Chap.

 1   III|       comparable à celle de la mer – l’odeur de sa solitude,
 2     V| montait et descendait comme la mer. Ils se tenaient, se touchaient ;
 3     V|    étions mis à marcher sur la mer.~ ~ ~– Ah dit-elle. Comme
 4  VIII|    étrangers que le vent et la mer. Un intérêt personnel, ou
 5    IX|        l’éternelle odeur de la mer souterraine.~ ~ ~« Je ne
 6    IX|       sable d’or s’écroule. La mer se meurt auprès de lui.
 7    IX|      dirigé ses regards sur la mer. Le nez est droit et fin ;
 8    IX|        brille sur l’azur de la mer. »~ ~ ~Après cette contemplation
 9     X|        campagne et de la vaste mer.~ ~ ~ ~On frappa à la porte.~ ~ ~ ~
10   XIV|        et le va-et-vient de la mer, ses mille milliards de
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