Chap.

 1   III|   ascension si douce qu’on la voit et qu’on ne la voit pas ;
 2   III|     on la voit et qu’on ne la voit pas ; et la foule qui s’
 3   III|   elle fait ! Les êtres qu’on voit sans qu’ils s’en doutent
 4    IV|       rose qui se respire. On voit jusqu’aux genoux ses jambes
 5    IV|     bord d’eux-mêmes, et l’on voit leurs mains trembler entre
 6     V|     réveille de la vie, qu’on voit un autre éclat dans le jour,
 7     V|    dépouille des choses ?… On voit ses cuisses larges, son
 8     V|   elle, mais on peut dire, on voit, on éprouve qu’elle jouit
 9     V|      plein dans la vie, on ne voit pas cela, et on n’en sait
10    VI|  considère avec intérêt. Elle voit que je n’attends personne,
11    VI|  assez maladroitement et l’on voit sa fine bottine appliquée
12    VI|      saisis :~ ~ ~– Dieu nous voit ! Dieu nous voit ! balbutie
13    VI|    Dieu nous voit ! Dieu nous voit ! balbutie une des bouches.~ ~ ~ ~
14    VI|       reste s’efface, l’on ne voit plus que ce sourire.~ ~ ~ ~
15   VII|       il la regarde, il ne la voit pas !~ ~ ~ ~Ah ! cela est
16   VII|       y réussit qu’à demi. On voit ses bas qui se plissent
17   VII|    accablé par le néant qu’on voit.~ ~ ~ ~Elles sont parties
18  VIII|    ange de la vérité qu’on ne voit jamais.~ ~ ~« La maison
19  VIII|   Notre misère est là : on la voit et on la touche. Qu’on nie
20  VIII|            Nous sommes ce qui voit passer. Nous sommes ce qui
21  VIII|  dépouille ; dans l’été qu’on voit souffrir et décliner ; dans
22    IX|      agrandit ses paroles. On voit à travers lui l’homme actif
23    IX|  cailloux incrustés.~ ~ ~« Il voit le rivage. Les matelots
24     X|    meurt pas de paralysie, on voit bientôt se former dans son
25     X|  arrive par chemin de fer, on voit que la colonnade est plantée
26    XI| stagne, réduite à rien. On ne voit que ce ventre énorme au
27    XI|    gants de caoutchouc. On la voit agiter comme des battoirs
28    XI| dirigés vers la fenêtre. Elle voit peu à peu le soir tomber
29    XI| remercie la souffrance, et on voit le monde nouveau de pensées
30  XIII|   plus en plus serrées, et on voit le firmament étoilé se changer
31   XIV| grande crise géologique, elle voit, sur une éminence, un seul
32   XIV|      que le bon sens, elle ne voit la vérité ; elle n’est d’
33    XV|      libre sur son ventre. On voit la forme de ses deux jambes
34    XV|      et de son ventre ; on la voit toute dans le geste brutal
35    XV|      et suave jeune fille… On voit ses deux jambes écartées
36    XV| grâces ; et alors qu’il ne la voit pas, moi, moi seul, ai vu
37   XVI|       tendresse les unit ; on voit qu’ils s’aiment. L’un parle,
38   XVI|   vient, passe et s’en va. On voit l’espace vide qui les sépare :
39   XVI|   pourvu qu’il le crût. On le voit, dans l’immense ville, cramponné
40   XVI|     derrière l’éventail) : Il voit la paille qui est dans l’
41   XVI|      œil de son voisin, et ne voit pas la pioutre qui est dans
42   XVI|       monde, où tout ce qu’on voit est vrai, où tout ce qu’
43   XVI|       l’azur qu’au delà on ne voit plus qu’en pensée ; le ciel :
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