Chapitre

 1   3|         le laboureur. J’avais dix mille francs. Les gueux me les
 2   3|        dit Maurin, et que tes dix mille francs t’en eussent rendu,
 3   3|           rendu, à toi seul, cent mille ?~ ~ ~– Je me f… pas mal
 4   5|       reconnaissait Maurin.~ ~ ~« Mille excuses, messieurs, dit-il,
 5   8|       fois : un plan, deux plans, mille plans ! plan, plan, plan,
 6  13|        qui était partout dans les mille plis de son visage, sur
 7  14|          feu aux bois de par là ; mille ou cinq mille hectares de
 8  14|         de par là ; mille ou cinq mille hectares de bois flamberaient.
 9  19|            En un mot comme en dix mille, poursuivit-il en se tournant
10  22|        pas ! et on me fera encore mille misères en justice. Je m’
11  22|     épargner quarante sous à deux mille hommes qu’ils sont ! Et
12  24|          le ciel, coupées par les mille jambes noires des pins qui
13  25|       voici véritablement qui est mille fois plus drôle !… Un quadrille
14  28| bourtoulaïguoise, divisée par les mille potins insignifiants qui
15  29|         bataille et de l’odeur de mille kilos de poudre !… et ils
16  33|        plus grande joie de quatre mille spectateurs.~ ~ ~ ~Un second
17  33|        éclat de rire fait de deux mille éclats de rire retentit,
18  38|     travailleurs, leur répéter de mille manières que la politique
19  43|          de l’oiseau enchanté des Mille et Une Nuits. »~ ~ ~Et très
20  43|    convives se les offraient avec mille politesses.~ ~ … Après vous…
21  45|                  Maurin rusait de mille manières, se montrait parfois
22  47|           merle allume ainsi deux mille hectares de forêts – pendant
23  47|          hydres fantastiques, aux mille gueules béantes, aux mille
24  47|        mille gueules béantes, aux mille langues dardées, et ces
25  60|           vieille que moi de cent mille années », chevrota l’ancien.~ ~ ~ ~