Chap.

 1     I|         plus tranquille et plus doux.~ ~ ~ ~Ma venue définitive
 2    II|         Rien n’est-il donc plus doux et plus fort que d’approcher
 3   III|       fort, trop vrai.~ ~ ~ ~Ce doux désespoir, que je n’aurais
 4   III|          j’ai laissé perdre les doux bruits qu’elle faisait…
 5    IV|        à dire, un éblouissement doux où se fond toute la précision
 6    IV|         le plus beau et le plus doux est dans le néant.~ ~ ~ ~
 7     V|        semblait un de ces êtres doux, qui pensent trop, et qui
 8    VI| accentua ; le vent souffla plus doux et continu. La lune fut
 9    VI|       dialogue recommence, plus doux, plus calme, et j’entends
10  VIII|   choses, – quoique ce mot soit doux !~ ~ ~« Ce n’est pas avec
11  VIII|       laisse, à cause qu’il est doux de haïr la vieillesse quand
12  VIII|   triste, il blesse nos nuits ; doux, il blesse nos jours… »~ ~«
13     X|      son sourire et sa grimace… Doux monstre effroyable qui entr’
14    XI|      sortit avec un bruissement doux, comparable à celui que
15  XIII|         au dessin si menu et si doux, écriture lumineuse dans
16  XIII|   aurait-elle pu faire, de plus doux que son attention ?~ ~ ~–
17    XV|         Leurs yeux se disent le doux cri, leurs poitrines se
18   XVI|      argent, en points d’or, en doux abat-jour orangés qui faisaient