Chap.

  1     I|           une grande phase dans ma vie. J’ai trouvé une situation
  2     I|           ne suis pas seul dans la vie comme je suis seul ce soir.
  3     I|         Autrefoisaujourdhui… ma vie… mon cœur… moi ! Je pense
  4    II|           M. Berton, le dieu de ma vie actuelle…~ ~ ~ ~Je m’apprête
  5    II|           Cette femme intéresse ma vie intime, elle participe à
  6    II|            au fond des nuits de la vie.~ ~ ~… Le repas était terminé.
  7    II|          monstre : « Elle avait la vie dure, et elle criait, criait !
  8   III|          hier, je suis changé ; la vie humaine, la vérité vivante,
  9   III|         toute mon âme, de toute ma vie, je la supplie de se montrer
 10   III|           par les battements de ma vie, par toutes les ténèbres
 11   III|       lentement, vers l’incertaine vie, puis vers la mort certaine.
 12    IV|     Maintenant, il semblait que la vie était devenue soudain sérieuse,
 13    IV|         deux êtres recommencent la vie, intimement mêlés, comme
 14    IV|         eux, qui se préparent à la vie immense, elle est devenue
 15     V|         situation ; j’organisai ma vie comme pour un nouvel amour.
 16     V|         clore encore plus, avec sa vie. Et ce fut lentement qu’
 17     V|            frissonné dans toute ma vie en recueillant le mot profond
 18     V|     infiniment lourd.~ ~ ~– Quelle vie je menais ! quelle monotonie,
 19     V|        seul besoin de sortir de sa vie. Leurs vœux n’étaient pas
 20     V|           décrivait le décor de sa vie d’autrefois.~ ~ ~– De la
 21     V|          ennuyer, c’est mourir. Ma vie était morte, et pourtant,
 22     V|            cette parole termine la vie ?… Vous croyez vraiment
 23     V|        jours, c’est avec sa propre vie. Ce n’était pas avec des
 24     V|           être autre, pour haïr la vie plus fort qu’elle me haïssait,
 25     V|   complications qui multiplient la vie ; ces chambres, ces cachettes,
 26     V|             Quand, au milieu de la vie, on se réveille de la vie,
 27     V|          vie, on se réveille de la vie, qu’on voit un autre éclat
 28     V|        étaient inertes, toute leur vie remontant à leurs lèvres.
 29     V|            on est en plein dans la vie, on ne voit pas cela, et
 30     V|          contre les défaites de la vie, de s’exalter, de ne pas
 31    VI|            épelle le profond de la vie, mais je me sens perdu à
 32    VI|         évanouir cette approche de vie…~ ~ ~… Elle se dédoubla…
 33    VI|           est vraiment de toute ma vie que, les mains jointes et
 34    VI|            hors la nature, hors la vie normale faite de sacrifice
 35    VI|          odeur et la chaleur de la vie, et qui accomplit son labeur
 36   VII|       Écœuré par la banalité de la vie, et d’ailleurs appesanti
 37   VII|           avoir de mystère dans la vie que d’autre espace dans
 38  VIII|      essaya de lui faire reprendre vie :~ ~ ~– Nous ne pouvons
 39  VIII|            proche. On entrevoit la vie : matin, printemps, espoir ;
 40  VIII|       beaucoup plus de mort que de vie. Ce ne sont pas seulement
 41  VIII|           aurait-il guidée dans la vie. Je suis orpheline d’un
 42  VIII|            que je vivais en pleine vie étaient du mirage à côté. »~ ~ ~
 43  VIII|           toute la mort à toute la vie. Ses yeux étaient tournés
 44  VIII|           éveillait-il à la grande vie intérieure.~ ~ ~ ~Quand
 45  VIII|           lui, comme un corps sans vie, s’écrasa à terre, naufragée
 46  VIII|          qui sont à la fin de leur vie, et se rappellent tout ce
 47  VIII|          Ils sont à la fin de leur vie, et ils sont heureux de
 48  VIII|     paradis, c’est la lumière ; la vie terrestre, l’obscurité :
 49  VIII|         désigne ; elle retire leur vie, par fragments, du silence
 50  VIII|    recherche ; son jugement sur la vie est beau comme le jugement
 51  VIII|        parlait, à ce drame dans ma vie. Oui, cela avait été ainsi.
 52  VIII|          infatigable malheur de la vie ; pas même le sommeil : «
 53  VIII|          est finie. D’ailleurs, la vie est finie. C’est la dernière
 54  VIII|        elle eut en entrant dans la vie. Ève finit comme elle a
 55  VIII|            baiser aux lèvres de sa vie. Elle voudrait être heureuse,
 56  VIII|            sorte d’œuvre double de vie et d’art. Il est lyrique ;
 57  VIII| envahissement et à du noir dont la vie veut s’évader. « Nous sommes
 58  VIII|               Le paradis, c’est la vie, dit-il.~ ~ ~ ~Aimée se
