche, vous êtes beaucoup nombreux, mes braves
32  25|       se doutent pas que vous y êtes… Allez-vous-en au plus tôt ! »~ ~ ~
33  30|         le brave homme que vous êtes puisse m’accuser d’être
34  30|    République – mais vous, vous êtes un de ses meilleurs défenseurs.
35  36|         de tous les jours. Vous êtes requis de nous dire en quel
36  38|        de Draguignan.~ ~ – Vous êtes venu par le train ?~ ~ –
37  39|    sanglots :~ ~ – Puisque vous êtes si brave, monsieur Cabissol,
38  40|          14 de juillet, si vous êtes tous consentants, je réunirai
39  41|     fond, maître Cabissol, vous êtes un révolutionnaire… un anarchiste.~ ~ ~–
40  42|        appétit.~ ~ ~– Vous vous êtes baigné, Maurin ? questionna
41  58|        pauvre Maurin, et vous y êtes tombé !~ ~ ~– Comme un Darnagas,
42  58|                C’est égal, vous êtes bien bon… Tout ça, il faudra
43  60|      choses iraient mieux… Vous êtes un bon bougre ! Vous n’êtes
44  60|     êtes un bon bougre ! Vous n’êtes pas de ceux qui, n’ayant