Chap.

 1     2|  plupart. Lamuse fut valet de ferme, Paradis, charretier. Cadilhac,
 2     2|           Et nonobstant cette ferme déclaration, il s'esquive
 3     2|      d'c'que tu n'dis pas. La ferme !~ ~ ~– J'la fermerai si
 4     2|   plusieurs, plutôt.~ ~ ~– La ferme ! C'est bien mieux qu'y
 5     5|      dégueulasserie.~ ~ ~– La ferme ! Rev'lâ c'te vache.~ ~ ~ ~
 6     6|      Au-delà de cette cour de ferme, par l'échancrure du mur
 7     8|    courir. On passe devant la ferme des Alleux – une espèce
 8     8|       naufrage, quoi. L'autre ferme, un peu plus loin, noyée
 9     8|   vous, que j'dis, jusqu'à la ferme du Pendu. Y a d'la place,
10     8|   coup jusque-là.~ ~ ~» Cette ferme, la dernière maison de Villers,
11     8|    voudraient coucher dans la ferme du Pendu.~ ~ – Quoi vous
12    11|       devant la poterne de la ferme où nous logions. Les hommes
13    11|  gibier à la onzième, dans la ferme, près de l'infirmerie. Il
14    12| paupières pour indiquer qu'il ferme les yeux.~ ~ ~ ~Nous nous
15    12|      il emporte dans son cœur ferme et solide, et ce n'est pas
16    14|      au bout de la cour de la Ferme des Muets, dans la construction
17    17|       retourne sur le ventre, ferme ses poings et s'endort,
18    21|   devient agressif :~ ~ ~– La ferme ! Qu'est-ce que ça peut
19    23|       remuements d'hommes. On ferme les yeux, on est suffoqués
20    24|  gadoue qu'on jette.~ ~ ~ ~On ferme les yeux. De temps en temps,