 59  VIII|        souvenir par souvenir, leur vie, et ils l’adorent dans sa
 60  VIII|     tremblement qui lui donnait la vie… L’aspect de leur destin
 61  VIII|    mourants disent : « Et quand la vie, à la longue, sans nous
 62  VIII|          sentais mourir ! »~ ~« La vie s’exalte avec une sorte
 63  VIII|        sorte de perfection dans la vie finissante. « C’est beau,
 64  VIII|          humble commencement de la vie expiatoire. Et ils vont
 65    IX|             par une revanche de la vie, elle oublie un instant.
 66    IX|           facilement tout, même la vie. La vraie douleur revêt
 67    IX|         résonnaient du creux de sa vie ; elle, blanche et large,
 68    IX|          murmura :~ ~ ~– J’aime la vie…~ ~ ~ ~Il secoua la tête :~ ~ ~–
 69     X|    vibratoire, lui donne une autre vie. Mais l’agent excitateur
 70     X|         être le germe normal de la vie, est un parasite.~ ~ ~«
 71     X|        mêmes choses. C’est la même vie imperceptible qui nous conduit
 72     X|   augmentent. Sans aucun doute, la vie moderne multiplie les cas
 73     X|    dominent, bougent d’une étrange vie : ce sont des statues… Cette
 74     X|        traits ont pour le cœur une vie poignante, dont l’image
 75    XI|          la grande déchirure de la vie.~ ~ ~ ~La veilleuse est
 76    XI|        cette effusion. C’est de la vie, c’est presque une œuvre,
 77    XI|          auxquelles je consacre ma vie. Préoccupations sur ma situation
 78    XI|           une libre caresse sur sa vie. Il fallait lui cacher,
 79    XI|        pour la première fois de sa vie, rougissante jusqu’aux épaules,
 80   XII|         partagé les fatigues de ma vie de voyages, m’a soigné.
 81   XII|     sépulcre.~ ~ ~ ~Sa voix reprit vie :~ ~ ~– Dieu ne peut pas
 82   XII|       homme se débattrait toute sa vie, tenaillé par la douleur,
 83  XIII|       connaissiez complètement. La vie, qui a été si cruelle pour
 84  XIII|     oublier sa mort et penser à sa vie ?…~ ~« Je m’aperçus bien
 85  XIII|        derniers temps, s’emplit de vie et s’anima.~ ~ ~ ~On alluma
 86  XIII|           chacun est content de sa vie, et tout le monde est consolé
 87   XIV|    voudrais savoir le secret de la vie. J’ai vu des hommes, des
 88   XIV|           paix, par-dessus même la vie, comme une espèce de morte.
 89   XIV|            barbare au milieu de ma vie quotidienne, qu’il veille
 90   XIV|          lignes essentielles de la vie et raconterait le drame
 91   XIV|          comme la complexité de la vie, mais c’est, au fond, ceci :
 92   XIV|   importance que j’ai mis toute ma vie à comprendre…~ ~ ~ ~L’immensité
 93   XIV|         des yeux.~ ~ ~ ~À peine la vie a-t-elle cessé, que d’autres
 94   XIV|        était la dernière marque de vie ; elle s’anéantit, hélas,
 95   XIV|       cette grossière écorce de la vie usuelle.~ ~ ~ ~Les contradictions
 96   XIV|          entier, d’une question de vie et de mort pour moi, d’un
 97   XIV|          dit : « Après ma mort, la vie continuera. Il y aura tous
 98    XV|           et la pudeur de toute sa vie, ses jambes de vierge palpitent
 99    XV|                Ils partent pour la vie comme un couple de légende,
100    XV|         suis des yeux à travers la vie qui n’est pour eux que des
101    XV|          que je vais faire dans la vie ? Je ne sais pas. Je chercherai ;
102    XV|     supporter, si le restant de ma vie s’écoulait dans le calme,
103    XV|           patience longue comme la vie, et la maternité lourde
104    XV|          me donner ta parole et ta vie, de ce que tu auras fait
105    XV|           une pensée heureuse ; la vie intérieure sera gaie et
106   XVI|             dans la tragédie de la vie, la séparation est la seule
107   XVI|         les traits tirés, toute sa vie concentrée dans le foyer
108   XVI|        arriviste : le luth pour la vie. – On le surnomme aussi,
109   XVI|          quoi souriait-elle ? À la vie, à cause de son enfant.
110   XVI|         gravie, il recommencera la vie, le seul paradis qui soit
111   XVI|           compris. Elle adorait la vie, mais elle détestait les
112   XVI|            le plus haut cri que la vie eût jeté, c’était le cri
113  XVII|            lorsque j’aurai vécu ma vie de tout son poids.~ ~ ~ ~
114  XVII|          caresses. Ils aimeront la vie et auront peur de disparaître.
115  XVII|           ce qui nous pousse de la vie à la vie, de notre geste,
116  XVII|         nous pousse de la vie à la vie, de notre geste, de notre
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