Chap.

 1     I|         quoi que ce soit.~ ~ ~ ~Si chacun était comme moi, tout irait
 2    II|           Mes deux voisins causent chacun de leur côté. J’entends
 3    II|        parle, mais ce bruit laisse chacun à soi-même, et m’assourdit,
 4    IV|      existent pas assez ; ils sont chacun pour soi-même un secret
 5     V|           timide, tu distribuais à chacun des paroles banales, tu
 6    VI|            marbre s’entrechoquent. Chacun est occupé de son corps,
 7    VI|           est occupé de son corps, chacun se sent étreindre un corps
 8    VI|            ils s’enlacent, luttent chacun pour soi, et disent : «
 9   VII|            bonheur est en nous, en chacun de nous, et que c’est le
10  VIII|        éblouissement ; ils tombent chacun, ils ne savent où, la bouche
11  VIII|           n’a pas de sens, puisque chacun est seul, et que deux voix,
12  VIII|          cœurs, terre entassée sur chacun d’eux, silence affreux de
13  VIII|           pleurais… j’ai senti que chacun est un monde. »~ ~– Ainsi,
14  VIII|            détaille les désirs, et chacun de ses lambeaux de phrases
15  VIII|            y avait tout. À côté de chacun de ces éclairs de joie ou
16    XI|           l’un en face de l’autre, chacun d’un côté de la table.~ ~ ~ ~
17   XII|          agrandir le malentendu où chacun d’eux s’enfonçait.~ ~ ~ ~
18  XIII|          rêve sur son sort futur ; chacun est content de sa vie, et
19   XIV|   comprendre…~ ~ ~ ~L’immensité de chacun de nous : premier grand
20   XIV|         plus nous doutons-nous que chacun de ses points a quelque
21   XIV|           fantôme du monde prêté à chacun de nous. L’univers par lui-même
22   XIV| commandement d’évidence qui met en chacun de nous le principe de tout ;
23    XV|             Notre mère n’est, pour chacun de nous, qu’une femme mieux
24   XVI|         installation du public, et chacun est remué d’une sorte d’
25   XVI|            serons habitués à tenir chacun dans nos pauvres occupations