Chap.

 1     I|    regards. Mais à ce moment du soir, ce tapis avait la couleur
 2     I|      les autres, de même que ce soir est un soir comme les autres.~ ~ ~ ~
 3     I|         même que ce soir est un soir comme les autres.~ ~ ~ ~
 4     I|        de ce changement que, ce soir, je m’arrache à mes pensées
 5     I|     entends de la pluie dans le soir), l’ombre qui augmente ma
 6     I|       vie comme je suis seul ce soir. L’amour a pris pour moi
 7     I|     elle est grise.~ ~ ~ ~Et le soir vient comme viendront tous
 8     I|     profondes, enterrée dans le soir, et ma bouche pleine d’un
 9     I|      moi, qui, dépouillé par le soir, monte comme un cri.~ ~ ~ ~
10    II|        d’une horloge, et où, le soir, auprès d’elle, il y a une
11    II|       aussi comme les rayons du soir ; poignets blancs, mains
12    II|   maintenant, je la regarde. Le soir écarte doucement la laideur,
13    II|         sa main grise.~ ~ ~ ~Le soir s’épaissit partout, et il
14   III|          Quelqu’un va venir, ce soir peut-être, demain, un autre
15   III|        éternise, et pourtant le soir vient.~ ~ ~ ~De ma fenêtre,
16   III|       ma fenêtre, je regarde le soir qui monte au ciel, ascension
17   III| oublierai jamais l’incomparable soir où nous fûmes ensemble.~ ~ ~ ~
18    IV|         quelques jours, vers le soir, ils avaient éprouvé un
19     V|        crépuscule vint, puis le soir, qui l’agrandit sans la
20     V|        Il se distinguait mal du soir.~ ~ ~ ~Des vêtements noirs
21     V|      bien qu’elle fût pleine du soir.~ ~ ~– On ne nous a pas
22     V|   naître le matin et avorter le soir, j’ai eu peur de mourir,
23     V|     nous nous sommes glissés un soir dans l’hôtel – la première
24     V|         C’était dans la rue, un soir, dit-il. Je t’ai pris le
25     V|         n’avais pas, ce premier soir de nous, le même visage
26     V|   journée et de la fraîcheur du soir. Mais, en vérité, tu me
27     V|         je vois cette figure de soir où les yeux brillent, où
28     V|         fond de la poussière du soir.~ ~ ~ ~Et tous deux se ressemblent
29    VI|    heures s’écoulaient ; et, le soir, j’étais brisé par mon infatigable
30   VII|         ranger pour le repas du soir, je demeure presque seul,
31  VIII|   canapé, cachée par l’ombre de soir et par l’ombre de l’homme.
32  VIII|     douceur grise et soyeuse du soir ; bientôt elle serait nue.
33  VIII|      obscurité, dans la boue du soir, semblent se traîner lentement
34  VIII|        ce qu’ils furent l’autre soir ! C’est l’autre soir. Jamais
35  VIII|      autre soir ! C’est l’autre soir. Jamais je n’ai eu à ce
36  VIII|          il y a des moments, le soir surtout, où il semble que
37  VIII|    frisson de froid pluvieux du soir et de tous les hivers qui
38  VIII|     écoute… Te rappelles-tu… Un soir, sous la lampe. Je feuilletais
39  VIII|         autre chose encore : un soir que nous étions restés longtemps
40  VIII|  oiseaux morts. Oui, c’était le soir de cette grande malédiction
41  VIII|         faut lutter du matin au soir, pour pouvoir, lorsqu’on
42  VIII|        sourire, et qui rend, le soir, le foyer presque déserté,
43  VIII|         la fin du travail et le soir, au couchant, la douceur
44  VIII|   asseoir… Oh ! que de fois, le soir, les yeux sur la couvée
45  VIII|         avais vue, moi, l’autre soir, là même où cet homme parlait,
46  VIII|       comme des enfants dans le soir de nos soirs.~ ~ ~– Pourtant…
