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 1     3    |          Sidi Omar, Sidi El Hadj Edris ; c’est un jeune homme de
 2     3    |   extrême ; en nous quittant, S. Edris demande si nous avons vu
 3     3    |      arrivée, un esclave de Sidi Edris entre chez moi, dans la
 4     3    |       plateaux éblouissants ; S. Edris m’offre de la limonade,
 5     3    |        jour plus intimes avec S. Edris et son père. Le 13, à midi,
 6     3    |  déjeuner nous attend encore, S. Edris le partage avec nous ; comme
 7     3    |    soient désintéressées ; où S. Edris et son père veulent-ils
 8     3    |         jour même, j’envoie à S. Edris 20 francs et trois ou quatre
 9     3    |       pays. Le lendemain, 14, S. Edris nous fait chercher vers
10     3    |    jamais vue aucun chrétien. S. Edris répond, en souriant, que
11     3    |      matin, nouvelle visite à S. Edris ; l’entretien devient tout
12     3    |       des musulmans. Le 16, Sidi Edris me fait chercher de bonne
13     3    |          de bonne volonté : Sidi Edris a fait venir les rabbins
14     3    |      lettres sous ses yeux. Sidi Edris me donne ensuite un mot
15     3    |        aussitôt à Tanger. » Sidi Edris signe cet écrit, le plie,
16     3    |       Cette affaire terminée, S. Edris m’annonce que nous partirons
17     3    |    moment, mes relations avec S. Edris prennent un nouveau caractère ;
18     3    | gouvernement français. Sûr de S. Edris, j’eus dès lors avec lui
19     3    |            Le 17 septembre, Sidi Edris, Mardochée et moi quittions
20     3    |   Qaçba-Beni-Mellal. Le 23, Sidi Edris nous faisait ses adieux,
21     3    |         m’avait dit à Fâs.) Sidi Edris se promet d’aller me voir
22     3    |        resté entre S. Omar et S. Edris, ils ne s’en sont point
23     3(26)|         j’avais découvert à Sidi Edris ma qualité de chrétien et
24     3(26)|          un véritable ami ; Sidi Edris et un juif de Debdou. Aux