Chap.

 1   III|          contes de fées.~ ~ ~ ~Un souffle de parfum qu’elle porte,
 2   III|        qui se confondait avec son souffle…~ ~ ~ ~Elle tâtonna, prit
 3    IV|          le bruit des branches au souffle du vent.~ ~ ~ ~J’ai ouvert
 4     V|                Elle dit, comme un souffle :~ ~ ~– C’est la seule fois
 5    VI|         des pas… Il marchait – un souffle, des dérangements d’objets,
 6    VI|           un poème. Je retins mon souffle pour ne pas faire évanouir
 7    VI|           j’allais les cherchant, souffle à souffle… Comme j’aurais
 8    VI|          les cherchant, souffle à souffle… Comme j’aurais voulu les
 9   VII|     retroussées sur ses dents, un souffle de machine… Il s’est accroché
10    IX|          voyais la lumière de son souffle dont tout à l’heure, dans
11     X| infiniment petits, sur quel grand souffle glacé est-elle entr’ouverte ?
12   XII|          moribond, le heurtant du souffle de ses paroles :~ ~ ~– Alors,
13   XII|         pourtant, j’ai retenu mon souffle en même temps que lui ;
14   XIV|       affluent. Dès que le pauvre souffle de corruption devient sensible,
15   XIV|           ne serait en nous qu’un souffle comme le souffle vital,
16   XIV|       nous qu’un souffle comme le souffle vital, un organe ; nous
17    XV|         cette chambre… murmura le souffle de sa voix.~ ~ ~ ~Puis elle
18    XV|        tandis que la buée de leur souffle et de leur chaleur les entoure.~ ~ ~ ~
19   XVI|           lève, envoyant un large souffle frais sur l’installation
20   XVI|         vous brave avec son petit souffle, celui que je porte dans