47  VIII|     universelle a repris chaque soir, ceux dont le sang vivant,
48  VIII|        sous la calme tempête du soir, nous conservions un rayon
49  VIII| accordait un sourire suprême au soir… « Et tout autour de nous,
50  VIII|     environnée d’ombres : notre soir, ta robe, ta pudeur… Mais
51  VIII|     conquête sous les voiles du soir ta précieuse tête, lorsque
52  VIII|       les grandes descentes, le soir où nous sentions la vieillesse
53  VIII|     guérir, nous espérions ; le soir amollissait les pierres,
54    IX|        était grande ouverte. Le soir entrait, vibrant, abondant,
55    IX|          sous le ciel violet du soir. Ils bougent… Non… Si. C’
56    IX|       flotte grecque partira ce soir, puisqu’on ne peut naviguer
57    IX|     restèrent tous les deux… Le soir avait une réalité saisissante :
58    IX|       un regard.~ ~ ~ ~Mais, ce soir, n’était-elle pas au bord
59    IX|       que toutes les beautés du soir.~ ~ ~ ~Le moribond, sentant
60     X|         le toit soit l’ombre du soir ou de la nuit. Ainsi le
61    XI|       heures, du matin jusqu’au soir, j’ai entendu la plainte
62    XI|          Elle voit peu à peu le soir tomber sur le plus beau
63    XI|        cacher toujours. L’autre soir, j’ai été suffoqué par un
64    XI|      jamais ce que j’ai fait ce soir.~ ~ ~ ~Après qu’elle eût
65  XIII|      lumineuse dans la bonté du soir. Sous l’arc délicat du sourcil,
66  XIII|      les ombres approfondies du soir : sa haute figure sans voiles,
67  XIII|      dont je vous parle, est ce soir un bienfait qui va de moi
68  XIII|        moi comme vous l’êtes ce soir, mais vraiment à côté de
69   XIV|    puisque je suis là.~ ~ ~ ~Ce soir je ne suis pas tranquille ;
70   XIV|       Ce n’est pas seulement ce soir, où me pousse le besoin
71   XIV|      énorme qui me tourmente ce soir. D’après l’étymologie latine
72   XIV|         dans le de profundis du soir, émerger comme des victoires
73   XIV|       ce moment, courbé dans le soir, l’homme avait dit : « Après
74    XV|        Puis elle dit :~ ~ ~– Le soir, dans ma chambre, parfois,
75    XV|       de leur désir, lorsque le soir oppressera leur corps d’
76    XV|       loin, mais tendrement. Le soir, nous penserons à la nuit.
77   XVI|      les façades bleuies par le soir, m’angoissent… Une passante
78   XVI|        étouffé, sous la robe du soir… De la fenêtre fermée d’
79   XVI|         paix et son bonheur. Ce soir, son ami raconte que sa
80   XVI|         ne peut empêcher que le soir, gris maintenant, qui entoure
81   XVI|         pas dans ma chambre, ce soir. Je ne veux pas, ce soir,
82   XVI|        soir. Je ne veux pas, ce soir, quitter la foule des hommes.
83   XVI|     disait à sa compagne que le soir, en rentrant, il avait rencontré
84   XVI|  entières dans le même sens, le soir. Jetée sous un porche de
85   XVI|        l’ombre ravage sourit au soir, vague reflux, du fond de
86   XVI|       aurore, le midi lourd, le soir rêveur : il grandira, confus
87   XVI|       enfant nouveau-né dans le soir qui dore ses hardes, les
88   XVI|        déjà été troublé l’autre soir tandis qu’il arrachait de
89   XVI|  révolte d’être en fête dans le soir, morne saignement… Nous
90  XVII|         Je m’en irai demain, le soir, avec mon immense souvenir.
91  XVII|       que je vins ici, comme le soir où j’ai pris possession
92  XVII|   toujours neuve s’amonceler de soir en soir, quand le vautour
93  XVII|    neuve s’amonceler de soir en soir, quand le vautour vole à