Chap.

 1     5|       infernal tintamarre – se rue sur la route. Malédiction !
 2     5|      inonde jusqu'aux bords la rue de Gauchin-l'Abbé. La plupart
 3     5|       se composent d'une seule rue. Mais quelle rue ! Elle
 4     5|     une seule rue. Mais quelle rue ! Elle a souvent plusieurs
 5     5|       longueur. Ici, la grande rue unique se sépare en fourche
 6     5|        autre à gauche, dans la rue déjà encombrée de poilus
 7     5|       se figea au milieu de la rue et me regarda en face. Sa
 8     5|        fenêtres donnant sur la rue se fleurir de massifs multicolores
 9     5|        campagne, au bout de la rue, le train régimentaire et
10     6|    Teilurure : au milieu de la rue, il balance le ventre florissant
11     7| roulantes, la grande ligne, la rue sans bornes où les rails
12     7|     une banderole illuminée de rue en fête.~ ~ ~ ~Sur cette
13    10|     sur quelques pas en grande rue – les chambres, que leurs
14    11|        se mêlent. On grimpe la rue, on gravit le monticule
15    11|        qui va galopant dans la rue comme un camelot en criant
16    11|     Division vous voit dans la rue, il vous fera immédiatement
17    11|   reflètent dans la boue de la rue principale. Il y en a tous
18    11|      bandes, qui descendent la rue. Quand une automobile arrive,
19    12|       pavés : c'était ici, une rue !~ ~ ~ ~On dirait un terrain
20    12|        Perche et avoir pris la rue du Quatorze-Juillet. J'voyais
21    14|       petits chiffonniers d'la rue, et j'ai un magasin, un
22    15|       qu'est au coinsteau d'la rue.~ ~ ~– Ah ! les vaches !
23    20|      était à tous les coins de rue pour te poisser : un jour
24    22|        premières étoiles de la rue tous ces gens riches qui
25    22|     errons sur les pavés de la rue, le long du crépuscule,