Chap.

 1     I|         que la fenêtre qui soit blanche.~ ~ ~… Et moi ? Moi, je
 2    II|     dans le crépuscule, la plus blanche des choses qui existent.
 3    II|    contre la fenêtre, la lettre blanche pliée dans sa main grise.~ ~ ~ ~
 4    IV|     hiver, quand la pelouse est blanche, a trop de fleurs.~ ~ ~ ~
 5     V|         sur cette place petite, blanche et ronde, comme un cadran.~ ~ …
 6     V| demi-dévêtue ; elle est devenue blanche… Est-ce elle qui se dévêt,
 7  VIII|       tu l’as trouvée petite et blanche, et tu as dit que c’était
 8  VIII|   tournés du côté de la fenêtre blanche, et c’était la plus vaste
 9  VIII|      chair qui dans la nuit est blanche comme un ange… » Lorsque
10    IX|       et sa douceur du Nord, si blanche et si dorée que la lueur
11    IX|       Il avait une grande barbe blanche, et ses yeux pleuraient
12    IX|      gigantesque. Elle est très blanche. Les angles sont très nets.
13    IX|         creux de sa vie ; elle, blanche et large, elle vibrait grassement,
14    IX|       prendrait dans son âme si blanche et qu’on connaissait vite –
15     X|        soi ; et la tête est là, blanche, éternelle épave qui flotte,
16    XV|         voyais distinctement la blanche figure de la femme toute
17    XV|         moi seul, ai vu sa main blanche et pure guider l’homme vers
18    XV|     pénombre, elle est dévêtue, blanche, pâle, avec des bandelettes
19   XVI|       de papillon de sa cravate blanche.~ ~ ~ ~Je portais à mes