Chap.

 1     I|              par mon nom comme par un cri nouveau sous la face du
 2     I|               le soir, monte comme un cri.~ ~ ~ ~L’heure m’a rendu
 3    II|              voisine, et j’étouffe un cri de surprise.~ ~ ~ ~En haut,
 4   III|      accouplait à la sienne.~ ~ ~ ~Un cri m’occupait tout entier :
 5    IV|          oiseau s’était envolé et son cri aussi. Pas de vent, et presque
 6     V|                 il y eut entre eux un cri passionné et contenu, presque
 7     V|               le cœur et la chair, le cri grand ouvert de la créature
 8     V|        plaisir qu’on a !~ ~ ~ ~Pauvre cri, premier signal d’une haute
 9    VI|          Encore ! »~ ~« Encore ! » ce cri venait de leur chair. Il
10    VI|                      Et j’écoutais ce cri, penché sur eux avec une
11    VI|                pour pousser ce pauvre cri de gloire qui ressemble
12    VI|             gloire qui ressemble à un cri de secours ; quelle abomination
13    VI|               à la nuit, jettent leur cri de victoire. Les amants,
14    VI|             De profundis… Pourquoi ce cri d’espoir terrible, ce cri
15    VI|             cri d’espoir terrible, ce cri de misère, de supplice et
16   VII|           fasciné… Un piétinement, un cri qui s’étouffe dans un gros
17   VII|             a-t-il laissé échapper un cri inarticulé : la parole muette
18  VIII|          coule et tombe d’elle, en un cri d’agonie :~ ~ ~– Oh ! notre
19  VIII|               côté. »~ ~ ~Elle eut un cri étouffé qui la fit tressaillir
20  VIII|         disait-il. Il avait trouvé le cri contre la mort, il le répétait.
21  VIII|             enfant naît ; son premier cri est une plainte : l’ignorance
22  VIII|           nous quitte », et elle a ce cri suprême : « Oh ! la stérilité
23  VIII|               aussi, puisque c’est un cri qui monte et qui nous abandonne…
24  VIII|             je serai, moi, moi ! » Ce cri : « Moi ! » prend peu à
25  VIII|              serait pour un autre. Le cri confus qui dit, en croyant
26  VIII|               raison, dit Aimée en un cri où elle était toute.~ ~ ~–
27    XI|          appuie, et s’écroule avec un cri étouffé.~ ~ ~ ~L’autre la
28    XI|             yeux chavirent et dont le cri, d’abord sourd et muré,
29    XI| courageusement tout près de l’immense cri.~ ~ ~ ~Quand ce cri a une
30    XI|           immense cri.~ ~ ~ ~Quand ce cri a une forme, c’est : « Non !
31    XI|             harassée, j’ai entendu le cri séparé d’elle. Un cri qui
32    XI|              le cri séparé d’elle. Un cri qui n’est presque qu’un
33    XI|             de lui arracher.~ ~ ~ ~Ce cri m’a troublé tout entier.
34    XI|          interjection inarticulée, un cri de son cœur touché à vif…
35   XII|          haussa comme pour arrêter un cri.~ ~ ~… Il ouvrit lentement
36  XIII|                elle qui fut soleil et cri, et qui était maintenant
37  XIII|           Elle le vit. Elle poussa un cri effrayant, de toute sa force,
38  XIII|       puissance de sa chair saine, un cri pur et vraiment veuf. Elle
39  XIII|              seul cœur, dont monte le cri ; ce cri est d’un mouvement
40  XIII|                dont monte le cri ; ce cri est d’un mouvement simple,
41  XIII|               dominait le village. Le cri du cœur résiste passionnément.
42   XIV|           premier jour, je n’ai qu’un cri : « Moi ! »~ ~ ~Je voudrais
43   XIV|          entrailles… Puis voici qu’un cri monte en moi, un cri lucide,
44   XIV|               un cri monte en moi, un cri lucide, conscient et inoubliable
45   XIV|               chute du désir avec son cri qui monte, tout cela n’est
46    XV|          Leurs yeux se disent le doux cri, leurs poitrines se le communiquent.
47    XV|          haletant d’où va s’élever un cri.~ ~ ~ ~Elle gémit tout bas : «
48    XV|             son corps.~ ~ ~ ~Enfin le cri jaillit de ce travail de
49   XVI|               est un perroquet, et le cri entendu n’est qu’un grand
50   XVI|              l’esprit l’importance du cri des hommes. Jamais je n’
51   XVI|          encore, c’était le plus haut cri que la vie eût jeté, c’était
52   XVI|              vie eût jeté, c’était le cri de délivrance qu’à tâtons
53  XVII|          apaisement. Moi ! le dernier cri comme le premier.~ ~ ~ ~