Chapitre

 1   1|              tomber en criant : « Ma mère ! Je suis mort ! » Il est
 2   2|           personne.~ ~ ~– Ma vieille mère était un peu fatiguée, dit
 3   2|              filles quittent père et mère, – et même pour l’amour
 4   5|             pas peur, mon drôle ! Ta mère n’aura pas à te pleurer.
 5   9|            aujourd’hui renie père et mère, quand par hasard – ce qui
 6  11|   métaphysique de Pastouré.~ ~ ~ ~La mère de Maurin se mourait dans
 7  11|             et ramena Thérèse.~ ~ ~« Mère, dit Maurin, voilà vos petits-enfants.
 8  11|              Laissez-moi enterrer ma mère », reprit Maurin, d’un ton
 9  11|        arrête pas un homme devant sa mère morte ! »~ ~ ~Heureusement
10  11|         Maurin put ainsi enterrer sa mère tranquillement. Dès que
11  12|        quarts d’année pour faire une mère.~ ~ ~– Et si c’est, à mon
12  13|       poussins dans les plumes de la mère poule.~ ~ ~« Eh ! cantonnier ! »~ ~ ~
13  16|       orphelins qui n’ont ni père ni mère, mon garçon. Vous, vous
14  19|            34, clac ! mais ma pauvre mère n’aimait pas les comédiens ! !…
15  23|              tenu lieu de père et de mère. Dès cette époque lointaine,
16  23|             parce qu’il avait eu une mère, qu’il existe des femmes ;
17  25|              sous la terre, la brave mère de Maurin. »~ ~ ~Et M. Rinal,
18  35|      Pastouré son frère et Maurin sa mère, et pas moins ils ont bravadé
19  42|              autre jour qu’une jeune mère, pechère ! n’ayant que sa
20  49|           brouillard, et épais.~ ~ – Mère, crie celui-là, qui était
21  49|          pétrin. » Avec l’aide de sa mère, il mit sur l’appui de la
22  49|              il cria « pousse ! » sa mère le poussa, pechère ! et,
23  50|        second garçon. Il le dit à ma mère qui, naturellement, n’en
24  50|              de plusieurs jours à ma mère, afin de lui faire comprendre
25  50|           bien, mon brave Maurin, ma mère ne dormit plus – mais son
26  50|           est bien assez d’avoir une mère : Pastouré mon ami, tu ne
27  51|              à moi de soupirer !… Ma mère me l’avait bien dit que
28  51|            avec toi !~ ~ – Peuh ! ta mère ! ta mère !~ ~ – Eh bien,
29  51|                  Peuh ! ta mère ! ta mère !~ ~ – Eh bien, quoi, ma
30  51|                    Eh bien, quoi, ma mère ? Tu n’as pas de mal à dire
31  51|              pas de mal à dire de ma mère, à présent ! »~ ~« Et prenant
32  51|               il me dit du mal de ma mère, à présent ! il ne manquait
33  51|                O ma brave, ma pauvre mère ! Pourquoi ne suis-je pas
34  51|          restée dans la maison de ma mère ! »~ ~« Sanplan ne peut
35  53|            sortir ! »~ ~ ~Aï ! bonne mère ! pauvre de moi, quel malheur !
36  53|            découvrir là…~ ~ ~ ~Bonne mère des anges ! quel souvenir !~ ~ ~ ~
37  59| quatre-vingts ans qu’elle a vécu, ma mère ne s’est abritée que d’un
38  59|            que portent leurs père et mère, alors, nom de Diou ! ce
39  59|             bout d’une attache où ma mère ne portait que ses grands
40  60|              qui, attentif comme une mère, veillait Pastouré, écoutait,
41  60|              peut-être pas même leur mère, ne leur a parlé doux. Ils
42  60|           ciel~ ~A dit à Marie :~ ~« Mère dormez-vous ?~ ~– Non, je