Chapitre

 1     1|           mari, le 9 août de la même année. Les orphelins furent alors
 2     1|             pas le seul mal ».~ ~ ~L’année de philosophie fut pire : «
 3     1|            je commençais ma deuxième année de rue des Postes. Jamais
 4     2|             tribus du Sahara. Chaque année, il venait passer deux ou
 5     3|      Oumbarek, 1er janvier : « Bonne année, ma bonne Mimi : si seulement
 6     4|          début de mars 1889. C’est l’année des résolutions, ou, en
 7     4|           connaître, dans cette même année, Charles ne fait pas moins
 8     5|          ayant eu, au cours de cette année, une légère maladie, Frère
 9     5|   probablement trois ans ici ; cette année, je fais uniquement de la
10     5|             emploi de cette fin de l’année 1896, et des deux premiers
11     6|             effet, avant la fin de l’année. Que lui importait d’être
12     6|             irai pas en France cette année. Peut-être suis-je, sans
13     7|           date et pendant près d’une année, l’éternel voyageur demeure
14     7|            église. Comme la fin de l’année 1900 approchait, il résolut
15     8|              tout. »~ ~ ~La fin de l’année approche. Les constructions
16     8|         sacrifice : il le fit chaque année, peut-être chaque mois,
17     8|              premières semaines de l’année 1903. Frère Charles se réjouissait ;
18     8|            la joie, qui vient chaque année aux ouvriers de la terre,
19     8|               Puis, vers la fin de l’année, il se mit en retraite.
20     8|           Hoggar. Mais à la fin de l’année, au moment où il sortait
21     8|              permette d’aller chaque année y passer deux ou trois ou
22     9|    soumission entre ses mains, cette année, c’est-à-dire depuis douze
23     9|              l’Adrar et le Hoggar. L’année est sèche et par exemple,
24     9|          souhaita une bonne nouvelle année. Avec lui, deux jours plus
25     9|               ce que j’ai fait cette année, avec grand désir de rester
26    10|        passer quelques jours, chaque année, dans les tentes des Hoggar. »~ ~ ~
27    10|              foule de Touaregs vus l’année passée ; les relations avec
28    10|               Je ne l’avais pas vu l’année dernière ; cette année,
29    10|             l’année dernière ; cette année, je ne l’ai pas quitté pendant
30    10|             à peu près six mois de l’année, je lui conseillai d’acheter
31    10|          efforts pour achever, cette année, le lexique touareg-français.
32    10|               ignoré. Je voudrais, l’année prochaine, n’avoir d’autre
33    10|          Charles apprend aussi que l’année suivante, sans doute, Moussa
34    11|             Amoud :~ ~ ~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~Des dattes comme
35    11|             la langue ;~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~Un dattier verdoyant
36    11|           mûrissantes ;~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~De l’or et de
37    11|              ensemble ;~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~Le ciel, j’y
38    11|            pas couché ;~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~La Mecque, j’
39    11|         passé le midi ;~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~Médine, j’y ai
40    11|              de repas ;~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~Les eaux de Zemzem,
41    11|             ai pas bu ;~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~Des faons d’antilopes
42    11|            et d’argent.~ ~Moi, cette année, j’ai vu~ ~Un poulain dont
43    12| Notre-Dame-des-Neiges ?~ ~ ~ ~Dans l’année 1910, deux grandes amitiés,
44    12|             intention, à partir de l’année prochaine, de me partager
45    12|             Afrique, dans cette même année. Le colonel Laperrine, qui
46    12|      Tamanrasset jusqu’à la fin de l’année, et entreprend un second
47    12|             je suis dans ma septième année d’habitation à Tamanrasset. »~ ~ ~
48    12|        quelques mois, au plus tard l’année suivante, un nouveau voyage
49    12|            des caravanes qui, chaque année, partent en septembre pour
50    12|         famille. Pendant sa première année de mariage, il aura passé
51    12|              de vous en cette grande année. »~ ~« 19 novembre 1915. –
52    12|            la Pentecôte137. – Chaque année, le mois de juin, en ramenant
53    12|          deux jours. Bonne et sainte année, nombreuses et saintes années,
54    12|            de Viviers. »~ ~ ~La même année, remerciant Mme de Blic