Chapitre

 1   2|         laisse reprendre le bon travail, un peu trop dur et toujours
 2   4|     divisant le produit de leur travail.~ ~ ~« Ce traité continue.
 3   4| continue. Chaque homme doit son travail à tous les hommes et tous
 4   4|    homme meure de faim faute de travail.~ ~ ~« Et les lois seront
 5   4|         à la société sa part de travail, il est indigne et plus
 6   4|      fisto, travaille, que « le travail c’est la liberté » !~ ~ ~
 7  11|         aimer la mort et que le travail de la mort est un fameux
 8  11|        de la mort est un fameux travail. Attends donc avec patience,
 9  16|       plus, mon garçon, dans le travail que dans la paresse, dans
10  17|         Mais l’homme a un autre travail que de jouer de la baïonnette.
11  23|      amour de la solitude et du travail que Victorin vivait aux
12  24|         il dit :~ ~ ~« Fais ton travail et dépêche. Les morts veulent
13  24|       limousine. Zou ! fais ton travail, que je puisse faire le
14  26|     pour achever tranquille son travail d’apprenti tailleur.~ ~ ~ ~
15  28|         Symphonie te paiera ton travail ; nous augmenterons les
16  29|        de peine.~ ~ ~– Voilà un travail, interrompit Parlo-Soulet,
17  34|        gros… ça défoncerait mon travail trop vite ! Un derrière
18  35|          Saulnier, que tu as un travail dur tout le jour, et que
19  36|        Saulnier se rendit à son travail, Pastouré partit. Il se
20  36|      Saulnier – qui rentrait du travail – tous eurent beau supplier
21  38|     dit-il ; que pensez-vous du travail manuel ? Est-il une joie
22  38|       quitté la charrue pour ce travail de la chasse – qui ne m’
23  38|    chasse – qui ne m’est pas un travail puisque c’est ma passion –
24  38|       et pour le mieux. Sans le travail, faute d’avoir assez de
25  38|      contentement, c’est que le travail n’est pas un mal. Mais il
26  38|    donner d’autres idées sur ce travail manuel, comme vous dites,
27  38|  révolté contre la nécessité du travail se dévoue lui-même au malheur !
28  42|         vingt-cinq jours de son travail, mossieu ! Vingt-cinq jours,
29  45|   effort pour se cacher eût été travail perdu. Mais chaque fois
30  50|         il arrivait, fatigué du travail.~ ~ ~« À son travail, la
31  50|         du travail.~ ~ ~« À son travail, la femme l’aidait, comme
32  59|       le tablier, le costume de travail que portent leurs père et
33  60|  demeure, et l’on se livrait au travail acharné, monotone, au travail
34  60|   travail acharné, monotone, au travail coupable, qui donne, quand
35  60|      une lampe, l’ennui dans le travail, la captivité – mais préférable
36  60|         mûr, qui ne trouvait de travail nulle part, dont on se moquait
37  60|       soulagé l’homme d’un gros travail.~ ~ ~– Et qu’avez-vous vu