Chap.

 1     I|          ai perdu mon père et ma mère il y a dix-huit ou vingt
 2    II|         cuisine. »~ ~ ~Une jeune mère, qui a sa fillette auprès
 3    IV|       leurs parents.~ ~ ~– Grand’mère était venue, du haut du
 4    IV|        ouverte. La vieille grand’mère est là, qui se penche. Elle
 5   VII|         tête comme le lait d’une mère. Il est là, ce vague père
 6  VIII|        façons s’ils savaient… Ma mère, si elle savait – elle qui
 7  VIII|         et avec les larmes de ma mère. Mais cette honte ne sert
 8  VIII|         ne sert plus à rien ! Ma mère, si elle savait, elle aurait
 9  VIII| soumission, l’humiliation d’être mère m’ont manqué. Peut-être
10  VIII|         Oh ! la stérilité d’être mère ! »~ ~ ~J’étais emporté
11  VIII|         quitteras ton père et ta mère et fuiras l’embrassement
12    IX|         la jeune femme, qui sera mère dans un mois, et qui doit
13    XI|        dans les entrailles d’une mère ; et je n’oublierai jamais
14    XI|          Je ne distingue plus la mère ; je ne la sais plus ; je
15    XV|       peine d’approfondir. Notre mère n’est, pour chacun de nous,
16   XVI|             Excepté Madame votre mère ». – Sa mère ! c’était un
17   XVI|        Madame votre mère ». – Sa mère ! c’était un type, celle-là !
18   XVI|         Je comprends pourquoi sa mère disait l’autre jour : «
19   XVI|         dans la grande marée, la mère aux ongles effrayants, qui
20  XVII|          rien. Je suis comme une mère dont le fruit de chair périra