Chap.

 1   III|            que, malgré le mur, mon corps se penche vers le sien.~ ~ ~ ~
 2   III|           et tout le milieu de son corps avait la forme d’un cœur.~ ~ ~…
 3   III|          tendant le gouffre de son corps.~ ~ ~ ~Elle me faisait voir
 4   III|            autour du milieu de son corps, – dans cette ombre qui,
 5   III|            dans la tête et dans le corps : si je la recueille d’une
 6   III|            est folle.~ ~ ~ ~De mon corps tout entier, de ma pensée
 7    IV|    important, c’est de décrire son corps. Je m’y consacre minutieusement,
 8    IV|          la robe qui enveloppe son corps en le présentant, comme
 9    IV|           la vérité écartelait mon corps sur le mur… Comme si cette
10     V|        silhouette se dessina, prit corps ; une petite main gantée
11     V|           peu tout le poids de ton corps, j’ai senti ta chair grandissante.
12     V|          ai tenu dans mes bras son corps souple et raidi ; je l’ai
13     V|        tandis que je caressais ton corps, les mains en toi, et tu
14     V| monstrueusement tendre. Je vois le corps sombre agenouillé devant
15     V|        sombre agenouillé devant le corps pâle – et elle laisse tomber
16     V|            tant d’autres fois. Mon corps est à moi et je te le donne.
17     V|           l’étreignais de tout mon corps. Et le mur semblait me rendre
18     V|            prodige de joie que son corps contient.~ ~ ~ ~Ils communient
19     V|        ardeur tumultueuse de leurs corps et de leurs âmes mît sur
20     V|            chercheront, dans leurs corps mélangés, un soulagement
21     V|          les plus sombres de leurs corps, qui servent aussi aux fonctions
22    VI|    viendrait, souriant de tout son corps… Mais non, ce n’est pas
23    VI|          voudrais m’approcher d’un corps de femme.~ ~ ~… Cette petite
24    VI|          cette pauvre ombre est un corps de lumière, qui s’éclaire
25    VI|            tâtonnait vers ces deux corps. En vain. La nuit entrait
26    VI|              Ah ! balbutie l’autre corps.~ ~ ~ ~Quel moyen mystérieux
27    VI|           Chacun est occupé de son corps, chacun se sent étreindre
28    VI|        chacun se sent étreindre un corps sans pensée. Oh ! qu’importe
29   VII|            empreinte allongée d’un corps ou d’un couple.~ ~ ~ ~Elle
30   VII|            comme à l’aurore de son corps – et elle nous quitte.~ ~ ~ ~
31   VII|      nimbait radieusement tout son corps) ; et il ne l’a pas désirée.~ ~ ~ ~
32   VII|          garde emprisonné dans son corps le vivant et brûlant souvenir.
33  VIII|           une fois, le mélange des corps et la lente caresse rythmée
34  VIII|            fut heureux de tout son corps et de toute sa pensée. Son
35  VIII|   pensaient à moi, pensaient à mon corps ; la mort d’une femme a
36  VIII|        serrait ses bras contre son corps, elle se recroquevillait,
37  VIII|        genoux devant lui, comme un corps sans vie, s’écrasa à terre,
38  VIII|            de l’étreinte. Mais les corps ne se pénètrent pas plus
39  VIII|    isolements : « Enfouis dans nos corps comme dans nos linceuls,
40     X|           Qu’est-ce que peut notre corps tout entier à côté de cette
41     X|  statistiques-là se tiennent, font corps ensemble. Il y a, à Paris,
42     X|     surtout par l’antithèse de son corps et de son âme, j’aurais
43     X|         demeure sur cette face, au corps qui est sous elle. Le corps,
44     X|        corps qui est sous elle. Le corps, seul dans la nuit, confus,
45    XI|        seule ligne qui fût sur son corps, et ses hanches larges comme
46   XII|            Sa voix s’enrouait. Son corps malmené haletait ; il y
47  XIII|      dernière fois, sans doute, du corps sans mouvement et presque
48   XIV|        Dans le frêle cercueil, mon corps deviendra la proie des insectes,
49   XIV|            y a ainsi à travers les corps abandonnés huit immigrations
50   XIV|          peu à peu, l’intérieur du corps s’extériorise.~ ~ ~ ~Je
51   XIV|            curtonèvres, hantent le corps quelques instants avant
52   XIV|         cheveux et les étoffes. Le corps est d’une couleur dorée,
53   XIV|      surface du monde.~ ~ ~ ~Leurs corps, agglomérations de cellules,
54   XIV|  considérée comme enfermée dans le corps, ne le dépassant pas, n’
55    XV|           je vois combien tout son corps l’accueille, tandis que
56    XV|           l’a vu à demi-dévêtu, le corps changé de forme ; son visage
57    XV|          le milieu saignant de son corps.~ ~ ~ ~Enfin le cri jaillit
58    XV|     coupable. Il n’y a eu que deux corps jeunes et beaux comme deux
59    XV|            que celle de leurs deux corps, dans les colères superbes
60    XV|            le soir oppressera leur corps d’une tiédeur aussi forte
61   XVI|           elle est morte.~ ~ ~… Le corps ébloui par un autre parfum
62   XVI|         ville, cramponné à ce seul corps.~ ~ ~ ~Quelques instants
63  XVII|            regarder. Mais tout mon corps n’est plus qu’une douleur.
64  XVII|           mais je ne peux pas. Mon corps se fait de plus en plus
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