Chap.

 1   III|        la perdais !… Ce fut une douleur aiguë dans mon être, comme
 2    IV|        certitude d’un avenir de douleur est tombée sur eux ; des
 3    VI|         aurait été vraiment une douleur. Je sens sur mes traits
 4  VIII|       Je suis là à souffrir. Ma douleur, est-ce que tu la sens ?~ ~ ~ ~
 5  VIII|       parlons plus jamais de la douleur et de la joie ; leur partage
 6  VIII| transportée par une universelle douleur. On eût dit qu’elle venait
 7  VIII|         grande exaltation de sa douleur :~ ~ ~– Hier, tu ne sais
 8  VIII|   petite figure crispée par une douleur et une énergie muette –
 9  VIII|      autour de soi, le monde de douleur qu’on apporte dans le monde !
10  VIII|        parfaits, absolus, notre douleur et notre besoin. Notre misère
11  VIII|   savoir ; puis, la maladie, la douleur, toutes ces lamentations
12  VIII|        une plainte de plus ! La douleur d’enfanter. Elle ne finit
13  VIII|         heures de désespoir, la douleur ne faisait qu’agrandir leurs
14  VIII|       sa solitude d’avant, à sa douleur qui fuit ; le sourire ne
15    IX|       les mains.~ ~ ~– La vraie douleur reste en nous, fit-il. Ce
16    IX|     tout, même la vie. La vraie douleur revêt les formes grandioses
17    XI|        toute son horreur, cette douleur d’enfanter qui, comme l’
18    XI|         suis inquiet ; j’ai une douleur sourde à la face ; mes yeux,
19   XII|        bonheur gagné à force de douleur, c’est l’universelle destinée,
20   XII|         sa vie, tenaillé par la douleur, et il n’y aurait point
21   XIV|       la vérité qui changera la douleur ; car la douleur est comme
22   XIV|    changera la douleur ; car la douleur est comme la joie, un absolu.~ ~ ~ ~
23  XVII|         corps n’est plus qu’une douleur. Je ne peux plus me tenir
24  XVII|       acharne contre moi, et la douleur se multiplie, me heurte
25  XVII|   peut-être à cause de ma haute douleur, je me figure qu’on crie
26  XVII|     sent dans ses entrailles la douleur toujours renaissante et