Chap.

 1  VIII|           venir sur eux comme une maladie dont on ne sait si on guérira.
 2  VIII| indifférence : une paralysie, une maladie grise, et son aveuglement
 3  VIII|         attaché en nous comme une maladie… Le temps est plus cruel
 4  VIII|    semblable au savoir ; puis, la maladie, la douleur, toutes ces
 5    IX|          avoir été souillé par la maladie.~ ~ ~ ~Il a tourné un peu
 6     X|           l’aveu de sa journée de maladie.~ ~ ~ ~L’homme de science
 7     X|         sinistre qu’il porte : sa maladie.~ ~ ~– Quelle honte ! dit-il.~ ~ ~–
 8     X|      sommes pas en présence d’une maladie locale apportée mystérieusement ;
 9     X|         formes élémentaires de la maladie humaine.~ ~ ~« C’est un
10     X|          à cause du malade que la maladie est incurable. À quoi bon
11     X|       livré à lui-même, refait la maladie ? Nous ne pouvons que le
12     X|          lorsqu’il s’était agi de maladie incurable.~ ~ ~– La force
13     X|      devant l’évidence, que cette maladie est la seule que vous puissiez
14     X|     saviez ce que c’est que cette maladie si simple, si simple, cette
15     X|           nature est mauvaise. La maladie, c’est aussi la nature.
16  XIII|                 Je me remis de ma maladie, lentement. Quand je fus
17   XIV|          la terre. J’aurai eu une maladie, ou une plaie qui feront
18   XIV|          Je mourrai sans doute de maladie, quelque organe atrophié,
19   XIV|          reste ; je mourrai d’une maladie, tout le sang en dedans… (
20    XV|         humains. Ce n’est pas une maladie, c’est une blessure, un
21    XV|  sacrifice. Ce n’est pas plus une maladie que son cœur. Elle en est
22   XVI|          ne savent pas garder une maladie secrète ! – Enfin, toujours
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