Chap.

 1    II|          est presque une œuvre de chair… Elle se tait et se referme.
 2    II|         voudrait aller jusqu’à sa chair, et plus loin encore, un
 3    II|           dents convulsif vers la chair fraîche et le sang de l’
 4   III|       avec ses yeux sombres et sa chair sombre, avec la clarté de
 5   III|        ses bas noirs.~ ~ ~ ~Et ma chair cria, marquée comme au fer
 6   III|           ai entrevu un peu de sa chair défendue, je suis à l’affût
 7   III|           suis à l’affût de cette chair, dans les ombres mêlées
 8   III|      nuageux, peut-être un peu de chair pure : je ne distinguai
 9   III|      tissu des dessous, est-ce la chair ? Est-ce rien, est-ce tout ?
10   III|        regards lourds comme de la chair, avaient besoin de son ventre.
11   III|     surgit, un rêve me laboura la chair : le premier effroi passé,
12   III|         défaillance charnelle, ma chair se tait et ne rêve plus,
13    IV|           la grande volonté de la chair, le ciel s’est obscurci.
14    IV|          entrailles, que toute sa chair, et que son cœur, et qui
15     V|           qui offre le cœur et la chair, le cri grand ouvert de
16     V|          ton corps, j’ai senti ta chair grandissante. Le monde pullulait,
17     V|            chuchotés par toute la chair. Il avait soif d’elle, il
18     V|          sont les étreintes et la chair, la grande cérémonie de
19     V|            je sus le moment où sa chair était entrée dans celle
20     V|     encore enchaîné à elle par la chair, il murmura :~ ~ ~– Je jure
21     V|         ne comprenait pas dans sa chair cet éloignement : elle n’
22     V|      détachent et s’écroulent, la chair s’affale. Ils s’éloignent
23     V|      volupté qui s’épanouit de sa chair et retombe sur lui comme
24     V|         le recul invincible de la chair.~ ~ ~« C’est tout ! Ce n’
25     V|           du péché qui tient à la chair comme un lambeau de chair.
26     V|         chair comme un lambeau de chair. Et de nouveau, l’envolée
27    VI|             ce cri venait de leur chair. Il me les montrait enfin.
28   VII|         tempes battent ; toute ma chair va à cette femme presque
29   VII|         Il s’est accroché à cette chair, le ventre sur cette croupe,
30  VIII| fouille-moi de tes mains ou de ta chair ; embrasse-moi longtemps,
31  VIII|       temps, et qu’un peu de leur chair leur est commune. Au contraire,
32  VIII|           voient plus loin que la chair et que l’acte consommé,
33  VIII|        ils étaient encore dans sa chair. Puis un autre souvenir
34  VIII|     silence infini de baisers, ta chair qui dans la nuit est blanche
35    IX|         toute à l’événement de sa chair. On voyait, dans le demi-jour
36    IX|      parler après un effort de sa chair pour rompre le silence.
37     X|       tout entier à côté de cette chair qui ne s’organise pas et
38     X|           mortifient des coins de chair.~ ~ ~« C’est lui qui, dans
39     X|         toute la pourriture de la chair humaine, tout le côté pestilentiel
40    XI|          et pitoyable. J’ai vu la chair se fendre, se briser, la
41    XI|          se fendre, se briser, la chair souple se rompre comme de
42    XI|           jetés au vent. Toute sa chair se présente, béante et rouge,
43    XI|           encore qu’un morceau de chair pris dans sa chair – son
44    XI|     morceau de chair pris dans sa chair – son cœur qu’on vient de
45    XI|       massacre, cette tragédie de chair, cela est si commun et si
46    XI|      commence à être puni dans ma chair des longues heures où je
47    XI|          souple, elle en avait la chair abondante, la lumière simple,
48   XII|       avez désiré cette femme, la chair de cette femme, et commis
49   XII|   circonstances de votre péché de chair. Dites-moiLorsque vous
50  XIII|           Le poids sinistre de sa chair le gardait étendu et muet,
51  XIII|          toute la puissance de sa chair saine, un cri pur et vraiment
52   XIV|           plus vite un coin de ma chair. Je mourrai sans doute de
53    XV|        unique et sombre fleuve de chair.~ ~ ~ ~Puis il s’est un
54    XV|         cherchais le parfum de ta chair. Et je tendais les bras
55    XV|         bas a glissé sur la belle chair de marbre doré, la cuisse
56    XV|          comme en pleurant : « Ta chair, ta chair ! », et une suite
57    XV|         pleurant : « Ta chair, ta chair ! », et une suite de phrases
58    XV|       serre et tient l’hôte de sa chair, tandis que la buée de leur
59  XVII|           pesant et poignant ; ma chair s’acharne contre moi, et
60  XVII|         une mère dont le fruit de chair périra après avoir été.~ ~ ~ ~
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