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Chap.
1 1| forme des plaines.~ ~ ~ ~On voit chaque nation dont le bord 2 1| rangée s'écrie :~ ~ ~– On voit, en bas, des choses qui 3 1| mains des esclaves, et on voit bien que le vieux monde 4 2| petits yeux autour de lui, me voit, me fait signe et me dit :~ ~ ~– 5 2| profondeurs. Dans les coins, on voit de l'ombre dense se former, 6 2| pain mécanique ! On les voit courir dans la paille comme 7 2| traîne sur la terre, on voit briller les verres de ses 8 2| fume » dans son coin. On voit trembler sa grosse moustache, 9 2| par enchantement. Et on voit leur fureur se changer, 10 2| pour placer leur mot. On voit sourire Farfadet, le fragile 11 2| étranger ou un convalescent. On voit se dilater et se fendre, 12 2| droite, et, subitement, on voit déboucher un groupe mouvant 13 2| plein les rues, comme on voit chez nous des moiniaux.~ ~ ~– 14 2| regarde, il dévisage, il voit, et on voit l'autre ciel 15 2| dévisage, il voit, et on voit l'autre ciel qui l'éclaire. 16 2| comme des pièges qu'on voit. Les autres rient ; leur 17 2| puissant d'un avion qu'on ne voit plus tourne en remplissant 18 3| suivre un enterrement ; et on voit qu'il pense, et qu'il en 19 3| Marchal.~ ~ ~ ~Celui-ci me voit. Il a une exclamation joyeuse, 20 4| soldats qui arrivent : on voit la boule de leur paquetage 21 4| parle du loup…~ ~ ~– On en voit la queue…~ ~ ~– Pas encore, 22 5| Dans le rang, on ne voit rien : parfois, quand on 23 5| dévolue à l'escouade, on en voit de ces fantaisistes, qui 24 5| cœur. Il en frémit et on voit trembler son toupet poudré 25 5| cette porte jaune qu'on voit. En avant !~ ~ ~ ~Près de 26 5| insiste Barque.~ ~ ~– On voit que vous n'risquez pas vot' 27 5| bougrement bien, ici.~ ~ ~ ~Et on voit les têtes remuer et faire 28 5| tache si noire qu'elle se voit, même ici. Farfadet, soigneux 29 5| parles d'une clarté ! On voit l'suc' qui s'balade au fond 30 5| feutre sa joue rentrée, et on voit monter et descendre de grosses 31 5| jette un cri étouffé ; on voit palpiter son cou, sa jolie 32 5| entrecroisés du dialogue. On voit des isolés se joindre deux 33 6| sont boyautants.~ ~ ~ ~On voit passer une file de canetons 34 6| ouverte sur le chemin, on voit se promener une bande de 35 6| on regarde tout.~ ~ ~ ~On voit la vie des choses, on assiste 36 7| brouillard des voix. On voit quelques rangs se dessiner 37 7| ceux-là, qui c'est ?~ ~ ~ ~On voit dans des échappées de lumière 38 7| bataillon de chasseurs.~ ~ ~ ~On voit dans l'ombre Cocon hausser 39 8| falot. À lève le falot et on voit un galon doré sur la manche, 40 8| refus. » Et Mariette nous voit encore rentrer à la file, 41 8| que fait Mariette : on ne voit pas la dernière marche de 42 9| tout à fait l'poilu qu'on voit dessiné dans les journaux 43 9| on n'a rien vu – vu qu'on voit rien.~ ~ ~– Mais si on voyait !…~ ~– 44 10| tête étant saoul.~ ~ ~– On voit un peu d'sang par terre 45 11| moitié en est inondée – on y voit surnager des rats – et les 46 11| boyau d'un cache-nez, et on voit ses formes étiques, découpées 47 11| coloré, les rues de Cette. Il voit si bien, de si près, qu' 48 11| baraquette des siens. De là, on voit en même temps, se rejoignant, 49 11| Général de Division vous voit dans la rue, il vous fera 50 11| les vitres embuées, on les voit bondés d'un nuage compact 51 12| béante d'un pantalon. On voit un insecte qui en sort et 52 12| est à demi retournée ; on voit l'œil creux et sur la tempe, 53 12| toute de travers, et on voit la moustache qui se hérisse 54 12| ôte son vaste casque et on voit sa tête qui fume. Puis il 55 12| y avait un soupirail. On voit la trace d'une barre de 56 12| disait. Voilà-t-il pas qu'on voit un Boche, deux Boches, dix 57 12| explique, et i' dit qu'i' voit ça d'ici. « Écoute, qu'i' 58 12| la suivant des yeux, on voit qu'elle a déjà osé aller 59 12| dans le noir, on ne les voit pas, et il arrive qu'aux 60 13| gros mots~ ~ ~ ~Barque me voit écrire. Il vient vers moi 61 14| ouverture de la grange, on ne voit rien du tout…~ ~ ~ ~Puis, 62 14| un désordre de gestes. On voit saillir dans les lueurs 63 14| Mais on ne peut pas. On les voit, mais on ne voit rien au 64 14| On les voit, mais on ne voit rien au fond d'elles.~ ~ ~– 65 14| de montrer ses jambes. On voit se hâter discrètement cette 66 14| aller à la messe, et qu'il voit qu'il vous réveille, il 67 15| Un instant après, on le voit qui allume sa pipe, sa figure 68 16| que toutes celles qu'il voit ne sont pas pour lui. Du 69 16| vieille.~ ~ ~ ~De près, on la voit en détail. Elle est ratatinée, 70 18| cinq heures du soir. On les voit tous les trois remuer au 71 18| dit-il.