Chapitre

 1  10|       d’un ton qui le faisait fuir.~ ~ ~« Pas moins, dit Pastouré,
 2  16|     il eût voulu s’y dérober, fuir… mais ses pieds étaient
 3  25|      deux assaillis voulurent fuir : tout un peuple, bourdonnant
 4  28|     la douleur qu’il espérait fuir le suivait obstinément !
 5  29|     filons comme deux péteux. Fuir, toujours fuir, ça m’ennuie
 6  29|   deux péteux. Fuir, toujours fuir, ça m’ennuie à la fin !
 7  31|    par le taureau, feignit de fuir – puis, brusquement se retourna,
 8  33|    celui-là et se mirent à le fuir, résistant à leurs cavaliers
 9  33|       les Tropéziens ont fait fuir, voilà trois siècles, vingt
10  40|       et, au lieu de le faire fuir, le tintamarre des instruments
11  45|     ou reptiles, qu’on entend fuir. Pas un arbre assez proche
12  45|       bois pour l’empêcher de fuir à sa droite. Quant au charbonnier,
13  47|    relevant, s’éloignant pour fuir l’insoutenable « coup de
14  48|     son assiégé pût tenter de fuir.~ ~ ~ ~Les autres travailleurs
15  52| arbres eux-mêmes paraissaient fuir devant le gros temps ; courbés,
16  52|       reflux elle semblait le fuir.~ ~ ~ ~Dans le sable mou,
17  60|      choisie et qu’on peut la fuir. L’échelle de corde n’est-elle