Chap.

1   III|        est sans doute le geste éternel de ceux qui sont seuls dans
2   III|      espace infini et le temps éternel : il y avait toutes les
3    IV|       Cydnus, au bord du cours éternel des âges. C’est Daphnis
4    IV|    pris position dans le drame éternel. Ils se parlent, et restituent
5     V|       et qu’on voie dans lui l’éternel squelette. Tout un effort
6  VIII|       l’immense, le patient, l’éternel effort, et les grands assauts
7  VIII|        faire ? Prier ? Non ; l’éternel dialogue où l’on est toujours
8  VIII| eux-mêmes. Au seuil du bonheur éternel, ils revoient l’œuvre vitale
9   XIV|      dans moi-même mon fantôme éternel de poussière, mon squelette,