Chap.

 1     I|          grise et renfermait une odeur de poussière. Je vis deux
 2    II|    traînant, laissant siller une odeur fade de toute sa personne
 3   III|          Il fait lourd. Un peu d’odeur de cuisine persiste, même
 4   III|        parfum qu’elle porte, une odeur d’encens et de fleurs, vient
 5   III|      dont elle s’habille, mais l’odeur profonde d’elle, sauvage,
 6   III| comparable à celle de la mer – l’odeur de sa solitude, de sa chaleur,
 7    VI|          avec son va-et-vient, l’odeur et la chaleur de la vie,
 8   VII|    vêtement qui enferme la douce odeur d’elle… Et on entend encore
 9    IX|     luisants comme les hommes. L’odeur du pétrole ; partout, jusque
10    IX|          les fleurs, l’éternelle odeur de la mer souterraine.~ ~ ~«
11    IX|         tabac qu’il fumait : une odeur pharmaceutique m’écœura.~ ~ ~ ~
12     X|         apportait par bouffées l’odeur de la campagne et de la
13    XI|         gorge prise par une âcre odeur de meurtre, et par celle
14    XI|        ailes blanches, avec leur odeur fraîche.~ ~ ~ ~À un moment
15  XIII|      jamais le mensonge de cette odeur. La première chose que je
16   XIV|     bronzée, et répand une forte odeur de cire.~ ~ ~ ~Enfin, au
17   XVI|            celui-là n’aura pas d’odeur, et pour cause ! – Et quelle