Partie,  Chapitre

 1     1,      4|            voyage, et pourquoi son oncle avait-il si absolument désiré
 2     1,      4|      jamais tenté d’adresser à son oncle d’indiscrètes questions.~ ~ ~ ~
 3     1,     10|           de la tente, aperçut son oncle dont la promenade saccadée
 4     1,     10|           cou :~ ~ ~– Bonjour, mon oncle, lui dit-elle en l’embrassant.~ ~ ~–
 5     1,     10|            serais-je pas gaie, mon oncle ? Grâce à Dieu, nous venons
 6     1,     10|         enfant ?~ ~ ~– Aucune, mon oncle, si ce n’est une immense
 7     1,     10|          je vous fais plaisir, mon oncle.~ ~ ~– De sorte, reprit
 8     1,     10|           raison toute simple, mon oncle, ils m’ont dit adieu, avant
 9     1,     10|         étonnement.~ ~ ~– Oui, mon oncle, avant de partir, ils me
10     1,     12|           fille abandonnée par son oncle et même par le docteur qui
11     1,     12|           la religion. Lorsque son oncle la retira du couvent pour
12     1,     12|   admirablement les projets de son oncle, était pour la jeune fille
13     1,     12|           à propos de parler à son oncle, doña Luz quittait Mexico
14     1,     12|    intérieurement en regardant son oncle, qui se préparait tout pensif
15     1,     13|            partirez pas ainsi, mon oncle, répondit-elle en lui présentant
16     1,     13|         pas, n’est-ce pas, mon bon oncle ? fit-elle avec ce sourire
17     1,     13|                Tout en servant son oncle et en ayant bien soin qu’
18     1,     13|     refuser.~ ~ ~– C’est vrai, mon oncle ; mais cette fois je crains
19     1,     13|                  Au contraire, mon oncle ; cependant je vous avoue
20     1,     13|      répondrai.~ ~ ~– Eh bien, mon oncle, fit en rougissant la jeune
21     1,     13|            cela ?~ ~ ~– Dame ! mon oncle, si vous étiez là, ce ne
22     1,     13|            Ah bah !~ ~ ~– Oui, mon oncle, et bien simple, allez.~ ~ ~–
23     1,     13|           ne me gronderez pas, mon oncle ?~ ~ ~– Folle ! est-ce que
24     1,     13|         câline.~ ~ ~– Eh bien, mon oncle, ce moyen…~ ~ ~– Ce moyen ?~ ~ ~–
25     1,     13|           enfant ?~ ~ ~– Mais, mon oncle, une chose bien naturelle,
26     1,     13|             dit-il.~ ~ ~– Oui, mon oncle, répondit-elle.~ ~ ~– Eh
27     1,     13|            d’un bond, embrassa son oncle avec effusion et donna l’
28     1,     13|         plus tard, doña Luz et son oncle, précédés par le Babillard
29     1,     13|      rendaient songeuse.~ ~ ~ ~Son oncle s’aperçut de cette disposition
30     1,     13|   changement ?~ ~ ~– Mon Dieu, mon oncle, que cela ne vous inquiète
31     1,     13|  atteignent jamais !~ ~ ~– Mon bon oncle, auprès de vous ne serai-je
32     1,     13|             Ne dites pas cela, mon oncle, j’espère que nous avons
33     1,     13|           par un soupir.~ ~ ~– Mon oncle, reprit la jeune fille au
34     1,     13|      dit-il.~ ~ ~– Je ne sais, mon oncle, répondit-elle timidement,
35     1,     14|            à coup, oh ! pardon mon oncle, dit-elle.~ ~ ~ ~Le général
36     1,     14|           fit-il.~ ~ ~– Merci, mon oncle, dit la jeune fille avec
37     1,     14|         Dieu ! je vais avertir mon oncle.~ ~ ~– Gardez-vous-en bien,
38     1,     15| interruption malencontreuse de son oncle en demandant à l’Élan-Noir
39     1,     16|                 Rassurez-vous, mon oncle, je ne suis pas blessée,
40     1,     16|                Cela veut dire, mon oncle, répondit la jeune fille,
41     2,      3|                  N’est-ce pas, mon oncle ? lui répondit doña Luz
42     2,      3|         joyeux.~ ~ ~– Oui, mon bon oncle, j’ai tout entendu.~ ~ ~–
43     2,      4|          hatto en compagnie de son oncle se porte bien, hein ? Pauvre
44     2,      4|           jeune dame ainsi que son oncle, vous leur recommanderez
45     2,      7|        avec chaleur, quant à votre oncle, oh ! comptez sur moi, je
46     2,      7|     occuperai de vous rendre votre oncle.~ ~ ~ ~Sans attendre les
47     2,      8|            en voyage, jamais votre oncle le général ne vous a laissé
48     2,      8|         les prairies, à quoi votre oncle passait-il son temps ? Pardonnez-moi,
49     2,      8|   difficulté de vous répondre. Mon oncle depuis notre arrivée dans
50     2,      8|           promis de délivrer votre oncle, soyez persuadée qu’il accomplira
51     2,      8|           pas plus inquiète de son oncle, elle brûle de le revoir.~ ~ ~–
52     2,      9|        mienne : ce quelqu’un est l’oncle de la jeune fille ; si je
53     2,      9|          prix à l’existence de son oncle ; soyez donc assez bon pour
54     2,      9|   consentez pas à me suivre, votre oncle sera livré à la plus atroce
55     2,     10|         doña Luz et lui rendre son oncle.~ ~ ~ ~Les deux femmes tressaillirent.~ ~ ~–
56     2,     10|           demain pour sauver votre oncle, oh ! oui, madame, je vous
57     2,     10|            d’abord il faut que mon oncle soit sauvé, dussé-je sacrifier
58     2,     10|      bientôt je vous rendrai votre oncle !~ ~ ~– Oh ! fit-elle avec
59     2,     13|         est pour sauver mon pauvre oncle ; mon Dieu, ajouta-t-elle
60     2,     13|           comment saurai-je si mon oncle est sauvé ?~ ~ ~– Rassurez-vous,
61     2,     13|          ma tête, et le général, l’oncle de la jeune fille que vous
62     2,     15|   soufferts.~ ~ ~– Maintenant, mon oncle, lui demanda-t-elle en terminant,
63     2,     15|            larmes, lui demanda son oncle en lui pressant la main
64     2,     15|         intérêt.~ ~ ~– Hélas ! mon oncle, répondit-elle avec un accent
65     2,     15|          Que voulez-vous dire, mon oncle ? demanda la jeune fille
66     2,     15|       mélancolie.~ ~ ~– Mon pauvre oncle !~ ~ ~– Merci de l’amitié
67     2,     15|         sur son épaule :~ ~ ~– Mon oncle, il me vient une idée.~ ~ ~–
68     2,     15|         fortune, n’est-ce pas, mon oncle ?~ ~ ~– Hélas ! murmura-t-il,
69     2,     15|         dit-il vivement.~ ~ ~– Mon oncle, puisque vous regrettez
70     2,     15|              Essayez toujours, mon oncle, répondit-elle avec insistance,
71     2,     15|                  Je le désire, mon oncle, fit-elle en l’embrassant