~ ~ ~ ~Mais on voit briller et disparaître la 72 19| dans le bas du ciel, on voit nettement que, devant nous, 73 19| enfin décidé à poindre. On voit les choses en sale. Autour 74 19| la fois. À ce moment, on voit, sur le flanc de la colline, 75 19| nous voient comme on les voit. Comment veux-tu leur z' 76 19| point gamma.~ ~ ~– On les voit, ces t'obus, affirme Volpatte, 77 19| de souffler ouf.~ ~ ~– On voit aussi très bien l'obus de 78 19| plein la terre, qu'on n'voit pas. Je m'demande comment 79 20| contre-bas devant moi, et on ne voit rien dans cet abîme de ténèbres 80 20| pointe autour de moi. On voit se découper la crête, déchirée, 81 20| bâille, on se promène. On voit passer un camarade, puis 82 20| son pauvre visage, on ne voit plus que cette mâchoire 83 20| recrudescence de poux, dont on voit les ravages déborder à son 84 20| tenace. C'est pourquoi on voit Farfadet continuer à vivre 85 20| nous a paru si frêle. On voit de loin sa pâleur, ses traits 86 20| comme un prisonnier, et on voit sa silhouette barbue se 87 20| Mais, tout d'un coup, on la voit qui d'vient blanc comme 88 20| et du meurtre ; mais on voit, en contemplant leurs figures 89 20| folie du genre humain. On voit ce qu'il y a de songe et 90 20| grands flots de fumée. On voit, avec de stridents fracas 91 20| se forment en l'air. On voit, on sent passer près de 92 20| on court presque. On en voit qui tombent tout d'une pièce, 93 20| étend devant nous. On ne voit rien d'abord qu'une steppe 94 20| immobilité.~ ~ ~ ~Mais on ne voit plus le lieutenant. Plus 95 20| applique un masque et qu'on ne voit plus rien. On se débat comme 96 20| sent que c'est fini. On voit, on entend, on comprend 97 20| entrée se trouve obstruée. On voit plusieurs ombres qui piétinent 98 20| nimbus bleuâtre et jaune, on voit des hommes qui cernent la 99 20| bras ballants ; de près, on voit qu'ils sont noircis, brûlés, 100 20| dans sa face de barbet, on voit luire deux beaux yeux de 101 20| De temps en temps, on le voit s'arrêter, la figure crispée. 102 20| semés : en se baissant, on voit que ce sont les phalanges 103 20| Quand on apprend ou qu'on voit la mort d'un de ceux qui 104 20| ont été exterminés. On en voit qui, abattus au bord d'un 105 20| boucliers ; au barrage, on voit un cadavre debout planté 106 20| sa veste déboutonnées, on voit des bandages qui lui entourent 107 20| un glacis sablonneux. On voit se bomber à travers ce voile 108 20| des débris. Tandis qu'on voit, à travers le grand voile 109 20| relevé qui bat en l'air, on voit sa figure convulsée et hurlante, 110 21| sorte, un réduit dont on voit l'éclairement transparaître 111 21| laisser entrer quelqu'un, on voit s'éclabousser brutalement 112 21| larges yeux opaques, et on ne voit pas sa blessure.~ ~ ~– C' 113 21| en haut, du ciel, on ne voit pas grand-chose, vous savez. 114 21| mais véridiques, et où on voit la vérité sur eux, face 115 21| on ne sait pourquoi. On voit s'agiter le bric-à-brac 116 21| leur poids cramponné, et on voit zigzaguer la bougie tenue 117 21| et le long des plis. On voit se presser vers ce débouché, 118 21| qui s'amoncellent et on voit sa grosse tête, noire de 119 21| irruption par les déchirures. On voit apparaître plus précises 120 21| quel est son vrai nom. On voit se jeter sur les autres, 121 22| sont relevés d'habitude, on voit se dessiner, sur ces pans 122 22| jamais jusqu'ici !~ ~ ~ ~On voit des messieurs, des dames, 123 22| le milieu du parquet. On voit, peints le long des murs, 124 22| embrasser leurs enfants. On voit briller aux premières étoiles 125 23| contorsions.~ ~ ~ ~On ne voit pas loin autour de soi, 126 23| de toiles de tentes. On voit, en passant, leurs faces 127 23| mouillés. Puis on ne les voit plus.~ ~ ~ ~Nous suivons 128 23| d'océan de la pluie. On voit fumer, par-dessus une mêlée 129 23| n'vois donc pas qu'ça s'voit, galeux, à travers l'parquet !~ ~ ~ ~ 130 23| C'est rare que ça s'voit, gouaille l'homme, on n' 131 23| pied chaque fois. On n'y voit guère dans la nuit. On voit 132 23| voit guère dans la nuit. On voit cependant, à la sortie du 133 23| surplombant la tranchée. On voit, en passant par-dessous, 134 23| Un peu plus loin, on voit se pencher la forme d'un 135 24| les tranchées ?~ ~ ~ ~On voit des lacs, et, entre ces 136 24| continue peut-être, mais on ne voit pas jusque-là.~ ~ ~ ~Je 137 24| Peu à peu, on les voit. Il y en a, non loin de 138 24| plongent dans l'eau. On voit transparaître leurs dos 139 24| flaques et de puits. On en voit, par places, remuer, se 140 24| mouvements se dessinent. On voit se déplacer lentement des 141 24| massives racines de boue. On voit s'effacer ces rafales d' 142 24| et la dégoûtation qu'on voit – pour être tout à la guerre, 143 24| misère des temps, qu'on voit recommencer interminablement. 144 24| ils sont encore.~ ~ ~ ~On voit leurs ombres se mouvoir