Chap.

 1     2| prétention (et Dieu sait s'il en devient parfois embêtant, le frère !)
 2     2|         s'crever. C'est-i' qu'on devient pareil à des bêtes, à force
 3     4|         faire avec moi.~ ~ ~ ~Il devient volubile. Un peu de fièvre
 4     5|       Puis, très vite, le soleil devient ardent, et alors, il fait
 5     5|       tait. On peine. Chaque pas devient dur à accomplir. Les figures
 6     5|     hochant la tête, parce qu'on devient riche. Il a dit qu'à la
 7     9|       fantassins ! Qu'est-ce que devient notre prestige ! Quand nous
 8    12|        et sur ses bords fangeux, devient inextricable. Les arbres
 9    12|          La brume tombe vite. On devient indistincts les uns aux
10    12|      enduites de boue. La marche devient une débandade pleine de
11    14|         grandit et s'élargit, et devient monumental et écrasant.
12    19|      cahoter la marche. La route devient une mare qu'on franchit
13    21|       vent. Le réseau des boyaux devient de plus en plus étroit ;
14    21|                L'autre, sauvage, devient agressif :~ ~ ~– La ferme !
15    23|         le dégoût. La puanteur y devient intolérable. On marche dans
16    23|      têtes. Puis le bombardement devient si dense que l'éclairement
17    23|         en vont.~ ~ ~ ~L'endroit devient mauvais. On se baisse, on
18    23|       nous fut légère à enlever, devient glaiseuse et collante, est
19    23|          aura pas fini… La terre devient de plus en plus lourde.