Chap.

 1     2|       la route des Pylônes. J'entends encore Caron raconter l'
 2     2|    toutes ses formes.~ ~ ~ ~J'entends en partie le colloque, j'
 3     2| porter des capuchons.~ ~ ~– T'entends ça ? dit Tirette à Tirloir.
 4     5|     sur mon passage, à moi, t'entends bien ? Tu m'diras qu'elle
 5     9|   Barque. Eh bien, en 1914, t'entends bien ? Millerand, le ministre
 6    12|     haut de la route.~ ~ ~ ~J'entends sa voix balbutier, presque
 7    12|       vois plus rien ; mais j'entends à nouveau les semelles entrer
 8    14|     peux pas mieux dire. Je n'entends pas l'insistance de Poilpot.~ ~ ~–
 9    14|     nez dans la couverture, j'entends Marthereau qui me parle
10    14|       d'lapin.~ ~ ~ ~Et, je l'entends, encore, un peu plus tard,
11    14|       moitié sur son séant. J'entends sa voix éraillée :~ ~ ~–
12    19|   garer d'eux ; sitôt qu'tu l'entends ronfler, sitôt i' t'éclate
13    20|     le caporal Bertrand que j'entends, sans le voir, à l'orifice
14    20|   boulettes qui r'biffent ! T'entends ?~ ~ ~ ~Il s'arrête, débouche
15    20|      s'affaisse, s'enfonce. J'entends quelques grêles « Kamerad ! »
16    21|    tourne, tourne…~ ~ ~ ~Et j'entends celui qui, là-bas, de son
17    21|     si près de moi que je les entends sans les écouter. Ce sont
18    21|     la faute à personne, tu m'entends, mais faut voir c'qui est.
19    22|   nuages des cigares, et je l'entends à peine dans le brouhaha,