Chapitre

 1   5|          nos collines – mais que voyez-vous là de risible ? Notre hommage
 2   5|           qui devint pâle…~ ~ ~« Voyez-vous, monsieur Labarterie, nous
 3   5|         et il sut mourir, voilà. Voyez-vous, monsieur Labarterie, il
 4   6| conseillait de se retirer.~ ~ ~« Voyez-vous, lui dit Maurin, dans notre
 5   6|         ennemis. Les gens d’ici, voyez-vous, ne vous connaissent pas…~ ~ ~–
 6   8|          Si c’est possible, ça ! Voyez-vous, madame et messiés, ils
 7   8|        souvenir de cette parole. Voyez-vous, on dit touzours : l’Essposition
 8   8|          pas essposition, Paris, voyez-vous, z’ai compris, par ce libraire,
 9  13|        vous dire, brigadier. Ça, voyez-vous, c’est des perdreaux de
10  19|        duelliste en garde.~ ~ ~« Voyez-vous, dit-il, avec ce fouett
11  19|          bout de cette herbe, la voyez-vous ? clac ! elle y est ! cherchez,
12  36|       beaucoup trop intelligent, voyez-vous, beaucoup trop pour ne pas
13  40|  pourquoi le merle des fanfares, voyez-vous, ça revient toujours ! »~ ~ ~
14  52|       heure, nous et nos bêtes ! Voyez-vous, nous ne craignons ni le
15  58|         voir !~ ~ ~« Maintenant, voyez-vous, monsieur Rinal, je ne suis
16  58|     Rinal :~ ~ ~« Le plus fort – voyez-vous, monsieur Rinal – sera toujours