Partie,  Chapitre

 1   Pro,      2|      serviteur, je sais que vous m’êtes dévoué.~ ~ ~– À la vie et
 2   Pro,      3|           me happer lorsque vous m’êtes venu en aide. Pouvais-je
 3   Pro,      3|   inexcusable à vos yeux, que vous êtes son père, et que moi ! moi !
 4   Pro,      4|          voix sèche et brève, vous êtes ici à plus de vingt lieues
 5   Pro,      4|          compter de ce moment vous êtes seul, vous n’avez plus ni
 6   Pro,      4|          ni famille ; puisque vous êtes une bête fauve, je vous
 7   Pro,      4|     appartenant à votre mère. Vous êtes mort pour la société dans
 8     1,      2|      Cœur-Loyal sourit.~ ~ ~– Vous êtes libre, reprit-il, voici
 9     1,      2|         partir de cet instant vous êtes mon frère, désormais c’est
10     1,      4|            un démon, pour qui vous êtes trop bonne et qui finira
11     1,      5|   Cœur-Loyal, pas un geste ou vous êtes mort !~ ~ ~ ~L’Indien resta
12     1,      5|       votre nature, seulement vous êtes averti, adieu.~ ~ ~– Et
13     1,      7|    Peaux-Rouges, tandis que vous n’êtes sur les frontières que depuis
14     1,      7|                  Blancs-Yeux, vous êtes un sang-mêlé, vous tenez
15     1,      8|    émouvoir.~ ~ ~– Ah ! bah ! vous êtes donc sorcier alors ?~ ~ ~–
16     1,      9|       emparer de moi, lorsque vous êtes venus la retarder de quelques
17     1,     10|              eh ! mon enfant, vous êtes bien gaie ce matin.~ ~ ~ ~
18     1,     11|      recevant doña Luz.~ ~ ~– Vous êtes noble et généreux, capitaine,
19     1,     11|              Oh ! je sais que vous êtes adroits et dévoués, compagnons,
20     1,     13|                   C’est vrai, vous êtes si bon !~ ~ ~– Voyons, parle,
21     1,     13|        murmura le général, et vous êtes sûr de ce que vous me dites
22     1,     14|        suis un honnête homme, vous êtes aussi en sûreté, seule ici,
23     1,     15|          peut rompre. Lorsque vous êtes arrivé dans les prairies,
24     1,     16|        ferme leur dit :~ ~ ~– Vous êtes des traîtres et vous allez
25     1,     17|                Si, depuis que vous êtes avec nous, vous avez été
26     1,     17|     vieillard avec désespoir, vous êtes perdue !~ ~ ~– Surtout,
27     1,     18|          serrant la main, que vous êtes la plus excellente créature
28     1,     18|             ce matin, vous ne vous êtes pas livré entre les mains
29     1,     20|            regard foudroyant, vous êtes tous des lâches ! des hommes
30     2,      3|            lieu que…~ ~ ~– Si vous êtes tué ?~ ~ ~ ~Le général fit
31     2,      3|           les pays civilisés. Vous êtes la tête, nous ne sommes
32     2,      3|          un sourire ironique, vous êtes fous, il faudra bel et bien
33     2,      4|          ainsi des herbes que vous êtes venu dans les prairies ?~ ~ ~–
34     2,      4|         grand et que, puisque vous êtes là, il est facile à réparer.~ ~ ~–
35     2,      4|          de vous.~ ~ ~– Ainsi vous êtes parti du camp au lever du
36     2,      4|          de mort, insensé que vous êtes ! maintenant que faire ?
37     2,      5|        Élan-Noir, et, puisque vous êtes libre, nous allons pouvoir
38     2,      5|         délivrer, Cœur-Loyal, vous êtes l’âme de notre association,
39     2,      8|          depuis deux mois que vous êtes en voyage, jamais votre
40     2,      8|        demeure, doña Luz, vous qui êtes faite pour habiter de splendides
41     2,      8|            elle habite.~ ~ ~– Vous êtes mille fois trop bonne, madame,
42     2,      9|         instant, puisque vous vous êtes remis entre nos mains, vous
43     2,      9| compliments à m’adresser, vous qui êtes passés maîtres en pareille
44     2,      9|           avez-vous oublié où vous êtes, misérable ?~ ~ ~– Allons !
45     2,     12|    épithète.~ ~ ~– Très bien, vous êtes l’homme qu’il me faut.~ ~ ~ ~
46     2,     12|          sauter la cervelle ; vous êtes averti, maintenant agissez
47     2,     12|          cent fois ! Docteur, vous êtes un homme adorable.~ ~ ~–
48     2,     13|          dit la vieille dame, vous êtes bon, vous aimez mon fils,
49     2,     13|      bandits sans foi ni loi, vous êtes devenu la terreur des prairies,
50     2,     13|          hommes rouges, car vous n’êtes d’aucun pays, le vol et
51     2,     14|            avec fureur.~ ~ ~– Vous êtes jugé, répondit-il, on va
52     2,     14|          chasseur impassible, vous êtes bien pris, mon maître, aujourd’
53     2,     15|           au Cœur-Loyal que vous n’êtes pas ingrat, et que vous
54  Post        |          Gustavio, me dit-il, vous êtes sombre, préoccupé, vous
55  Post        |           aussi heureux que vous l’êtes aujourdhui, et que ce n’
56  Post        |         Non, mon ami, vous ne vous êtes pas trompé, nous avons tous
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